"Aucun accord national n'a été trouvé" avec le PS et EELV pour les législatives sur les circonscriptions où il y a un risque d'élimination de la gauche à l'issue du premier tour à cause du Front national, avait un peu plus tôt affirmé Lydie Benoît, responsable élections du PCF.
A l'issue d'un entretien de deux heures avec le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, Mme Aubry a confirmé vendredi qu'il n'y avait "pas d'accord avec le Front de gauche, parce qu'il y a des désaccords au sein du Front de gauche" (PCF et Parti de gauche).
Selon elle, "le travail a été mené avec le Parti communiste dans de très bonnes conditions, un très bon climat".
"C'est une responsabilité qui dépend d'eux, que nous respectons, que nous regrettons, mais le travail a été fait dans de bonnes conditions", a-t-elle précisé à la presse.
Martine Aubry a toutefois estimé que cette absence d'accord ne devrait pas faire perdre de circonscriptions à la gauche, puisque les discussions portaient sur des zones où elle ne partait pas favorite mais où il s'agissait d'éviter son élimination dès le premier tour.
A l'issue d'un entretien de deux heures avec le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, Mme Aubry a confirmé vendredi qu'il n'y avait "pas d'accord avec le Front de gauche, parce qu'il y a des désaccords au sein du Front de gauche" (PCF et Parti de gauche).
Selon elle, "le travail a été mené avec le Parti communiste dans de très bonnes conditions, un très bon climat".
"C'est une responsabilité qui dépend d'eux, que nous respectons, que nous regrettons, mais le travail a été fait dans de bonnes conditions", a-t-elle précisé à la presse.
Martine Aubry a toutefois estimé que cette absence d'accord ne devrait pas faire perdre de circonscriptions à la gauche, puisque les discussions portaient sur des zones où elle ne partait pas favorite mais où il s'agissait d'éviter son élimination dès le premier tour.