Après la publication du rapport «Doing Business» sur l’environnement des affaires au Sénégal, de nombreux observateurs de l’univers économique, évoluant tant au niveau interne qu’externe du pays, se sont émus du rang attribué à notre pays. Admettons-le, ce rang aurait pu être plus flatteur !
Le Chef de l’État, Son excellence Monsieur Macky Sall, en a fait une bonne lecture. Lors du Conseil des Ministres réuni le jeudi 7 novembre 2013, le Président de la République a admis que ce rang nous incitait à travailler davantage pour mettre en route les réformes attendues de nous, par les bailleurs de fonds et les investisseurs, de telles mesures indispensables à la mise en place d’un environnement économique plus favorable à l’investissement.
Le Chef de l’État a, à la suite, recommandé en particulier au Gouvernement de faire du rapport une lecture dynamique et cohérente. Nous ne saurions contester le travail du « Doing Business ». Il nous semble toutefois utile d’apporter des éléments de clarification dans le débat qui permettent de relativiser certaines critiques parfois injustes adressées à notre Gouvernement, à la suite de la publication du dernier rapport annuel.
Certaines de ces critiques laissent parfois entendre que le pays n’a pas tellement avancé depuis 2012, en matière de réforme de la gouvernance et de l’amélioration des facteurs de performance de notre économie.
Rien n’est moins évident qu’une telle prétention. Le classement «Doing Business» travaille sur la base de dix critères
majeurs particuliers s’occupant de façon décisive à analyser l’environnement économique, au sens strict du terme.
Une telle préoccupation est certes noble. Mais elle nous semble toutefois réductrice, dès lors qu’elle est confrontée à la problématique de la mauvaise gouvernance qui, depuis l’indépendance de nos pays, hypothèque presque tous les efforts de développement entrepris sur le continent.
Le Chef de l’État, Son excellence Monsieur Macky Sall, en a fait une bonne lecture. Lors du Conseil des Ministres réuni le jeudi 7 novembre 2013, le Président de la République a admis que ce rang nous incitait à travailler davantage pour mettre en route les réformes attendues de nous, par les bailleurs de fonds et les investisseurs, de telles mesures indispensables à la mise en place d’un environnement économique plus favorable à l’investissement.
Le Chef de l’État a, à la suite, recommandé en particulier au Gouvernement de faire du rapport une lecture dynamique et cohérente. Nous ne saurions contester le travail du « Doing Business ». Il nous semble toutefois utile d’apporter des éléments de clarification dans le débat qui permettent de relativiser certaines critiques parfois injustes adressées à notre Gouvernement, à la suite de la publication du dernier rapport annuel.
Certaines de ces critiques laissent parfois entendre que le pays n’a pas tellement avancé depuis 2012, en matière de réforme de la gouvernance et de l’amélioration des facteurs de performance de notre économie.
Rien n’est moins évident qu’une telle prétention. Le classement «Doing Business» travaille sur la base de dix critères
majeurs particuliers s’occupant de façon décisive à analyser l’environnement économique, au sens strict du terme.
Une telle préoccupation est certes noble. Mais elle nous semble toutefois réductrice, dès lors qu’elle est confrontée à la problématique de la mauvaise gouvernance qui, depuis l’indépendance de nos pays, hypothèque presque tous les efforts de développement entrepris sur le continent.