Les lions du football attendent eux aussi les terrains promis depuis leur sacre au Cameroun. Il faut dans ce cadre précis, en vouloir aux collaborateurs du Président, dont les réactions et le manque de suivi ont pour effet de fragiliser la personnalité du Chef. En règle générale, quand le Président prend une décision, il appartient à d’autres de l’exécuter, sans perdre trop de temps.
Il est inadmissible de constater dans plusieurs cas sociaux, que les promesses du Président tardent à se réaliser, pas par sa faute mais par celle de ceux qui sont chargés de l’exécution. On ne peut pas se réfugier derrière les procédures pour banaliser la parole du président de la République, Gardien de la Constitution, Père de la Nation et Chef de l’administration.
Cela, d’autant plus que dans l’arsenal administratif, il existe une règle relative à l’allègement des procédures et, dans certains cas, on met en branle la procédure d’urgence. Dans le cas précis des promesses faites aux sportifs, la presse s’émeut des lenteurs constatées malgré la volonté du Chef de l’État de récompenser tous les mérites des citoyens sénégalais, surtout ceux acquis de haute lutte dans les compétitions internationales.
La non exécution rapide des directives du Président est frappée d’une certaine latence, qui fait que dans presque tous les communiqués du Conseil des Ministres, le Chef de l’État ne cesse de rappeler ses directives comme s’il s’adressait à des sourds-muets. C’est impardonnable pour un pays qui a la forte ambition de s’installer avant longtemps, sur les terres tant désirées de l’émergence.
Le Président a beau être dynamique, consciencieux, intelligent et travaillant près de vingt heures par jour, il ne peut pas être au début et à la fin de toutes les décisions qu’il prend à longueur de journée. Ceux qui sont ses collaborateurs, dont les ministres, les agents de la haute administration et tous les autres collaborateurs choisis par le Président, doivent se ceindre davantage les reins pour mieux l’aider à accomplir la chargé que lui ont confiée ses compatriotes. Certes, le fonctionnement de l’administration obéit à bien des règles, mais celles-ci, quelle que soit leur rigueur, doivent s’interpréter dans l’esprit et non coûte que coûte, dans la lettre.
Que je sache, le président de la République ne prend jamais de décision à la légère et chaque fois qu’il en prend une, c’est parce qu’elle a été mûrement réfléchie. Vivement que dans les tout prochains jours, les Sénégalais apprennent de qui de droit, que les lionnes du basket et les lions du Pays de la Téranga sont en possession de leurs biens. Ce sera tout à l’honneur du Président Macky Sall, conducteur émérite de notre destin collectif.
Majib Sène
Il est inadmissible de constater dans plusieurs cas sociaux, que les promesses du Président tardent à se réaliser, pas par sa faute mais par celle de ceux qui sont chargés de l’exécution. On ne peut pas se réfugier derrière les procédures pour banaliser la parole du président de la République, Gardien de la Constitution, Père de la Nation et Chef de l’administration.
Cela, d’autant plus que dans l’arsenal administratif, il existe une règle relative à l’allègement des procédures et, dans certains cas, on met en branle la procédure d’urgence. Dans le cas précis des promesses faites aux sportifs, la presse s’émeut des lenteurs constatées malgré la volonté du Chef de l’État de récompenser tous les mérites des citoyens sénégalais, surtout ceux acquis de haute lutte dans les compétitions internationales.
La non exécution rapide des directives du Président est frappée d’une certaine latence, qui fait que dans presque tous les communiqués du Conseil des Ministres, le Chef de l’État ne cesse de rappeler ses directives comme s’il s’adressait à des sourds-muets. C’est impardonnable pour un pays qui a la forte ambition de s’installer avant longtemps, sur les terres tant désirées de l’émergence.
Le Président a beau être dynamique, consciencieux, intelligent et travaillant près de vingt heures par jour, il ne peut pas être au début et à la fin de toutes les décisions qu’il prend à longueur de journée. Ceux qui sont ses collaborateurs, dont les ministres, les agents de la haute administration et tous les autres collaborateurs choisis par le Président, doivent se ceindre davantage les reins pour mieux l’aider à accomplir la chargé que lui ont confiée ses compatriotes. Certes, le fonctionnement de l’administration obéit à bien des règles, mais celles-ci, quelle que soit leur rigueur, doivent s’interpréter dans l’esprit et non coûte que coûte, dans la lettre.
Que je sache, le président de la République ne prend jamais de décision à la légère et chaque fois qu’il en prend une, c’est parce qu’elle a été mûrement réfléchie. Vivement que dans les tout prochains jours, les Sénégalais apprennent de qui de droit, que les lionnes du basket et les lions du Pays de la Téranga sont en possession de leurs biens. Ce sera tout à l’honneur du Président Macky Sall, conducteur émérite de notre destin collectif.
Majib Sène