''Le dynamisme du secteur privé sera l'un des meilleurs atouts pour instaurer une croissance durable. Et, il est attendu la participation de l’investissement direct étranger à cet objectif'', a affirmé M. Mbaye lors d'un atelier de validation politique de la Stratégie nationale de développement économique et sociale (SNDES) 2013-2017.
''Les situations de crise et d’instabilité sur les marchés des produits pétroliers et céréaliers doivent être considérées comme de nouvelles opportunités de créer un environnement de compétitivité plus attractif pour l’investissement privé'', a-t-il ajouté.
Le Premier ministre souhaite que le secteur privé joue pleinement son rôle dans l'accélération de la croissance et la création d'emplois au Sénégal. ''L'Etat, pour sa part, s'engage à prendre des mesures et à mettre en œuvre des réformes concrètes, afin de redynamiser le partenariat et appuyer le développement du secteur privé, les petites et moyennes entreprises notamment'', a-t-il indiqué.
Il a dit que ''la relation'' du secteur privé ''avec l'Etat sera désormais transparente''. ''La recherche de l'intérêt général guidera nos choix.''
La réforme fiscale en cours sera, selon lui, poursuivie dans le cadre d'un ''dialogue franc'', qui permettra d'aboutir à des mesures consensuelles.
''Les préoccupations de la société civile seront prises en compte et nous nous inscrivons déjà dans la dynamique de protection sociale. Et, l'accent sera particulièrement mis sur l'effectivité de la couverture universelle et la réforme de la sécurité sociale'', a promis Abdoul Mbaye.
L'emploi des jeunes et l'autonomisation des femmes constituent, selon lui, ''des défis majeures auxquels il s'agira de faire face''. ''Et, des mesures seront prises pour rendre effective l'application des dispositions prévues par la loi d'orientation sociale.''
''L'atout principal de la SNDES, c'est la confiance, celle du peuple. Je souhaite dire au peuple sénégalais que l’héritage est difficile, lui demander de nous juger sur nos actes et nos résultats, et que l'on se donne ensemble le temps de la réforme et du redressement'', a-t-il souligné.
Il a demandé aux partenaires techniques et financiers du pays ''d'utiliser le Sénégal comme le laboratoire qui doit prouver que l'émergence est possible en Afrique, précisément au Sud du Sahara''.
MF/ESF
''Les situations de crise et d’instabilité sur les marchés des produits pétroliers et céréaliers doivent être considérées comme de nouvelles opportunités de créer un environnement de compétitivité plus attractif pour l’investissement privé'', a-t-il ajouté.
Le Premier ministre souhaite que le secteur privé joue pleinement son rôle dans l'accélération de la croissance et la création d'emplois au Sénégal. ''L'Etat, pour sa part, s'engage à prendre des mesures et à mettre en œuvre des réformes concrètes, afin de redynamiser le partenariat et appuyer le développement du secteur privé, les petites et moyennes entreprises notamment'', a-t-il indiqué.
Il a dit que ''la relation'' du secteur privé ''avec l'Etat sera désormais transparente''. ''La recherche de l'intérêt général guidera nos choix.''
La réforme fiscale en cours sera, selon lui, poursuivie dans le cadre d'un ''dialogue franc'', qui permettra d'aboutir à des mesures consensuelles.
''Les préoccupations de la société civile seront prises en compte et nous nous inscrivons déjà dans la dynamique de protection sociale. Et, l'accent sera particulièrement mis sur l'effectivité de la couverture universelle et la réforme de la sécurité sociale'', a promis Abdoul Mbaye.
L'emploi des jeunes et l'autonomisation des femmes constituent, selon lui, ''des défis majeures auxquels il s'agira de faire face''. ''Et, des mesures seront prises pour rendre effective l'application des dispositions prévues par la loi d'orientation sociale.''
''L'atout principal de la SNDES, c'est la confiance, celle du peuple. Je souhaite dire au peuple sénégalais que l’héritage est difficile, lui demander de nous juger sur nos actes et nos résultats, et que l'on se donne ensemble le temps de la réforme et du redressement'', a-t-il souligné.
Il a demandé aux partenaires techniques et financiers du pays ''d'utiliser le Sénégal comme le laboratoire qui doit prouver que l'émergence est possible en Afrique, précisément au Sud du Sahara''.
MF/ESF