« On doit aussi comptabiliser le coût pour l’Etat de ces hauts fonctionnaires et ministres qui ont abandonné leurs postes pour aller faire campagne. Tout cela est estimé à 12 milliards FCfa, selon des indiscrétions de chefs affolés et déçus de BBY ». Alors, le cas le plus cocasse est le DG de la Senelec.
D’après l’économiste, « le pauvre Bitèye obligé de faire campagne à Kaolack alors que la Senelec traverse des moments difficiles, les coupures intempestives ont repris ». A dire vrai, « le Président Macky Sall a mis le paquet pour gagner largement ces élections législatives et s’ouvrir un boulevard pour une troisième candidature et la présidence à vie ».
« Face à lui, l’opposition Yewwi-Wallu a dépensé des miettes pour lui arracher l’Assemblée nationale. La porte d’une troisième candidature, retient-il, est close et définitivement close, comme dirait Moustapha Niasse. »
A l’en croire, il est temps de se pencher sérieusement sur le financement public des partis politiques et des campagnes électorales. « En attendant, il reste au Président Macky Sall à organiser un repli en bon ordre de son armée défaite », conseille-t-il. « C’est possible pour la paix et la stabilité du Sénégal. Il lui suffit de féliciter l’opposition démocratique pour commencer et ne pas suivre les Mimi Touré et autres candidats encagoulés à la présidentielle. »
D’après l’économiste, « le pauvre Bitèye obligé de faire campagne à Kaolack alors que la Senelec traverse des moments difficiles, les coupures intempestives ont repris ». A dire vrai, « le Président Macky Sall a mis le paquet pour gagner largement ces élections législatives et s’ouvrir un boulevard pour une troisième candidature et la présidence à vie ».
« Face à lui, l’opposition Yewwi-Wallu a dépensé des miettes pour lui arracher l’Assemblée nationale. La porte d’une troisième candidature, retient-il, est close et définitivement close, comme dirait Moustapha Niasse. »
A l’en croire, il est temps de se pencher sérieusement sur le financement public des partis politiques et des campagnes électorales. « En attendant, il reste au Président Macky Sall à organiser un repli en bon ordre de son armée défaite », conseille-t-il. « C’est possible pour la paix et la stabilité du Sénégal. Il lui suffit de féliciter l’opposition démocratique pour commencer et ne pas suivre les Mimi Touré et autres candidats encagoulés à la présidentielle. »