Elu tel qu’il l’a été en 2000, même le gougnafier le moins diplômé du Cap au Caire n’aurait pas été aussi lamentablement éjecté tel qu’il l’a été. Il était arrivé de France en Décembre 1999, accueilli comme un héros, il retournera en France 12 ans après, chassé comme un zéro. Les huées lors du 1er tour des élections de Février 2012 dans son propre centre de vote seront ses derniers instants de communion avec les sénégalais à la suite d’un triste règne qu’il a lui-même résumé par ces propos que l’on retiendra de lui : « ma wakhone, wakhète ».
Il est parti, nous laissant ses déchets du PDS, mais lui-même est déjà rentré dans les poubelles de l’histoire du Sénégal. Aucun stade, aucun aéroport, aucun hôpital, aucune place, ne portera son nom. Seuls des dossiers porteront le nom d’Abdoulaye Wade. Les reportages ou documentaires qu’il mérite sont des bêtisiers. Adieu le vioque, puisses-tu ne jamais remettre les pieds au Sénégal, si ce n’est pour répondre de tes actes devant les tribunaux
Bonjour Macky et bon vent
Wade ne se serait pas entêté à briguer un 3ème mandat illégal, nous aurions probablement eu un 2ème tour disputé entre Macky Sall et Moustapha Niasse. Tous deux ont œuvré pour mériter d’arriver en tête des élections du premier tour. Les sénégalais n’auraient alors eu que l’embarras du choix. Il n’aurait pas été alors certain que Macky gagnerait aussi facilement face à Niasse, ce dernier étant un personnage qui rassure, loin d’être affamé comme le vioque, qui aurait pu regrouper autour de lui beaucoup de candidats malheureux du 1er tour, et bénéficier de l’adhésion de bon nombre de leurs électeurs
Macky a travaillé pendant 3 ans après avoir été éjecté de l’Assemblée Nationale. Il a naturellement récolté les fruits de son dur labeur. Cependant, quiconque prend le relais après le passage dévastateur de Wade et ses cleptomanes est plus à plaindre qu’à envier. Le vioque a passé son temps à ruiner les institutions, à torchonniser la constitution, à déconstruire l’économie, à prostituer la morale, à inverser les valeurs morales et éthiques. Quiconque qui passe après lui devrait bénéficier d’un minimum de période de grâce pour ne fusse que faire un état des lieux et déminer un tant soit peu le système kleptocratique laissé en héritage par le vioque
Malgré tous les malheurs que nous a souhaités le vioque, le chaos après lui, les salaires impayés dès le 4ème mois, les ténèbres sans son fils, Macky et ses alliés ont su stopper la marche du Sénégal vers le néant auquel les Wade et leurs complices l’y avaient dirigé en pilotage automatique si les commandes devaient leur être retirées des mains. Un an après ces prévisions catastrophiques du vioque, - les salaires continuent non seulement d’être payés, mais ils ont été augmentés, - les lampes sont restées allumées malgré le programme énergétique concocté par le vioque et son fils qui ne devait durer, selon leurs plans, que l’instant d’une élection avant de demander aux sénégalais de retourner à la bougie, - la famine qui avait été programmée pour le milieu rural par un sabotage de la campagne agricole a été déjouée, - la flambée des prix qui devait résulter de l’incapacité de l’Etat à maintenir une quelconque subvention à cause de caisses vidées, des budgets annuels pillés en un trimestre, sera contenue, …….
12 mois après la fuite du vioque, le nouveau régime a empêché le Sénégal de sombrer comme il y était programmé, et cela suffit amplement comme bilan satisfaisant pour un an car c’est comme faire 10 longs kilomètres de sprint comme échauffement avant un match de foot qui s’annonce extrêmement rude. Les nouveaux tenants du pouvoir méritent aujourd’hui plus que jamais d’être soutenus dans la remise en état de la nation, tant que leur volonté de débarrasser le pays du système qui l’avait hypothéqué reste manifeste.
Certains journalistes, commentateurs, sites d’information, politiciens, font beaucoup de bruit, font dans la démagogie, le chantage ou la surenchère, Il y’a beaucoup d’hypocrisie dans certains commentaires, du zèle, du m’as-tu-vu, de la malhonnêteté, du manque de réalisme, mais nous pouvons faire confiance au peuple sénégalais. La majorité silencieuse, qui est loin de certains mediums reste cohérente dans sa démarche, elle comprend ce qui se déroule sous ses yeux, elle sait faire la différence entre le vrai et l’ivraie. Les législatives ont démontré cette cohérence des sénégalais, une cohérence qu’ils vont poursuivre lors des locales en renforçant les moyens de sa mission donnés au nouveau régime choisi.
Moustapha Niasse et l’Assemblée Nationale
Meilleur choix ne pouvait être fait. L’homme a la dimension de la fonction, et il a surtout la légitimité d’être la 2ème personnalité de l’Etat car placé par les sénégalais juste derrière Macky en Février 2012. Une telle position de Président de l’Assemblée Nationale, et 2ème personnalité de l’Etat n’est plus le seul choix des représentants du peuple à l’Assemblée, mais du peuple lui-même. Il va sans dire que le mandat de la présidence de l’Assemblée Nationale doit être ramené à la durée d’avant les règlements de compte du vioque
Parler de partage de gâteau est ridicule
On gagne ensemble, on gouverne ensemble. Le principe est valable n’importe où sur cette planète, et le Sénégal n’est ni sur Mars, ni ailleurs. Ce n’est certainement pas avec le PDS et/ou la Cap 21 qu’il fallait gouverner. D’autre part, le simple choix d’un Chef de Gouvernement qui n’est membre d’aucun parti politique est suffisant pour démontrer l’ouverture du pouvoir aux technocrates et à la société civile également. Choisir un Ministre de l’Economie et des Finances membre d’aucun parti ne fait que confirmer cette ouverture. Mais il s’en trouvera toujours des hâbleurs pour parler de partage de gâteau, soit parce que simplets, soit malhonnête, ou parce que simplement privés d’une bouchée
Les pilleurs doivent être traqués jusqu’aux chio…
Récupérer l’argent volé par les Wade, leurs larbins et complices reste une promesse de campagne que les sénégalais surveillent comme du lait sur le feu. Ce n’est pas une mince à faire tellement ces cleptomanes étaient avides et rivalisaient d’inspiration dans les méthodes de pillage. C’est un travail de longue haleine qui trouvera sur son chemin tous types d’obstacles du fait des ramifications et des complicités. Cette traque doit s’effectuer sans pitié car en prison croupissent des voleurs de poulet, alors que les voleurs de milliards pullulent dehors, avec comme figure emblématique le fils du vioque, Karim Wade
La communication sur le sujet de la traque des biens mal acquis ne sera pas simple à gérer face à certains individus malhonnêtes ou démagogues, journalistes, politiciens, analystes, psseudo politologues, pour la plupart, qui accuseront l’Etat, tantôt de trop parler du sujet, tantôt de mutisme sur le sujet.
Dans tous les cas, ce que nous voulons, c’est notre argent. Et laisser sortir du pays Karim et compagnies, c’est laisser partir nos voleurs. Il faut effectivement leur fermer les frontières tant que pèsent sur eux des soupçons sérieux et légitimes.
A «Y’en a marre »
Il faut éviter de tomber dans l’excès, dans le piège du besoin d’exister, dans la démagogie. Apercevoir un micro ou une caméra ne doit pas pousser à la ramener forcément, au risque de travestir l’idée du Nouveau Type de Sénégalais et de le dénier ce profil à tout ce qui n’est pas vous ou ne tourne pas autour de vous.
Attention à ce qu’on n’en ait pas marre de vos «y’en a marre» intempestifs, interminables, névrotiques, et sans discernement.
Attention à l’idée stupide que certains d’entre vous véhiculent consistant à reprocher à d’autres patriotes ayant combattu l’ancien régime, de se ranger aux côtés du nouveau régime pour apporter leur pierre à l’édifice de construction d’un Sénégal nouveau. Au contraire c’est un bien meilleur signe de patriotisme de se mettre au service de république, que ce que vous faites, à savoir rester dans le privé ou dans le freelance sans risque d’être autant contrôlés que eux dans leurs nouvelles fonctions et dans leurs agissements.
Au sujet de Souleymane Jules Diop, Abdou Latif Coulibaly, et les autres
Les savoir membre du régime actuel est rassurant et une caution suffisante. Ils ont énormément fait pour le Sénégal, ils ont énormément contribué à l’éclairage et à l’éveil des citoyens ces 12 dernières années. Bien malhonnêtes, ou peut-être tout simplement envieux, sont ceux qui disent ne plus les reconnaître, uniquement parce que l’un n’est plus reclus en exil toujours entre 2 procès intentés par des bourreaux du Sénégal, et parce que l’autre a décidé de se lancer dans une autre forme d’engagement pour son pays après lui avoir donné durant une décennie les pistes indéniables pour recouvrer une bonne partie de l’argent volé par les mêmes bourreaux que précédemment. Que n’auraient-ils pas pu avoir comme richesse et honneur sous l’ancien régime s’ils avaient accepté de se taire, de se ranger, ou de se compromettre comme d’autres l’ont fait ? Que n’ont-ils pas subi pour avoir dénoncé la mal gouvernance du régime du vioque ? Que n’ont-ils pas traversé comme misère et difficultés tout en continuant à refuser de sacrifier une once de leur dignité, de leur intégrité, ou de leur patriotisme ?
Non ce n’est sûrement pas d’anciens fumeurs de yamba, ou commanditaires d’expéditions punitives contre ses camarades, comme Malal Talla (ou Fou Malade) qui vont donner des leçons de bonne conduite ou de patriotisme à ces deux là. Encore moins ces quelques journalistes qui nourrissent de gros complexes vis-à-vis de leurs deux confrères qui les dépassent de loin en intégrité, compétence, connaissance, culture, et en engagement,
Il est également heureux de compter parmi les nouveaux tenants du pouvoir, ou en tout cas parmi leurs proches collaborateurs ou conseillers, d’autres figures emblématiques de la lutte contre le système cancéreux qui a failli faire basculer le Sénégal dans le chaos s’il perdurait, je cite : Amath Dansokho, Abdoulaye Bathily, Alioune Fall, Penda Mbow, Abdou Aziz Diop, Momar Samb, Imam Mbaye Niang, et bien d’autres.
Dans la suite de ce texte sont soulevés quelques sujets qui feront l’objet d’une seconde partie ou de contributions ultérieures
Le débat sur la légalisation de l’homosexualité
La rumeur a en réalité été distillée par les homosexuels bien connus appartenant à la fameuse « génération du concret ». Les Karim Wade, Bachir Diawara, Bara Gaye sont donc entre autres à l’origine de cette rumeur. Au sein de la « génération du concret », comme dans certaines franges du PDS, il est usuel qu’un homme s’offre à un autre pour lui donner un gage de fidélité ou pour ainsi signer un pacte de non trahison. Et ceci n’est pas une rumeur mais du concret.
A propos de Idrissa Seck
On reviendra sur le cas Idrissa Seck, sur ses sorties malheureuses récentes qui démontrent que l’inconstance est la seule chose dans laquelle il est constant. Pendant des années il a régulièrement dit aux sénégalais toutes choses et leurs contraires sur Wade et son système. Avec Idy, ce ne sera pas seulement du « Ma wokhone, wakhète », mais du « ma wokhone, wakhète, wakhate, whokhète, wakhaty, wakhètaty, tè parègouma ». Son principal adversaire, c’est lui-même, c’est sa tortuosité, malgré une intelligence malheureusement utilisée à mauvais escient la plupart du temps. Mais les sénégalais ne sont pas dupes, ils le lui ont démontré en 2012. Même ses propres électeurs de 2007 lui ont tourné le dos, il a perdu 300.000 électeurs entre les élections de 2007 et celles de 2012, passant de 510.000 a 210.000 électeurs. Et si il s’entête dans sa tortuosité comme il vient de le faire, les sénégalais le rangeront définitivement aux oubliettes en 2017 comme Djibo
A propos de Sidy Lamine Niasse
Le comportement du mollah maître chanteur n’a échappé à personne et est facile à expliquer. Le mollah s’est braqué contre le nouveau régime entre les deux tours des présidentielles de 2012 par jalousie après le rapprochement Macky Sall – Youssou Ndour pour qui il a une haine infinie. Le mollah envieux s’est radicalisé davantage et en a perdu la tête après l’autre rapprochement qui s’en est suivi, Macky Sall – Moustapha Niasse.
Youssou Ndour et Moustapha Niasse sont les 2 êtres que le mollah mercenaire hait le plus au monde, et il a donc braqué tous ses journalistes et organes de presse contre le régime de Macky Sall et ses alliés. Le mollah mercenaire savait dès l’entre deux tours, qu’avec de tels alliés de Macky au pouvoir, ses chantages ne passeront plus aussi facilement que cela l’était sous le vioque qui lui avait entre autres gratifié en catimini de 400 millions soutirés aux pauvres contribuables à la suite de faits d’agression qui ne concernaient pourtant ni l’Etat, ni les contribuables.
A suivre
Il est parti, nous laissant ses déchets du PDS, mais lui-même est déjà rentré dans les poubelles de l’histoire du Sénégal. Aucun stade, aucun aéroport, aucun hôpital, aucune place, ne portera son nom. Seuls des dossiers porteront le nom d’Abdoulaye Wade. Les reportages ou documentaires qu’il mérite sont des bêtisiers. Adieu le vioque, puisses-tu ne jamais remettre les pieds au Sénégal, si ce n’est pour répondre de tes actes devant les tribunaux
Bonjour Macky et bon vent
Wade ne se serait pas entêté à briguer un 3ème mandat illégal, nous aurions probablement eu un 2ème tour disputé entre Macky Sall et Moustapha Niasse. Tous deux ont œuvré pour mériter d’arriver en tête des élections du premier tour. Les sénégalais n’auraient alors eu que l’embarras du choix. Il n’aurait pas été alors certain que Macky gagnerait aussi facilement face à Niasse, ce dernier étant un personnage qui rassure, loin d’être affamé comme le vioque, qui aurait pu regrouper autour de lui beaucoup de candidats malheureux du 1er tour, et bénéficier de l’adhésion de bon nombre de leurs électeurs
Macky a travaillé pendant 3 ans après avoir été éjecté de l’Assemblée Nationale. Il a naturellement récolté les fruits de son dur labeur. Cependant, quiconque prend le relais après le passage dévastateur de Wade et ses cleptomanes est plus à plaindre qu’à envier. Le vioque a passé son temps à ruiner les institutions, à torchonniser la constitution, à déconstruire l’économie, à prostituer la morale, à inverser les valeurs morales et éthiques. Quiconque qui passe après lui devrait bénéficier d’un minimum de période de grâce pour ne fusse que faire un état des lieux et déminer un tant soit peu le système kleptocratique laissé en héritage par le vioque
Malgré tous les malheurs que nous a souhaités le vioque, le chaos après lui, les salaires impayés dès le 4ème mois, les ténèbres sans son fils, Macky et ses alliés ont su stopper la marche du Sénégal vers le néant auquel les Wade et leurs complices l’y avaient dirigé en pilotage automatique si les commandes devaient leur être retirées des mains. Un an après ces prévisions catastrophiques du vioque, - les salaires continuent non seulement d’être payés, mais ils ont été augmentés, - les lampes sont restées allumées malgré le programme énergétique concocté par le vioque et son fils qui ne devait durer, selon leurs plans, que l’instant d’une élection avant de demander aux sénégalais de retourner à la bougie, - la famine qui avait été programmée pour le milieu rural par un sabotage de la campagne agricole a été déjouée, - la flambée des prix qui devait résulter de l’incapacité de l’Etat à maintenir une quelconque subvention à cause de caisses vidées, des budgets annuels pillés en un trimestre, sera contenue, …….
12 mois après la fuite du vioque, le nouveau régime a empêché le Sénégal de sombrer comme il y était programmé, et cela suffit amplement comme bilan satisfaisant pour un an car c’est comme faire 10 longs kilomètres de sprint comme échauffement avant un match de foot qui s’annonce extrêmement rude. Les nouveaux tenants du pouvoir méritent aujourd’hui plus que jamais d’être soutenus dans la remise en état de la nation, tant que leur volonté de débarrasser le pays du système qui l’avait hypothéqué reste manifeste.
Certains journalistes, commentateurs, sites d’information, politiciens, font beaucoup de bruit, font dans la démagogie, le chantage ou la surenchère, Il y’a beaucoup d’hypocrisie dans certains commentaires, du zèle, du m’as-tu-vu, de la malhonnêteté, du manque de réalisme, mais nous pouvons faire confiance au peuple sénégalais. La majorité silencieuse, qui est loin de certains mediums reste cohérente dans sa démarche, elle comprend ce qui se déroule sous ses yeux, elle sait faire la différence entre le vrai et l’ivraie. Les législatives ont démontré cette cohérence des sénégalais, une cohérence qu’ils vont poursuivre lors des locales en renforçant les moyens de sa mission donnés au nouveau régime choisi.
Moustapha Niasse et l’Assemblée Nationale
Meilleur choix ne pouvait être fait. L’homme a la dimension de la fonction, et il a surtout la légitimité d’être la 2ème personnalité de l’Etat car placé par les sénégalais juste derrière Macky en Février 2012. Une telle position de Président de l’Assemblée Nationale, et 2ème personnalité de l’Etat n’est plus le seul choix des représentants du peuple à l’Assemblée, mais du peuple lui-même. Il va sans dire que le mandat de la présidence de l’Assemblée Nationale doit être ramené à la durée d’avant les règlements de compte du vioque
Parler de partage de gâteau est ridicule
On gagne ensemble, on gouverne ensemble. Le principe est valable n’importe où sur cette planète, et le Sénégal n’est ni sur Mars, ni ailleurs. Ce n’est certainement pas avec le PDS et/ou la Cap 21 qu’il fallait gouverner. D’autre part, le simple choix d’un Chef de Gouvernement qui n’est membre d’aucun parti politique est suffisant pour démontrer l’ouverture du pouvoir aux technocrates et à la société civile également. Choisir un Ministre de l’Economie et des Finances membre d’aucun parti ne fait que confirmer cette ouverture. Mais il s’en trouvera toujours des hâbleurs pour parler de partage de gâteau, soit parce que simplets, soit malhonnête, ou parce que simplement privés d’une bouchée
Les pilleurs doivent être traqués jusqu’aux chio…
Récupérer l’argent volé par les Wade, leurs larbins et complices reste une promesse de campagne que les sénégalais surveillent comme du lait sur le feu. Ce n’est pas une mince à faire tellement ces cleptomanes étaient avides et rivalisaient d’inspiration dans les méthodes de pillage. C’est un travail de longue haleine qui trouvera sur son chemin tous types d’obstacles du fait des ramifications et des complicités. Cette traque doit s’effectuer sans pitié car en prison croupissent des voleurs de poulet, alors que les voleurs de milliards pullulent dehors, avec comme figure emblématique le fils du vioque, Karim Wade
La communication sur le sujet de la traque des biens mal acquis ne sera pas simple à gérer face à certains individus malhonnêtes ou démagogues, journalistes, politiciens, analystes, psseudo politologues, pour la plupart, qui accuseront l’Etat, tantôt de trop parler du sujet, tantôt de mutisme sur le sujet.
Dans tous les cas, ce que nous voulons, c’est notre argent. Et laisser sortir du pays Karim et compagnies, c’est laisser partir nos voleurs. Il faut effectivement leur fermer les frontières tant que pèsent sur eux des soupçons sérieux et légitimes.
A «Y’en a marre »
Il faut éviter de tomber dans l’excès, dans le piège du besoin d’exister, dans la démagogie. Apercevoir un micro ou une caméra ne doit pas pousser à la ramener forcément, au risque de travestir l’idée du Nouveau Type de Sénégalais et de le dénier ce profil à tout ce qui n’est pas vous ou ne tourne pas autour de vous.
Attention à ce qu’on n’en ait pas marre de vos «y’en a marre» intempestifs, interminables, névrotiques, et sans discernement.
Attention à l’idée stupide que certains d’entre vous véhiculent consistant à reprocher à d’autres patriotes ayant combattu l’ancien régime, de se ranger aux côtés du nouveau régime pour apporter leur pierre à l’édifice de construction d’un Sénégal nouveau. Au contraire c’est un bien meilleur signe de patriotisme de se mettre au service de république, que ce que vous faites, à savoir rester dans le privé ou dans le freelance sans risque d’être autant contrôlés que eux dans leurs nouvelles fonctions et dans leurs agissements.
Au sujet de Souleymane Jules Diop, Abdou Latif Coulibaly, et les autres
Les savoir membre du régime actuel est rassurant et une caution suffisante. Ils ont énormément fait pour le Sénégal, ils ont énormément contribué à l’éclairage et à l’éveil des citoyens ces 12 dernières années. Bien malhonnêtes, ou peut-être tout simplement envieux, sont ceux qui disent ne plus les reconnaître, uniquement parce que l’un n’est plus reclus en exil toujours entre 2 procès intentés par des bourreaux du Sénégal, et parce que l’autre a décidé de se lancer dans une autre forme d’engagement pour son pays après lui avoir donné durant une décennie les pistes indéniables pour recouvrer une bonne partie de l’argent volé par les mêmes bourreaux que précédemment. Que n’auraient-ils pas pu avoir comme richesse et honneur sous l’ancien régime s’ils avaient accepté de se taire, de se ranger, ou de se compromettre comme d’autres l’ont fait ? Que n’ont-ils pas subi pour avoir dénoncé la mal gouvernance du régime du vioque ? Que n’ont-ils pas traversé comme misère et difficultés tout en continuant à refuser de sacrifier une once de leur dignité, de leur intégrité, ou de leur patriotisme ?
Non ce n’est sûrement pas d’anciens fumeurs de yamba, ou commanditaires d’expéditions punitives contre ses camarades, comme Malal Talla (ou Fou Malade) qui vont donner des leçons de bonne conduite ou de patriotisme à ces deux là. Encore moins ces quelques journalistes qui nourrissent de gros complexes vis-à-vis de leurs deux confrères qui les dépassent de loin en intégrité, compétence, connaissance, culture, et en engagement,
Il est également heureux de compter parmi les nouveaux tenants du pouvoir, ou en tout cas parmi leurs proches collaborateurs ou conseillers, d’autres figures emblématiques de la lutte contre le système cancéreux qui a failli faire basculer le Sénégal dans le chaos s’il perdurait, je cite : Amath Dansokho, Abdoulaye Bathily, Alioune Fall, Penda Mbow, Abdou Aziz Diop, Momar Samb, Imam Mbaye Niang, et bien d’autres.
Dans la suite de ce texte sont soulevés quelques sujets qui feront l’objet d’une seconde partie ou de contributions ultérieures
Le débat sur la légalisation de l’homosexualité
La rumeur a en réalité été distillée par les homosexuels bien connus appartenant à la fameuse « génération du concret ». Les Karim Wade, Bachir Diawara, Bara Gaye sont donc entre autres à l’origine de cette rumeur. Au sein de la « génération du concret », comme dans certaines franges du PDS, il est usuel qu’un homme s’offre à un autre pour lui donner un gage de fidélité ou pour ainsi signer un pacte de non trahison. Et ceci n’est pas une rumeur mais du concret.
A propos de Idrissa Seck
On reviendra sur le cas Idrissa Seck, sur ses sorties malheureuses récentes qui démontrent que l’inconstance est la seule chose dans laquelle il est constant. Pendant des années il a régulièrement dit aux sénégalais toutes choses et leurs contraires sur Wade et son système. Avec Idy, ce ne sera pas seulement du « Ma wokhone, wakhète », mais du « ma wokhone, wakhète, wakhate, whokhète, wakhaty, wakhètaty, tè parègouma ». Son principal adversaire, c’est lui-même, c’est sa tortuosité, malgré une intelligence malheureusement utilisée à mauvais escient la plupart du temps. Mais les sénégalais ne sont pas dupes, ils le lui ont démontré en 2012. Même ses propres électeurs de 2007 lui ont tourné le dos, il a perdu 300.000 électeurs entre les élections de 2007 et celles de 2012, passant de 510.000 a 210.000 électeurs. Et si il s’entête dans sa tortuosité comme il vient de le faire, les sénégalais le rangeront définitivement aux oubliettes en 2017 comme Djibo
A propos de Sidy Lamine Niasse
Le comportement du mollah maître chanteur n’a échappé à personne et est facile à expliquer. Le mollah s’est braqué contre le nouveau régime entre les deux tours des présidentielles de 2012 par jalousie après le rapprochement Macky Sall – Youssou Ndour pour qui il a une haine infinie. Le mollah envieux s’est radicalisé davantage et en a perdu la tête après l’autre rapprochement qui s’en est suivi, Macky Sall – Moustapha Niasse.
Youssou Ndour et Moustapha Niasse sont les 2 êtres que le mollah mercenaire hait le plus au monde, et il a donc braqué tous ses journalistes et organes de presse contre le régime de Macky Sall et ses alliés. Le mollah mercenaire savait dès l’entre deux tours, qu’avec de tels alliés de Macky au pouvoir, ses chantages ne passeront plus aussi facilement que cela l’était sous le vioque qui lui avait entre autres gratifié en catimini de 400 millions soutirés aux pauvres contribuables à la suite de faits d’agression qui ne concernaient pourtant ni l’Etat, ni les contribuables.
A suivre