
La plupart des jeunes qui aiment Youssou Ndour ne savent peut-être rien de son passé. Il est à la tête d'une grande société de médias et qui est sans aucun doute, la plus suivie au Sénégal. Avec une centaine d'employés, sans compter ses autres entreprises.
Cerise sur le gâteau, c'est le Roi du mbalakh incontesté. Mais que de chemin parcouru ! Ce jeudi, lors du Conseil présidentiel, il a lancé un message fort aux jeunes: "ne refusez pas un stage non payé, ne minimisez pas un salaire. Il faut vous armer de patience. Tôt ou tard, la patience finira par payer", avait-il dit.
Il ne croyait pas si bien dire car, pour ceux qui ne le savent pas, il lui arrivait d'être payé trois cents (300) ou quatre cents (400) francs Cfa par prestation par feu Ibra Kassé, alors patron du Miami Night Club. C'est dire la patience et la foi qui animaient le futur homme d'affaires qu'il était. Des tout grands sont passés par là, comme Bob Marley, qui se faisait aussi payer des miettes, d'où les paroles de sa chanson "Three little birds": "Don't worry about a thing, cause every little thing gonna be all right ".
Cerise sur le gâteau, c'est le Roi du mbalakh incontesté. Mais que de chemin parcouru ! Ce jeudi, lors du Conseil présidentiel, il a lancé un message fort aux jeunes: "ne refusez pas un stage non payé, ne minimisez pas un salaire. Il faut vous armer de patience. Tôt ou tard, la patience finira par payer", avait-il dit.
Il ne croyait pas si bien dire car, pour ceux qui ne le savent pas, il lui arrivait d'être payé trois cents (300) ou quatre cents (400) francs Cfa par prestation par feu Ibra Kassé, alors patron du Miami Night Club. C'est dire la patience et la foi qui animaient le futur homme d'affaires qu'il était. Des tout grands sont passés par là, comme Bob Marley, qui se faisait aussi payer des miettes, d'où les paroles de sa chanson "Three little birds": "Don't worry about a thing, cause every little thing gonna be all right ".