La campagne électorale se poursuit mais sous une pluie battante. Des candidats bravent les eaux pour parler aux citoyens. Dès lors, le véritable casse-tête reste les centres de vote qui sont sous la menace des inondations. La Cena note que toutes les dispositions sont prises.
D'après "Rewmi", l’organisation d’un bon scrutin est un challenge pour le régime en place. La Commission nationale électorale autonome est en train de mettre les bouchées doubles en vue de la tenue d’une bonne élection. Avec ce scrutin de dimanche, Issa Sall, le chargé de la communication de la structure en charge des élections, a expliqué que « cette semaine, l’accent est aussi mis sur la formation des contrôleurs et des superviseurs ». A l’en croire, « au total, ils seront 22.000 dans les bureaux de vote. Les contrôleurs seront 1000 pour la diaspora qui a déjà reçu le matériel ». Ils seront près de 6 millions d’électeurs qui seront appelés aux urnes pour élire leurs députés au nombre de 120.
Pikine compte 65 lieux de vote, constitués d’écoles qui sont à la merci des eaux. Selon le Préfet, les sapeurs-pompiers sont déjà en piste pour évacuer ces eaux. Pour Mamadou Moustapha Ndiaye, le conditionnement du matériel est déjà fait et tout est déjà disponible. « Je ne parlerai pas d’inondations, mais des centres de vote impactés par la pluie. Nous avons mission d’organiser une élection dans la meilleure des manières », argue le Préfet.
Idem dans le département de Guédiawaye, où les autorités font tout pour parer à toute pluie. Toutes les dispositions sont prises en vue de tenir des élections dans les meilleures conditions. Les inondations risquent de jouer sur le taux d’abstention.
D'après "Rewmi", l’organisation d’un bon scrutin est un challenge pour le régime en place. La Commission nationale électorale autonome est en train de mettre les bouchées doubles en vue de la tenue d’une bonne élection. Avec ce scrutin de dimanche, Issa Sall, le chargé de la communication de la structure en charge des élections, a expliqué que « cette semaine, l’accent est aussi mis sur la formation des contrôleurs et des superviseurs ». A l’en croire, « au total, ils seront 22.000 dans les bureaux de vote. Les contrôleurs seront 1000 pour la diaspora qui a déjà reçu le matériel ». Ils seront près de 6 millions d’électeurs qui seront appelés aux urnes pour élire leurs députés au nombre de 120.
Pikine compte 65 lieux de vote, constitués d’écoles qui sont à la merci des eaux. Selon le Préfet, les sapeurs-pompiers sont déjà en piste pour évacuer ces eaux. Pour Mamadou Moustapha Ndiaye, le conditionnement du matériel est déjà fait et tout est déjà disponible. « Je ne parlerai pas d’inondations, mais des centres de vote impactés par la pluie. Nous avons mission d’organiser une élection dans la meilleure des manières », argue le Préfet.
Idem dans le département de Guédiawaye, où les autorités font tout pour parer à toute pluie. Toutes les dispositions sont prises en vue de tenir des élections dans les meilleures conditions. Les inondations risquent de jouer sur le taux d’abstention.