La convalescence du président malien Ibrahim Boubacar Keita se poursuit en France. Elle se passe bien, selon les informations rendues publiques, sur Twitter par exemple. D'après nos informations, il répond au téléphone, il lit, mais il reçoit très peu, et pour le moment, il n'y a toujours pas d'image de lui depuis qu'il a été opéré d'une tumeur d'une glande située dans le cou - l'adénome de la parathyroïde -, tumeur qualifiée de « bénigne » par un communiqué officiel.
Un de ses proches confie que le président IBK envisage d'ouvrir grandement ses portes la semaine prochaine pour recevoir officiels maliens, proches, et invités divers. Il reste par ailleurs en contact avec les autorités françaises, notamment l'Elysée. Il pourrait même avant son retour à Bamako (dont la date n'est pas encore connue), rendre publiquement hommage aux trois militaires français de l'opération Barkhane tués cette semaine dans le nord du Mali.
En attendant, à Bamako, c'est l'union sacrée dans l'épreuve. Parti politique de la majorité, de l'opposition, association, citoyen lambda : tout le monde souhaite un prompt rétablissement au chef de l'Etat. Et fait important à souligner, par décence, du moins pour le moment, personne n'engage le débat sur la capacité du président IBK à continuer d'assumer ses fonctions.
RFI
Un de ses proches confie que le président IBK envisage d'ouvrir grandement ses portes la semaine prochaine pour recevoir officiels maliens, proches, et invités divers. Il reste par ailleurs en contact avec les autorités françaises, notamment l'Elysée. Il pourrait même avant son retour à Bamako (dont la date n'est pas encore connue), rendre publiquement hommage aux trois militaires français de l'opération Barkhane tués cette semaine dans le nord du Mali.
En attendant, à Bamako, c'est l'union sacrée dans l'épreuve. Parti politique de la majorité, de l'opposition, association, citoyen lambda : tout le monde souhaite un prompt rétablissement au chef de l'Etat. Et fait important à souligner, par décence, du moins pour le moment, personne n'engage le débat sur la capacité du président IBK à continuer d'assumer ses fonctions.
RFI