
C‘est en novembre 2020 que cette transaction, longtemps attendue par Abu Dhabi, a été approuvée à la dernière minute par l'administration de Donald Trump. À l'époque, la vente de cinquante appareils F-35 aux Émirats arabes unis avait été interprétée comme une sorte de contrepartie à la normalisation des relations entre la monarchie du Golfe et l'État hébreu. Les accords dits d'Abraham avaient en effet été signés deux mois plus tôt sous l'égide de Washington.