Les principaux crimes sous-jacents qui génèrent des fonds dans la région reste la corruption, la fraude, l’abus de confiance avec de faux documents et le trafic de drogue, entre autres.
« Le secteur immobilier est le plus utilisé pour le blanchiment de capitaux en Afrique de l’Ouest. Il y a ensuite l’utilisation irrégulière des banques et le mouvement transfrontaliers des fonds », souligne le GIABA, dans son dernier rapport.
L’organisation retient aussi « l’utilisation anormale des entreprises et professions non-financières désignées (ENFPD) », l’usage abusif des secteurs de l’assurance et de la micro-finance, le marché des bourses et valeurs mobilières, les casinos et les autres secteurs des paris/jeux de hasard.
« Les facteurs facilitateurs sont la vulnérabilité des Etats plutôt que l’ampleur des menaces. Il s’agit d’insuffisances au niveau de la capacité des autorités compétentes, de la supervision, l’engagement politique et des sanctions », explique le GIABA.
Selon la structure, malgré les efforts considérables déployés pour venir à bout du blanchiment de capitaux dans la région aux niveaux national, régional et international, ils sont heurtés à plusieurs défis, dont ceux d’ordre juridique et constitutionnel, le manque d’autonomie de certaines institutions, et l’absence de solides stratégies nationales de lutte contre ce fléau.
Source: APAnews
« Le secteur immobilier est le plus utilisé pour le blanchiment de capitaux en Afrique de l’Ouest. Il y a ensuite l’utilisation irrégulière des banques et le mouvement transfrontaliers des fonds », souligne le GIABA, dans son dernier rapport.
L’organisation retient aussi « l’utilisation anormale des entreprises et professions non-financières désignées (ENFPD) », l’usage abusif des secteurs de l’assurance et de la micro-finance, le marché des bourses et valeurs mobilières, les casinos et les autres secteurs des paris/jeux de hasard.
« Les facteurs facilitateurs sont la vulnérabilité des Etats plutôt que l’ampleur des menaces. Il s’agit d’insuffisances au niveau de la capacité des autorités compétentes, de la supervision, l’engagement politique et des sanctions », explique le GIABA.
Selon la structure, malgré les efforts considérables déployés pour venir à bout du blanchiment de capitaux dans la région aux niveaux national, régional et international, ils sont heurtés à plusieurs défis, dont ceux d’ordre juridique et constitutionnel, le manque d’autonomie de certaines institutions, et l’absence de solides stratégies nationales de lutte contre ce fléau.
Source: APAnews