Les rues sont devenues accessibles. Dakar retrouve ainsi sa joie de vivre. Les nombreux commerces ont ouvert. Cette partie avait été considérée comme place sensible à cause de sa proximité avec la présidence de la République. Les candidats avaient été interdits d’y manifester malgré le règlement intérieur du code électoral, pourtant constitutionnalisé en 2001. Aujourd’hui, les personnes vaquent normalement à leurs occupations, loin des clichés qui donnaient Dakar ville morte au lendemain du scrutin présidentiel. En bons débatteurs, les kiosques à journaux sont entourés et les commentaires vont bon train sur les résultats provisoire.
xalima.com
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