Diourbel, depuis le temps des socialistes jusqu'à nos jours en passant par l’alternance n’a pas changé de visage quant a l’allure réelle d’une ville en émergence. Cette région centre du Sénégal s’est faite remarquer par son paysage qui inquiète autant de générations. Dans tous les domaines ou secteurs de développement, Diourbel présente des insuffisances énormes, des manquements et un défaut de potentiels a même d’assurer une meilleure adaptation a son environnement. La présentation du bilan de ville est une évidence a tout point de vue.son aspect économique, social, culturel et autres est autant d’illustrations du niveau de pauvreté de la ville perceptible et qui ne cesse d’interpeller la conscience de ses fils. L’occupation de cette ville par des citoyens sénégalais suffit comme raison pour que nous soyons considérés en tant que sénégalais devant faire partie intégrante de la gestion des affaires de ce pays conformément a ce qui se passe ailleurs. Les Diourbellois ont toujours participé aux différentes élections présidentielles dont la plus frappante est celle de 2007 ou Diourbel s’est fortement exprimé en faveur de la mouvance présidentielle. Ce qui devrait se traduire par un réel changement de la ville en essor de développement dans toutes exigences avec une conséquence positive dans la réorientation de sa politique de développement local.
Diourbel, une ville absente de tout ce qui se fait ; nous ne sommes associer à rien et n’avons bénéficié d’aucun programme à même d’améliorer la situation de la ville. Une telle situation demande l’implication de tout diourbellois pour une recherche de solution à nos souffrances et une insertion de notre ville dans la sphère des grands centres urbains en émergence. Devons-nous nous montrer passifs ou inactifs ? Autant de question auxquelles nous devons apporter des éléments de réponse. La responsabilité de la situation de Diourbel ne relève pas seulement de celle de l’état qui en réalité a l’obligation de doter la ville d’infrastructures d’envergures mais aussi et surtout la négligence des certains de ses fils qui refusent de s’investir pour accompagner le développement par la réalisation de chantiers bâtis. Cette réflexion survient à la suite d’une analyse objective par rapport aux différentes réalisations faites dans d’autres régions marquées par des faits majeurs qui ont pour nom : inauguration d’unités de production, dotation d’infrastructures routières, promotion des cadres de ces villes et d’autres avantages qu’on ne peut pas citer. Face à toutes ces situations voir ces problèmes, tout Diourbel devrait se tenir debout comme un seul individu pour revendiquer un nouvel élan lui permettant de se rattraper vis-à-vis de son retard.
Les présidentielles de 2012 constituent un virage très important ou Diourbel devra se voir et se faire. Nous devons par tous les moyens éviter de rater ce tournant afin de ne pas la replonger dans la continuité de son état actuel. Nous devons nous montrer exigent et ferme pour relancer de développement de notre chère localité. Chaque Diourbellois se doit d’aller au-delà de ses appartenances pour ne regarder qu’en direction de cette voie qui permettra à Diourbel de décoller pour un meilleur épanouissement de ses populations .on ne saurait plus accepter de faire l’objet d’un oubli, d’une exclusion et d’un enclavement par rapport à toute politique en direction des collectivités locales . Il est tant que Diourbel occupe sa place pour faire face à l’ensemble des défis auxquels il se trouve confronter. Ses populations sont entrain de se déportées vers d’autres horizons, les établissements privés souffrent de rentabilité, l’émigration de ses fils, l’absence de plus value, le dépouillement de ses cadres de responsabilité de direction ; la non intégration de ces derniers dans la sphère de l’état la marginalisation de la région qui se faire parler par le biais de la ville sainte de Touba et son quotidien plongé dans la monotonie. Diourbel est la seule capitale régionale à l’heure actuelle de la mondialisation dépourvue de station de radio privée. Ce qui témoigne de la réelle crise qui affecte cette ville. L’heure est à l’appel au secours ou un SOS de redressement de la situation de cette ville habitée par d’honnêtes citoyens. Voilà un signal d’alarme quant au devenir que peut présenter cette ville. Tous les acteurs politiques et autres se rendent à l’évidence des réelles difficultés qui s’y présentent.
Notre conscience se trouve interpellée par rapport à notre rôle et la conduite que nous devons adopter pour remplir cette mission noble de faire réhabiliter Diourbel pour le bonheur de ses enfants en lui assurant des lendemains meilleurs. Les élections de 2012 sont un virage important et capital si bien qu’il urge de pousser la réflexion quant aux choix qu’il faut opérer en direction de ces différents candidats. Notre choix ne peut avoir pour signification la contrainte de faire Diourbel qui a beaucoup souffert des différents passages de pouvoir Rater ce virage nous plongerait dans cette même situation que nous vivons qui se traduit par des sentiments de désolation, d’amertume de regrets et de monotonie sans fin. Aimer sa ville, son terroir fait parti du renforcement de la foi de l’individu et c’est ainsi que nous devons nous monter très attachés à notre ville pour y jouer le rôle qui nous est dévolu. Le changement de notre comportement envers la ville est la seule condition qui peut aider à relever de défi de la réhabilitation de Diourbel qui ne peut passer et se faire que par ses propres enfants. Nous sommes donc face à des impératifs ; des contraintes, des obligations, des privations et des sacrifices pour qu’ensemble nous puissions conjuguer nos efforts échanger nos expériences, renforcer nos capacités au prix de permettre aux générations futures de pouvoir jouir convenablement des retombées de cette lutte qui est de bâtir Diourbel.
Par Dr Amath NIANG
Président du Mouvement And Suxali Ndiarème
Tel : 776391797
E-mail: athngbar@yahoo.fr
Diourbel, une ville absente de tout ce qui se fait ; nous ne sommes associer à rien et n’avons bénéficié d’aucun programme à même d’améliorer la situation de la ville. Une telle situation demande l’implication de tout diourbellois pour une recherche de solution à nos souffrances et une insertion de notre ville dans la sphère des grands centres urbains en émergence. Devons-nous nous montrer passifs ou inactifs ? Autant de question auxquelles nous devons apporter des éléments de réponse. La responsabilité de la situation de Diourbel ne relève pas seulement de celle de l’état qui en réalité a l’obligation de doter la ville d’infrastructures d’envergures mais aussi et surtout la négligence des certains de ses fils qui refusent de s’investir pour accompagner le développement par la réalisation de chantiers bâtis. Cette réflexion survient à la suite d’une analyse objective par rapport aux différentes réalisations faites dans d’autres régions marquées par des faits majeurs qui ont pour nom : inauguration d’unités de production, dotation d’infrastructures routières, promotion des cadres de ces villes et d’autres avantages qu’on ne peut pas citer. Face à toutes ces situations voir ces problèmes, tout Diourbel devrait se tenir debout comme un seul individu pour revendiquer un nouvel élan lui permettant de se rattraper vis-à-vis de son retard.
Les présidentielles de 2012 constituent un virage très important ou Diourbel devra se voir et se faire. Nous devons par tous les moyens éviter de rater ce tournant afin de ne pas la replonger dans la continuité de son état actuel. Nous devons nous montrer exigent et ferme pour relancer de développement de notre chère localité. Chaque Diourbellois se doit d’aller au-delà de ses appartenances pour ne regarder qu’en direction de cette voie qui permettra à Diourbel de décoller pour un meilleur épanouissement de ses populations .on ne saurait plus accepter de faire l’objet d’un oubli, d’une exclusion et d’un enclavement par rapport à toute politique en direction des collectivités locales . Il est tant que Diourbel occupe sa place pour faire face à l’ensemble des défis auxquels il se trouve confronter. Ses populations sont entrain de se déportées vers d’autres horizons, les établissements privés souffrent de rentabilité, l’émigration de ses fils, l’absence de plus value, le dépouillement de ses cadres de responsabilité de direction ; la non intégration de ces derniers dans la sphère de l’état la marginalisation de la région qui se faire parler par le biais de la ville sainte de Touba et son quotidien plongé dans la monotonie. Diourbel est la seule capitale régionale à l’heure actuelle de la mondialisation dépourvue de station de radio privée. Ce qui témoigne de la réelle crise qui affecte cette ville. L’heure est à l’appel au secours ou un SOS de redressement de la situation de cette ville habitée par d’honnêtes citoyens. Voilà un signal d’alarme quant au devenir que peut présenter cette ville. Tous les acteurs politiques et autres se rendent à l’évidence des réelles difficultés qui s’y présentent.
Notre conscience se trouve interpellée par rapport à notre rôle et la conduite que nous devons adopter pour remplir cette mission noble de faire réhabiliter Diourbel pour le bonheur de ses enfants en lui assurant des lendemains meilleurs. Les élections de 2012 sont un virage important et capital si bien qu’il urge de pousser la réflexion quant aux choix qu’il faut opérer en direction de ces différents candidats. Notre choix ne peut avoir pour signification la contrainte de faire Diourbel qui a beaucoup souffert des différents passages de pouvoir Rater ce virage nous plongerait dans cette même situation que nous vivons qui se traduit par des sentiments de désolation, d’amertume de regrets et de monotonie sans fin. Aimer sa ville, son terroir fait parti du renforcement de la foi de l’individu et c’est ainsi que nous devons nous monter très attachés à notre ville pour y jouer le rôle qui nous est dévolu. Le changement de notre comportement envers la ville est la seule condition qui peut aider à relever de défi de la réhabilitation de Diourbel qui ne peut passer et se faire que par ses propres enfants. Nous sommes donc face à des impératifs ; des contraintes, des obligations, des privations et des sacrifices pour qu’ensemble nous puissions conjuguer nos efforts échanger nos expériences, renforcer nos capacités au prix de permettre aux générations futures de pouvoir jouir convenablement des retombées de cette lutte qui est de bâtir Diourbel.
Par Dr Amath NIANG
Président du Mouvement And Suxali Ndiarème
Tel : 776391797
E-mail: athngbar@yahoo.fr