Aujourd’hui les populations continuent d’affluer à Mbour, cependant l’activité décline, les quartiers se remplissent de chômeurs. La plus part des jeunes mbourois ont perdu leurs emplois qui étaient essentiellement liés au tourisme. Toutes les activités économiques agonisent. La demande sociale explose. Ce qui explique en partie que Mbour est devenu la ville la plus contestataire du Sénégal. Les faits divers constatés ces derniers temps révèlent un grand malaise dans la société mbouroise.
Dans les années 80 et 90 on croisait dans les rue de Mbour plusieurs nationalités, Allemande, Italienne, Suisse, Belge, Espagnole. Aujourd’hui c’est le désert.
La crise est profonde, les professionnel du tourisme ne savent plus à quel saint se vouer. Les restaurants, les Boutiques, les hôtels baissent les rideaux. C’est tout le tissu économique qui risque de s’écrouler.
Les professionnels accusent l’état et la SAPCO de mauvaise gestion. L’insalubrité des lieux, les constructions anarchiques, la dégradation des routes, l’érosion côtière, la destruction des espaces verts, le harcèlement des touristes par des bandes de badeaux incontrôlés, l’envaillissement des lieux par les mendiants, le manque d’organisation du transport, le déficit de promotion à l’étranger donnent du grain à moudre aux nouvelles autorités.
Il faut que notre fleuron du tourisme qu’est Saly retrouve sont lustre d’en temps avant d’envisager des perspectives ailleurs.
Cependant, certaines mesures prisent sont à saluer, notamment la baisse de la TVA, la possibilité pour les hôteliers de disposer de titre foncier leur permettant de lever plus facilement des fonds au niveau des bailleurs. Les nouveaux projets de la SAPCO, notamment Point Sarène, Mbodiène et Joal Finion. Mais, mais, il faut le dire ! et le répéter !! si Saly ne marche pas les reste aussi ne marchera pas !!!
Il faut que le nouveau ministre prenne le taureau par les cornes, le suivi dans l’aménagement de Saly, la salubrité, la sécurité, la réglementation des nouvelles implantations doivent être pris très au sérieux, revu et corrigée au plus vite. L’état doit aussi clarifier les rôles entre la commune de Saly et la SAPCO pour une bonne gestion des lieux touristique. Remettre de l’ordre dans ce bazar qui tue le tourisme. Il faut impliquer tous les acteurs pour redonner à la petite côte son lustre d’en temps.
Bocar Ly, CCR Mbour
Dans les années 80 et 90 on croisait dans les rue de Mbour plusieurs nationalités, Allemande, Italienne, Suisse, Belge, Espagnole. Aujourd’hui c’est le désert.
La crise est profonde, les professionnel du tourisme ne savent plus à quel saint se vouer. Les restaurants, les Boutiques, les hôtels baissent les rideaux. C’est tout le tissu économique qui risque de s’écrouler.
Les professionnels accusent l’état et la SAPCO de mauvaise gestion. L’insalubrité des lieux, les constructions anarchiques, la dégradation des routes, l’érosion côtière, la destruction des espaces verts, le harcèlement des touristes par des bandes de badeaux incontrôlés, l’envaillissement des lieux par les mendiants, le manque d’organisation du transport, le déficit de promotion à l’étranger donnent du grain à moudre aux nouvelles autorités.
Il faut que notre fleuron du tourisme qu’est Saly retrouve sont lustre d’en temps avant d’envisager des perspectives ailleurs.
Cependant, certaines mesures prisent sont à saluer, notamment la baisse de la TVA, la possibilité pour les hôteliers de disposer de titre foncier leur permettant de lever plus facilement des fonds au niveau des bailleurs. Les nouveaux projets de la SAPCO, notamment Point Sarène, Mbodiène et Joal Finion. Mais, mais, il faut le dire ! et le répéter !! si Saly ne marche pas les reste aussi ne marchera pas !!!
Il faut que le nouveau ministre prenne le taureau par les cornes, le suivi dans l’aménagement de Saly, la salubrité, la sécurité, la réglementation des nouvelles implantations doivent être pris très au sérieux, revu et corrigée au plus vite. L’état doit aussi clarifier les rôles entre la commune de Saly et la SAPCO pour une bonne gestion des lieux touristique. Remettre de l’ordre dans ce bazar qui tue le tourisme. Il faut impliquer tous les acteurs pour redonner à la petite côte son lustre d’en temps.
Bocar Ly, CCR Mbour