Selon le responsable de la région Afrique de la Banque Mondiale, Shantayanan Devarajan, le continent doit d’avantage « investir dans l’éducation, la santé, la création d’emplois productifs, l’augmentation du nombre d’infrastructures et la formation des travailleurs» pour réduire ce taux de pauvreté et pouvoir se mettre sur la voie du développement.
Estimant que le continent a fait une croissance de 6% en 2012, l’économiste recommande aux états africains dont ceux au sud du Sahara de « dépenser judicieusement les recettes de leurs nouvelles ressources pétrolière, gazeuses et minières ». La Banque mondial a aussi noté les efforts des pays africains à éradiquer certains fléaux dont « la mortalité infantile qui a baissé ». Avec le développement urbain qui s’accélère en Afrique, la Banque mondiale rappelle aux états le concept « urbanisation et développement » qui va de paire et donc recommande une bonne prise en charge de cette question pour que l’attraction des villes ne soit un frein pour le développement du monde rural. Il faudra donc « promouvoir le secteur agricole » qui représente un poids dans les économies africaines.
Estimant que le continent a fait une croissance de 6% en 2012, l’économiste recommande aux états africains dont ceux au sud du Sahara de « dépenser judicieusement les recettes de leurs nouvelles ressources pétrolière, gazeuses et minières ». La Banque mondial a aussi noté les efforts des pays africains à éradiquer certains fléaux dont « la mortalité infantile qui a baissé ». Avec le développement urbain qui s’accélère en Afrique, la Banque mondiale rappelle aux états le concept « urbanisation et développement » qui va de paire et donc recommande une bonne prise en charge de cette question pour que l’attraction des villes ne soit un frein pour le développement du monde rural. Il faudra donc « promouvoir le secteur agricole » qui représente un poids dans les économies africaines.