Etre ministre dans une République exige à la personne cette capacité à se démettre de ses fonctions pour se livrer à la justice afin d’élucider l’opinion publique chaque fois que sa responsabilité est supposée même engagée directement ou indirectement dans des affaires nébuleuses ou scandaleuses. La modestie doit être l’apanage du gouvernant comme le constat le montre dans les grandes démocraties développées.
Dans les démocraties civilisées et policées un ministre ne peut pas être « un soumis ou une soumise », sa liberté de pensée et de prendre des décisions parfois sans connotations politiques marquent sont attachement et son dévouement au service d’une cause c'est-à-dire celle que aspire le peuple.
Par contre être minable à la place d’un ministre au Sénégal peut s’illustrer avec mille et une manières. Des ministres qui sont impliqués dans des affaires de mœurs qui profitent de leurs statuts pour détourner des deniers publics, en construisant des maisons ou des immeubles inestimables. L’origine de a fortune ne peut en aucun cas être justifiée par le salaire.
Etre minable à la place d’un ministre c’est mentir constamment au peuple comme Samuel Sarr qui le fait aisément sur la situation énergétique du pays.
C’est avoir le visage joufflu du à la bouffe à la bouffe ingrate de l’argent du contribuable.
Etre minable c’est se refugier derrière certains leaders religieux pour pérenniser son poste, c’est porter des costards de luxe dans des 4x4 au milieu des eaux stagnantes et verdâtres pour compatir avec les sinistrés.
C’est accepter un poste ministériel sans portefeuille ou avec un porfeuille qui fait la risée du Sénégal dans le monde.
Etre minable c’est renoncé à ces principes au profit d’un chef grabataire mentalement ou se transformer en sbire pour plaire un président.
C’est porté des « grands boubous » pour dissuader ces pratiques païennes constituées de gris- gris pour s’eterniser dans le pouvoir et continuer à gaspiller l’argent des pauvres.
Je m’arrête ici car le minable au Sénégal à la place du ministre se manifeste chaque jour sous des couleurs différentes.
khadimly@live.fr
Dans les démocraties civilisées et policées un ministre ne peut pas être « un soumis ou une soumise », sa liberté de pensée et de prendre des décisions parfois sans connotations politiques marquent sont attachement et son dévouement au service d’une cause c'est-à-dire celle que aspire le peuple.
Par contre être minable à la place d’un ministre au Sénégal peut s’illustrer avec mille et une manières. Des ministres qui sont impliqués dans des affaires de mœurs qui profitent de leurs statuts pour détourner des deniers publics, en construisant des maisons ou des immeubles inestimables. L’origine de a fortune ne peut en aucun cas être justifiée par le salaire.
Etre minable à la place d’un ministre c’est mentir constamment au peuple comme Samuel Sarr qui le fait aisément sur la situation énergétique du pays.
C’est avoir le visage joufflu du à la bouffe à la bouffe ingrate de l’argent du contribuable.
Etre minable c’est se refugier derrière certains leaders religieux pour pérenniser son poste, c’est porter des costards de luxe dans des 4x4 au milieu des eaux stagnantes et verdâtres pour compatir avec les sinistrés.
C’est accepter un poste ministériel sans portefeuille ou avec un porfeuille qui fait la risée du Sénégal dans le monde.
Etre minable c’est renoncé à ces principes au profit d’un chef grabataire mentalement ou se transformer en sbire pour plaire un président.
C’est porté des « grands boubous » pour dissuader ces pratiques païennes constituées de gris- gris pour s’eterniser dans le pouvoir et continuer à gaspiller l’argent des pauvres.
Je m’arrête ici car le minable au Sénégal à la place du ministre se manifeste chaque jour sous des couleurs différentes.
khadimly@live.fr