‘’Nous avons pu mobiliser 109 millions 826 mille francs. Et ces ressources ayant servi à financer le processus sont exclusivement nationales’’, a notamment dit M. Kane lors de la cérémonie de restitution finale des travaux organisée au Méridien Président.
‘’C’est un sanglant démenti à ceux qui disaient que les Assises nationales étaient financées de l’extérieur. Nous n’avons accepté aucun franc qui n’est pas Sénégalais’’, a ajouté M. Kane sous des applaudissements nourris de l’assistance constituée des parties prenantes (partis politiques, organisations socioprofessionnelles, syndicales, de la société civile).
Sur le mode de financement, Mor Talla Kane a souligné que les Assises nationales ont été financées avec la participation des parties prenantes (20 %), les contributions individuelles et volontaires (75 %) et les produits des bons de participation (5 %).
‘’L’essentiel des parties prenantes ont pu contribuer’’, a indiqué le rapporteur ajoutant qu’il y a aussi, pour chacune des organisations, ‘’un investissement humain qui ne peut pas être évalué’’.
Mor Talla Kane a dit qu’au sortir de la cérémonie officielle de lancement des Assises nationales, le 1-er juin 2008, le budget prévisionnel du processus avait été estimé à 103 millions de francs CFA.
Avec un peu plus de 107 millions de francs dépensés sur les 109 millions 826 mille francs de contribution, ‘’nous avons un gap positif de 2 millions 87 mille francs’’, a-t-il relevé appelant les détenteurs de bons de participation et de sommes d’argent à les remettre à la Commission pour la suite du processus.
‘’Nous en avons besoin, la suite du processus nécessitera de l’argent’’, a poursuivi Mor Talla Kane qui a précisé que les dépenses effectuées ont notamment concerné les réunions, l’achat de matériel bureautique, la contribution au financement des ‘’consultations citoyennes’’.
Trois commissions transversales et huit thématiques ont planché pendant dix mois, contre six comme initialement prévu dans le chronogramme initial, sur de nombreuses questions dont les institutions, la liberté, la citoyenneté, le monde rural, la politique économique.
Le rapporteur général des travaux, le général Mouhamadou Keïta, a expliqué la longueur du par ‘’diverses épreuves’’ : un hivernage pluvieux, diverses fêtes religieuses, ouverture de chantiers nouveaux, quête permanente de la qualité, démarche participative et recherche du consensus, etc.
La cérémonie de restitution finale des travaux des Assises ont été présidées par Amadou Mahtar Mbow, président du Comité national de pilotage, qui avait été à ses côtés des membres du bureau dont Cheikh Hamidou Kane, Mansour Kama, Mamadou Lamine Loum, le général Mouhamadou Keïta.
‘’C’est un sanglant démenti à ceux qui disaient que les Assises nationales étaient financées de l’extérieur. Nous n’avons accepté aucun franc qui n’est pas Sénégalais’’, a ajouté M. Kane sous des applaudissements nourris de l’assistance constituée des parties prenantes (partis politiques, organisations socioprofessionnelles, syndicales, de la société civile).
Sur le mode de financement, Mor Talla Kane a souligné que les Assises nationales ont été financées avec la participation des parties prenantes (20 %), les contributions individuelles et volontaires (75 %) et les produits des bons de participation (5 %).
‘’L’essentiel des parties prenantes ont pu contribuer’’, a indiqué le rapporteur ajoutant qu’il y a aussi, pour chacune des organisations, ‘’un investissement humain qui ne peut pas être évalué’’.
Mor Talla Kane a dit qu’au sortir de la cérémonie officielle de lancement des Assises nationales, le 1-er juin 2008, le budget prévisionnel du processus avait été estimé à 103 millions de francs CFA.
Avec un peu plus de 107 millions de francs dépensés sur les 109 millions 826 mille francs de contribution, ‘’nous avons un gap positif de 2 millions 87 mille francs’’, a-t-il relevé appelant les détenteurs de bons de participation et de sommes d’argent à les remettre à la Commission pour la suite du processus.
‘’Nous en avons besoin, la suite du processus nécessitera de l’argent’’, a poursuivi Mor Talla Kane qui a précisé que les dépenses effectuées ont notamment concerné les réunions, l’achat de matériel bureautique, la contribution au financement des ‘’consultations citoyennes’’.
Trois commissions transversales et huit thématiques ont planché pendant dix mois, contre six comme initialement prévu dans le chronogramme initial, sur de nombreuses questions dont les institutions, la liberté, la citoyenneté, le monde rural, la politique économique.
Le rapporteur général des travaux, le général Mouhamadou Keïta, a expliqué la longueur du par ‘’diverses épreuves’’ : un hivernage pluvieux, diverses fêtes religieuses, ouverture de chantiers nouveaux, quête permanente de la qualité, démarche participative et recherche du consensus, etc.
La cérémonie de restitution finale des travaux des Assises ont été présidées par Amadou Mahtar Mbow, président du Comité national de pilotage, qui avait été à ses côtés des membres du bureau dont Cheikh Hamidou Kane, Mansour Kama, Mamadou Lamine Loum, le général Mouhamadou Keïta.