Pour, Khalifa Sall s’il existe une parfaite entente entre la mairie et le pouvoir central dans la gestion de la capitale, la population doit en retour se donner les moyens d’avoir une capitale belle et respectée. A cet effet, l’édile de la capitale pense qu’il est urgent de reformater la mentalité citadine.
En effet, pour le maire de Dakar, les dakarois ont toujours « des habitudes villageoises ». « Une ville, c’est un comportement », martèle M. Sall avant de faire remarquer que tant que les dakarois n’arrêteront pas de dire que (mbëd mi, mbëd bour la) ou plus exactement : « la rue n’appartient à personne, c’est la propriété de tous les sénégalais) », il sera difficile de rendre propre et belle la capitale.
Ainsi, le premier magistrat de la ville exhorte-t-il l’implication de toute la population pour la réussite des projets de modernisation de la capitale.
Dans ce chapitre, Khalifa Sall a annoncé le recrutement de plus de 500 volontaires afin de renforcer les capacités des autorités municipales dans la gestion de l’espace urbain et du cadre de vie, la construction d’un deuxième hôpital municipal aux Parcelles Assainies.
« L’urbanisation est un grand combat, un grand défi », ajoute l’édile de la capitale qui reste plus que jamais convaincu que les commerçants de Sandaga doivent obligatoirement être déplacés. « Il est urgent de faire partir les commerçants du bâtiment central. C’est une question de sécurité », dit M. Sall qui a toutefois précisé qu’il n’est pas possible de déplacer tout le marché Sandaga avant 5 ans ou 10 ans. Parce que la mairie n’a pas les moyens qu’il faut pour la réalisation d’un tel projet.
Préoccupé par l’encombrement de Dakar, Khalifa Sall reste intransigeant. Ainsi, fera-t-il savoir que quoi qu’il arrive, les trottoirs seront libérés. Aussi-a-t-il souligné que cette opération de désencombrement se fait par une démarche participative et inclusive des marchands ambulants. « A la différence de l’Etat, nous avons responsabilisé les ambulants. Tout se fera avec eux et les promoteurs », soutient le maire de Dakar qui a révélé qu’ils (mairie et ambulants) sont très proches d’une solution de recasement sur un nouveau site d’une superficie de 4 hectares.
- Par ZAHRA -
NETTALI.NET-
En effet, pour le maire de Dakar, les dakarois ont toujours « des habitudes villageoises ». « Une ville, c’est un comportement », martèle M. Sall avant de faire remarquer que tant que les dakarois n’arrêteront pas de dire que (mbëd mi, mbëd bour la) ou plus exactement : « la rue n’appartient à personne, c’est la propriété de tous les sénégalais) », il sera difficile de rendre propre et belle la capitale.
Ainsi, le premier magistrat de la ville exhorte-t-il l’implication de toute la population pour la réussite des projets de modernisation de la capitale.
Dans ce chapitre, Khalifa Sall a annoncé le recrutement de plus de 500 volontaires afin de renforcer les capacités des autorités municipales dans la gestion de l’espace urbain et du cadre de vie, la construction d’un deuxième hôpital municipal aux Parcelles Assainies.
« L’urbanisation est un grand combat, un grand défi », ajoute l’édile de la capitale qui reste plus que jamais convaincu que les commerçants de Sandaga doivent obligatoirement être déplacés. « Il est urgent de faire partir les commerçants du bâtiment central. C’est une question de sécurité », dit M. Sall qui a toutefois précisé qu’il n’est pas possible de déplacer tout le marché Sandaga avant 5 ans ou 10 ans. Parce que la mairie n’a pas les moyens qu’il faut pour la réalisation d’un tel projet.
Préoccupé par l’encombrement de Dakar, Khalifa Sall reste intransigeant. Ainsi, fera-t-il savoir que quoi qu’il arrive, les trottoirs seront libérés. Aussi-a-t-il souligné que cette opération de désencombrement se fait par une démarche participative et inclusive des marchands ambulants. « A la différence de l’Etat, nous avons responsabilisé les ambulants. Tout se fera avec eux et les promoteurs », soutient le maire de Dakar qui a révélé qu’ils (mairie et ambulants) sont très proches d’une solution de recasement sur un nouveau site d’une superficie de 4 hectares.
- Par ZAHRA -
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