Dernier en date à jeter son fiel, Ali Amar, connu pour son mercenariat contre les intérêts du Maroc, son pays d’origine.
Ainsi, dans un article publié par le site marocain Lakome titré «La dérobade d’un Roi», Ali Amar a endossé la blouse, trop large pour lui, du professeur d’Histoire pour venir nous conter un épisode de la période de la Révolution Française, au demeurant fort intéressante, mais que tout le monde connait. Il ne nous a rien appris.
Il s'est, en effet, servi, dans un dessein malveillant, de cette grande période de l’Histoire de France pour nous faire un parallèle avec les dernières manifestations qui se sont déroulées au Maroc après la grâce accordée à l'odieux criminel, le pédophile espagnol de Kénitra.
Une comparaison malheureuse qui prouve, si besoin est, son entêtement à porter atteinte au Maroc, à son peuple, qu’il déclare hypocritement défendre, et aux Institutions Sacrées de son pays.
Ali Amar ne semble pas avoir compris que si le peuple marocain a manifesté, ce n’était pas pour réclamer du pain, mais pour que les autorités marocaines s’expliquent sur la grâce qui a été accordée à ce monstre de violeur d’enfants.
Aussi, dans son article, a-t-il sciemment omis de mentionner qu’en réponse à la demande du peuple marocain, des explications ont été fournies à travers la publication par le Cabinet Royal de trois communiqués et la révocation du Délégué Général aux Affaires Pénitentiaires. Il vient de commettre une bourde monumentale (il n'en est pas à une près !) et dévoile ses véritables intentions : semer la pagaille au Maroc.
D’ailleurs, ce soi-disant journaliste apparaît de temps à autre, pour se faire un peu d'argent, vu que les temps sont durs dans le pays où il réside, mais aussi pour justifier son statut d’exilé politique et pouvoir continuer à bénéficier de certaines aides et autres avantages, dont un titre de séjour.
Quant à la guillotine, qu'il évoque dans son écrit «historique», il aurait dû savoir que celui qui lui a donné ses lettres de noblesse, Robespierre, a fini par y perdre la tête et que, depuis belle lurette, l'invention du Dr Guillottin a été remisée dans un musée.
Comment expliquer la rancœur qui inonde les papiers de ce pseudo-journaliste : deux maîtres-mot, tristesse et désolation, car il n’est finalement qu’une personne sans pays, exclue, isolée et déracinée.
Ali Amar est tombé de haut, après avoir profité de l’ouverture et des libertés au Maroc, il poignarde allègrement dans le dos sa patrie qui lui a tout donné, notamment la vie. Quelle ingratitude, du fils à la mère-patrie ?
De plus, ce personnage n’est pas habilité à donner des leçons de patriotisme aux Marocains, car ils le lui feront regretter. Le Marocain, par essence, a horreur des personnes de son acabit, qui attendent les ordres de leurs parrains pour écrire ce qu'ils croient être un article afin de se procurer un peu d’argent dans les moments de disette.
Ali Amar devrait intégrer dans sa tête qu’il ne réussira jamais à semer la zizanie au Maroc et que le peuple marocain le honnit. Il ressemble à s’y méprendre à un SDF, sans toit, sans famille, sans amis, sans aucun revenu fixe et vivant de la charité des autres. Mais il y a quand même une différence de taille, c’est que le SDF, lui, malgré les vicissitudes, a su garder son honneur et sa fierté. Notre journaleux les a perdus.
Ainsi, dans un article publié par le site marocain Lakome titré «La dérobade d’un Roi», Ali Amar a endossé la blouse, trop large pour lui, du professeur d’Histoire pour venir nous conter un épisode de la période de la Révolution Française, au demeurant fort intéressante, mais que tout le monde connait. Il ne nous a rien appris.
Il s'est, en effet, servi, dans un dessein malveillant, de cette grande période de l’Histoire de France pour nous faire un parallèle avec les dernières manifestations qui se sont déroulées au Maroc après la grâce accordée à l'odieux criminel, le pédophile espagnol de Kénitra.
Une comparaison malheureuse qui prouve, si besoin est, son entêtement à porter atteinte au Maroc, à son peuple, qu’il déclare hypocritement défendre, et aux Institutions Sacrées de son pays.
Ali Amar ne semble pas avoir compris que si le peuple marocain a manifesté, ce n’était pas pour réclamer du pain, mais pour que les autorités marocaines s’expliquent sur la grâce qui a été accordée à ce monstre de violeur d’enfants.
Aussi, dans son article, a-t-il sciemment omis de mentionner qu’en réponse à la demande du peuple marocain, des explications ont été fournies à travers la publication par le Cabinet Royal de trois communiqués et la révocation du Délégué Général aux Affaires Pénitentiaires. Il vient de commettre une bourde monumentale (il n'en est pas à une près !) et dévoile ses véritables intentions : semer la pagaille au Maroc.
D’ailleurs, ce soi-disant journaliste apparaît de temps à autre, pour se faire un peu d'argent, vu que les temps sont durs dans le pays où il réside, mais aussi pour justifier son statut d’exilé politique et pouvoir continuer à bénéficier de certaines aides et autres avantages, dont un titre de séjour.
Quant à la guillotine, qu'il évoque dans son écrit «historique», il aurait dû savoir que celui qui lui a donné ses lettres de noblesse, Robespierre, a fini par y perdre la tête et que, depuis belle lurette, l'invention du Dr Guillottin a été remisée dans un musée.
Comment expliquer la rancœur qui inonde les papiers de ce pseudo-journaliste : deux maîtres-mot, tristesse et désolation, car il n’est finalement qu’une personne sans pays, exclue, isolée et déracinée.
Ali Amar est tombé de haut, après avoir profité de l’ouverture et des libertés au Maroc, il poignarde allègrement dans le dos sa patrie qui lui a tout donné, notamment la vie. Quelle ingratitude, du fils à la mère-patrie ?
De plus, ce personnage n’est pas habilité à donner des leçons de patriotisme aux Marocains, car ils le lui feront regretter. Le Marocain, par essence, a horreur des personnes de son acabit, qui attendent les ordres de leurs parrains pour écrire ce qu'ils croient être un article afin de se procurer un peu d’argent dans les moments de disette.
Ali Amar devrait intégrer dans sa tête qu’il ne réussira jamais à semer la zizanie au Maroc et que le peuple marocain le honnit. Il ressemble à s’y méprendre à un SDF, sans toit, sans famille, sans amis, sans aucun revenu fixe et vivant de la charité des autres. Mais il y a quand même une différence de taille, c’est que le SDF, lui, malgré les vicissitudes, a su garder son honneur et sa fierté. Notre journaleux les a perdus.