Le vice-président égyptien Omar Souleimane, nommé samedi dernier par le chef de l'État Hosni Moubarak, a annoncé jeudi qu'il ne serait pas candidat à l'élection présidentielle en septembre. Il a rejeté d'autre part toute ingérence étrangère dans les affaires intérieures de l'Égypte. "L'ingérence dans nos affaires intérieures est (...) inacceptable et nous ne permettrons pas cela", a-t-il dit dans une interview à la télévision nationale.
Les violences entre manifestants favorables et hostiles au président égyptien Hosni Moubarak sont le résultat "d'un complot" fomenté par des gens en Égypte même ou à l'étranger, a-t-il par ailleurs déclaré. "Nous allons étudier (les violences), en considérant qu'il s'agissait d'un complot", a-t-il ajouté. "Il est possible qu'il y ait plusieurs desseins étrangers, ou des Frères musulmans (...) ou de certains partis ou d'hommes d'affaires. La plupart de ceux qui sont toujours à la place Tahrir ont des desseins spécifiques", a ajouté Omar Souleimane, nommé samedi dernier vice-président.
Les affrontements depuis mercredi à la mi-journée sur la place Tahrir, dans le centre du Caire, ont fait au moins huit morts selon un nouveau bilan du ministère égyptien de la Santé, cité par l'agence officielle Mena. Selon des sources médicales, les heurts ont fait plus de 1 000 blessés.
Reuters et AFP
Les violences entre manifestants favorables et hostiles au président égyptien Hosni Moubarak sont le résultat "d'un complot" fomenté par des gens en Égypte même ou à l'étranger, a-t-il par ailleurs déclaré. "Nous allons étudier (les violences), en considérant qu'il s'agissait d'un complot", a-t-il ajouté. "Il est possible qu'il y ait plusieurs desseins étrangers, ou des Frères musulmans (...) ou de certains partis ou d'hommes d'affaires. La plupart de ceux qui sont toujours à la place Tahrir ont des desseins spécifiques", a ajouté Omar Souleimane, nommé samedi dernier vice-président.
Les affrontements depuis mercredi à la mi-journée sur la place Tahrir, dans le centre du Caire, ont fait au moins huit morts selon un nouveau bilan du ministère égyptien de la Santé, cité par l'agence officielle Mena. Selon des sources médicales, les heurts ont fait plus de 1 000 blessés.
Reuters et AFP