Les progrès de plus en plus visibles après des années de chaos et d’effondrement économique, social et politique ont sonné le glas de l’opposition qui a en ligne de mire les prochaines échéances pour espérer sortir du traumatisme de sa défaite de 2012.
Aujourd’hui, nous pouvons constater, tous ensemble, le chemin accompli, les progrès réalisés, les ruptures opérées par le Président de la République et l’équipe qui l’accompagne dans cette exaltante tâche.
Loin pour nous l’idée de dresser un bilan du quinquennat qui vient à peine de commencer. Notre démarche est sous-tendue par une nécessité
de faire une lecture objective du déploiement du programme sur la base duquel le Président Macky SALL a été élu, et permettre ainsi au peuple de mesurer et reconnaître les nombreux efforts consentis dont la seule finalité reste le développement économique et social au profit de tous les Sénégalais.
Pour ce faire, un bref rappel du contexte dans lequel le Président Macky SALL a inauguré son magistère s’impose afin de mieux nous projeter sur ce qui est en train de se concrétiser sous nos yeux à savoir le programme Yonnou Yokkouté.
La situation du Sénégal en mars 2012
Le régime libéral avait fondé son règne sous l’illusion d’une croissance en augmentant les dépenses de prestige et la dette publique. Il n’avait jamais respecté le cadre budgétaire qu’il s’était lui-même fixé. Les conséquences de ce manque de discipline budgétaire étaient : un déficit budgétaire qui culminait a 6,7% en 2011 et un taux de chômage estimé à plus de 48 % avec l’arrivée sur le marché de 100.000 jeunes par an.
A ce tableau déjà sombre, il faut ajouter les retards de paiement, les détournements, une gestion obsolète et peu transparente des finances publiques.
C’est dans ce contexte que le Président Macky SALL est arrivé au pouvoir, héritant ainsi d’un pays exsangue et en quasi situation de faillite.
Malgré l’énormité du défi, le Président de la République s’est résolument orienté vers la restauration des équilibres publics en adossant sa politique sur la rigueur, seule voie possible pour sortir notre pays du gouffre. Cette posture a permis d’enregistrer des résultats déjà perceptibles et mesurables dans les domaines essentiels que sont :
1- La moralisation de la vie politique
En réaction au scandale des biens mal acquis, le Président de la République a inscrit la transparence au cœur de son action politique. Cela se traduit par la prise de mesures hardies, entre autres, la création de l’OFNAC et l’obligation de déclaration de patrimoine. En prenant l’initiative de publier son patrimoine, le Président de la République indique ainsi le chemin et montre sa volonté de lutter contre toute forme de délinquance économique et financière.
Grâce à l’arsenal juridique mis en place pour accompagner ces mesures, les contribuables sénégalais ont désormais l’assurance que leur argent ne sera plus détourné par des pratiques malhonnêtes.
On a beau être un farouche opposant au Président de la République, mais il faut lui reconnaître, un tant soit peu, le courage d’avoir ouvert l’épineux dossier de la transparence que tous ses prédécesseurs ont occulté.
2- La situation économique
A la lecture de la situation économique sous maître Abdoulaye WADE, deux maux gangrénaient l’économie : l’excès de l’endettement public pour des investissements improductifs et la baisse de compétitivité de nos entreprises.
Afin de sortir notre économie de cette impasse, le gouvernement, sous l’impulsion du Président de la République, a réorienté sa politique vers trois objectifs : la réduction du déficit public, l’assainissement de l’environnement économique et la réduction du taux de chômage.
Contrairement à ce que les libéraux avancent pour se dédouaner face à leur manque de vision, le problème de la compétitivité de nos entreprises n’est pas lié à la crise mais aux charges qui pèsent sur elles, à l’insuffisance des investissements.
Fort de cette certitude, le Président de la République a pris des mesures urgentes à travers le Programme de Réformes pour l’’Amélioration de l’Environnement des Affaires et de la Compétitivité «PREAC» pour la période 2013-2015 qui ambitionne d’inscrire le Sénégal parmi les 10 pays les plus attractifs en Afrique afin de générer des investissements privés de qualité.
A ces mesures, il faut ajouter la création du FONSIS et du FONGIP qui ont pour objectif d’ancrer notre économie dans une croissance durable.
Tous ces efforts ont abouti à une croissance de 3,6% en 2012 comparé au 2,1% en 2011enregistré sous le régime libéral. Le FMI prévoit un taux de croissance de 4% pour le Sénégal au vu de la tenue actuelle de l’économie.
Vous en conviendrez avec nous, que malgré les différents obstacles liés à l’économie exsangue que le Président Macky SALL a héritée, le taux de croissance est resté dans une dynamique de progression. Ce constat est loin d’être le fruit du hasard, il est le résultat de la conjonction de toutes ces mesures volontaristes.
D’aucuns objecteront que le récent classement du Sénégal dans le Doing Business contrarie d’avec la situation économique qui vient d’être dressée. Au contraire, le Doing Business 2013 constitue un excellent indicateur pour le Gouvernement du Sénégal qui trouve ici un outil pour mesurer les impacts des différentes mesures prises dans le cadre de l’assainissement du climat des affaires. Le Sénégal travaille à l’amélioration du climat économique, ce qui commence à se refléter dans les domaines mesurés.
Les investisseurs reprennent confiance et s’installent de nouveau au Sénégal. Nous pouvons citer, entre autres, l’implantation des Russes dans le Saloum pour des investissements de 74 milliards avec tous les effets multiplicateurs qui s’en suivent, la création de la zone économique spéciale à Ndiass par les Polonais, la reprise des Nouvelles Conserveries du Sénégal par les Chinois pour un montant d’investissement de 14 milliards. Ce regain d’intérêt pour le Sénégal découle des mesures incitatives contenues dans le Programme de Réformes pour l’Amélioration de l’Environnement des Affaires et de la Compétitivité.
Le troisième volet des objectifs qui sont poursuivis est la réduction du taux de chômage. Le taux de chômage estimé en 2011 était de 48 %. Il faut aller vers sa réduction afin de relancer la consommation et ultimement la production, ce qui impactera positivement tous les secteurs économiques. Le Président de la République l’a bien compris en instruisant son gouvernement de favoriser la création d’emplois. Le recrutement de 5.500 jeunes dans la fonction publique, 10.000 jeunes par l’Agence Nationale de Sécurité de Proximité, répondent à cette volonté de résorber le taux de chômage dans la perspective de relancer l’économie.
A ce sujet, nous condamnons les propos absolument irresponsables et dangereux d’un certain « leader » politique qui, dans sa témérité, compare ces mesures à la milice hitlérienne et appelle à l’insurrection. Tous les républicains doivent s’émouvoir face à cette sortie dangereuse et motivée par une politique politicienne. Quand on ne sait plus dire des propos utiles pour le peuple, il faut cesser d’occuper l’espace public. En cela, nous invitons Monsieur Djamil, puisque c’est de lui dont il s’agit, à s’inspirer de Michel TOURNIER, célèbre philosophe français, nous le citons « Si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence, alors tais-toi ».
3- La politique sociale
L’un des défis majeurs du Sénégal est celui de la réduction des inégalités. Le Président Macky SALL a depuis des années une préoccupation particulière en ce qui concerne les personnes en situation de grande pauvreté. C’est la raison pour laquelle les bourses familiales qui visent à lutter contre la pauvreté occupent une bonne place dans le programme du Yonnou Yokkuté. Ce Programme national de bourses familiales connaît un début d’exécution avec des bourses qui sont versées au niveau national à 50.000 ménages. Ce programme pilote sera étendu chaque année à 100.000 ménages et ce, à compter de 2014.
Sur le plan de la santé, le gouvernement a aussi fait beaucoup d’efforts. En témoigne la gratuité des soins pour les personnes vulnérables à travers la couverture médicale universelle.
Comme nous pouvons tous le constater, cette politique de redistribution des ressources est en marche et va permettre aux couches vulnérables de retrouver leur dignité.
4- Le Sénégal à l’international
Il faut se féliciter de l’offensive diplomatique lancée par le Président Macky SALL depuis son accession au pouvoir. De par ses initiatives, son audace, il a pu restaurer l’image de notre diplomatie et faire de sorte que le Sénégal soit respecté et écouté sur la scène internationale. La venue de Barack Obama au Sénégal, la participation systématique du Président à tous les sommets du G8 et du G20, la tenue prochaine du sommet de la francophonie au Sénégal constituent autant de preuves que le Sénégal est devenu une nation forte, tournée vers l’avenir.
Le Président de la République a compris que lorsque la diplomatie d’un pays est conquérante, agissante, et active, il est évident que sa politique extérieure persuadera les partenaires à l’assister dans toutes ses entreprises.
Nous venons de faire un rapide survol des réussites qu’il faut mettre à l’actif du Président de la République Monsieur Macky SALL afin de reconnaître son mérite et l’encourager à persévérer. Le chemin est long et difficile, mais avec sa volonté affichée de hisser le Sénégal au peloton de tête des pays émergents, l’espoir est permis.
Nous pouvons discuter des réussites ci-dessus répertoriées et les juger encore insuffisantes, mais personne n’a nié qu’elles soient positives. Toutefois, la prospérité économique est subordonnée a l’existence d’un climat politique et social apaisé. Notre opposition doit savoir qu’il y a un temps pour la politique et un temps à consacrer au développement du Sénégal.
Le Sénégal ne peut pas se permettre d’être en campagne électorale permanente, il doit gagner le pari du développement. En décidant de confier les reines du pouvoir au Président Macky SALL, le peuple est convaincu de son aptitude à relever ce défi. Nous appelons, par conséquent, à faire bloc autour de sa personne et taire nos antagonismes égoïstes pour gagner la bataille du développement.
Hady TRAORÉ
Coordonnateur du Club Vision Républicaine
HEC MONTRÉAL
clubrepublicain@gmail.com
Aujourd’hui, nous pouvons constater, tous ensemble, le chemin accompli, les progrès réalisés, les ruptures opérées par le Président de la République et l’équipe qui l’accompagne dans cette exaltante tâche.
Loin pour nous l’idée de dresser un bilan du quinquennat qui vient à peine de commencer. Notre démarche est sous-tendue par une nécessité
de faire une lecture objective du déploiement du programme sur la base duquel le Président Macky SALL a été élu, et permettre ainsi au peuple de mesurer et reconnaître les nombreux efforts consentis dont la seule finalité reste le développement économique et social au profit de tous les Sénégalais.
Pour ce faire, un bref rappel du contexte dans lequel le Président Macky SALL a inauguré son magistère s’impose afin de mieux nous projeter sur ce qui est en train de se concrétiser sous nos yeux à savoir le programme Yonnou Yokkouté.
La situation du Sénégal en mars 2012
Le régime libéral avait fondé son règne sous l’illusion d’une croissance en augmentant les dépenses de prestige et la dette publique. Il n’avait jamais respecté le cadre budgétaire qu’il s’était lui-même fixé. Les conséquences de ce manque de discipline budgétaire étaient : un déficit budgétaire qui culminait a 6,7% en 2011 et un taux de chômage estimé à plus de 48 % avec l’arrivée sur le marché de 100.000 jeunes par an.
A ce tableau déjà sombre, il faut ajouter les retards de paiement, les détournements, une gestion obsolète et peu transparente des finances publiques.
C’est dans ce contexte que le Président Macky SALL est arrivé au pouvoir, héritant ainsi d’un pays exsangue et en quasi situation de faillite.
Malgré l’énormité du défi, le Président de la République s’est résolument orienté vers la restauration des équilibres publics en adossant sa politique sur la rigueur, seule voie possible pour sortir notre pays du gouffre. Cette posture a permis d’enregistrer des résultats déjà perceptibles et mesurables dans les domaines essentiels que sont :
1- La moralisation de la vie politique
En réaction au scandale des biens mal acquis, le Président de la République a inscrit la transparence au cœur de son action politique. Cela se traduit par la prise de mesures hardies, entre autres, la création de l’OFNAC et l’obligation de déclaration de patrimoine. En prenant l’initiative de publier son patrimoine, le Président de la République indique ainsi le chemin et montre sa volonté de lutter contre toute forme de délinquance économique et financière.
Grâce à l’arsenal juridique mis en place pour accompagner ces mesures, les contribuables sénégalais ont désormais l’assurance que leur argent ne sera plus détourné par des pratiques malhonnêtes.
On a beau être un farouche opposant au Président de la République, mais il faut lui reconnaître, un tant soit peu, le courage d’avoir ouvert l’épineux dossier de la transparence que tous ses prédécesseurs ont occulté.
2- La situation économique
A la lecture de la situation économique sous maître Abdoulaye WADE, deux maux gangrénaient l’économie : l’excès de l’endettement public pour des investissements improductifs et la baisse de compétitivité de nos entreprises.
Afin de sortir notre économie de cette impasse, le gouvernement, sous l’impulsion du Président de la République, a réorienté sa politique vers trois objectifs : la réduction du déficit public, l’assainissement de l’environnement économique et la réduction du taux de chômage.
Contrairement à ce que les libéraux avancent pour se dédouaner face à leur manque de vision, le problème de la compétitivité de nos entreprises n’est pas lié à la crise mais aux charges qui pèsent sur elles, à l’insuffisance des investissements.
Fort de cette certitude, le Président de la République a pris des mesures urgentes à travers le Programme de Réformes pour l’’Amélioration de l’Environnement des Affaires et de la Compétitivité «PREAC» pour la période 2013-2015 qui ambitionne d’inscrire le Sénégal parmi les 10 pays les plus attractifs en Afrique afin de générer des investissements privés de qualité.
A ces mesures, il faut ajouter la création du FONSIS et du FONGIP qui ont pour objectif d’ancrer notre économie dans une croissance durable.
Tous ces efforts ont abouti à une croissance de 3,6% en 2012 comparé au 2,1% en 2011enregistré sous le régime libéral. Le FMI prévoit un taux de croissance de 4% pour le Sénégal au vu de la tenue actuelle de l’économie.
Vous en conviendrez avec nous, que malgré les différents obstacles liés à l’économie exsangue que le Président Macky SALL a héritée, le taux de croissance est resté dans une dynamique de progression. Ce constat est loin d’être le fruit du hasard, il est le résultat de la conjonction de toutes ces mesures volontaristes.
D’aucuns objecteront que le récent classement du Sénégal dans le Doing Business contrarie d’avec la situation économique qui vient d’être dressée. Au contraire, le Doing Business 2013 constitue un excellent indicateur pour le Gouvernement du Sénégal qui trouve ici un outil pour mesurer les impacts des différentes mesures prises dans le cadre de l’assainissement du climat des affaires. Le Sénégal travaille à l’amélioration du climat économique, ce qui commence à se refléter dans les domaines mesurés.
Les investisseurs reprennent confiance et s’installent de nouveau au Sénégal. Nous pouvons citer, entre autres, l’implantation des Russes dans le Saloum pour des investissements de 74 milliards avec tous les effets multiplicateurs qui s’en suivent, la création de la zone économique spéciale à Ndiass par les Polonais, la reprise des Nouvelles Conserveries du Sénégal par les Chinois pour un montant d’investissement de 14 milliards. Ce regain d’intérêt pour le Sénégal découle des mesures incitatives contenues dans le Programme de Réformes pour l’Amélioration de l’Environnement des Affaires et de la Compétitivité.
Le troisième volet des objectifs qui sont poursuivis est la réduction du taux de chômage. Le taux de chômage estimé en 2011 était de 48 %. Il faut aller vers sa réduction afin de relancer la consommation et ultimement la production, ce qui impactera positivement tous les secteurs économiques. Le Président de la République l’a bien compris en instruisant son gouvernement de favoriser la création d’emplois. Le recrutement de 5.500 jeunes dans la fonction publique, 10.000 jeunes par l’Agence Nationale de Sécurité de Proximité, répondent à cette volonté de résorber le taux de chômage dans la perspective de relancer l’économie.
A ce sujet, nous condamnons les propos absolument irresponsables et dangereux d’un certain « leader » politique qui, dans sa témérité, compare ces mesures à la milice hitlérienne et appelle à l’insurrection. Tous les républicains doivent s’émouvoir face à cette sortie dangereuse et motivée par une politique politicienne. Quand on ne sait plus dire des propos utiles pour le peuple, il faut cesser d’occuper l’espace public. En cela, nous invitons Monsieur Djamil, puisque c’est de lui dont il s’agit, à s’inspirer de Michel TOURNIER, célèbre philosophe français, nous le citons « Si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence, alors tais-toi ».
3- La politique sociale
L’un des défis majeurs du Sénégal est celui de la réduction des inégalités. Le Président Macky SALL a depuis des années une préoccupation particulière en ce qui concerne les personnes en situation de grande pauvreté. C’est la raison pour laquelle les bourses familiales qui visent à lutter contre la pauvreté occupent une bonne place dans le programme du Yonnou Yokkuté. Ce Programme national de bourses familiales connaît un début d’exécution avec des bourses qui sont versées au niveau national à 50.000 ménages. Ce programme pilote sera étendu chaque année à 100.000 ménages et ce, à compter de 2014.
Sur le plan de la santé, le gouvernement a aussi fait beaucoup d’efforts. En témoigne la gratuité des soins pour les personnes vulnérables à travers la couverture médicale universelle.
Comme nous pouvons tous le constater, cette politique de redistribution des ressources est en marche et va permettre aux couches vulnérables de retrouver leur dignité.
4- Le Sénégal à l’international
Il faut se féliciter de l’offensive diplomatique lancée par le Président Macky SALL depuis son accession au pouvoir. De par ses initiatives, son audace, il a pu restaurer l’image de notre diplomatie et faire de sorte que le Sénégal soit respecté et écouté sur la scène internationale. La venue de Barack Obama au Sénégal, la participation systématique du Président à tous les sommets du G8 et du G20, la tenue prochaine du sommet de la francophonie au Sénégal constituent autant de preuves que le Sénégal est devenu une nation forte, tournée vers l’avenir.
Le Président de la République a compris que lorsque la diplomatie d’un pays est conquérante, agissante, et active, il est évident que sa politique extérieure persuadera les partenaires à l’assister dans toutes ses entreprises.
Nous venons de faire un rapide survol des réussites qu’il faut mettre à l’actif du Président de la République Monsieur Macky SALL afin de reconnaître son mérite et l’encourager à persévérer. Le chemin est long et difficile, mais avec sa volonté affichée de hisser le Sénégal au peloton de tête des pays émergents, l’espoir est permis.
Nous pouvons discuter des réussites ci-dessus répertoriées et les juger encore insuffisantes, mais personne n’a nié qu’elles soient positives. Toutefois, la prospérité économique est subordonnée a l’existence d’un climat politique et social apaisé. Notre opposition doit savoir qu’il y a un temps pour la politique et un temps à consacrer au développement du Sénégal.
Le Sénégal ne peut pas se permettre d’être en campagne électorale permanente, il doit gagner le pari du développement. En décidant de confier les reines du pouvoir au Président Macky SALL, le peuple est convaincu de son aptitude à relever ce défi. Nous appelons, par conséquent, à faire bloc autour de sa personne et taire nos antagonismes égoïstes pour gagner la bataille du développement.
Hady TRAORÉ
Coordonnateur du Club Vision Républicaine
HEC MONTRÉAL
clubrepublicain@gmail.com