C’est du côté de l’Unesco, qu’une discrète démarche a été entamée il y a trois ans, pour convaincre le Président des Etats-Unis, puis le Congrès américain, qui devait donner son accord pour la partie paiement des arriérés de cotisation.
Selon des sources diplomatiques, c’est en février 2021 que la Directrice générale, Mme Audrey Azoulay a pris contact avec le Président du Sénégal, entre autres personnalités, pour qu’il use de son influence au niveau international, à la veille de sa présidence de l’Union africaine, pour plaider auprès du Président Biden nouvellement élu, pour un retour des Américains au sein de l’Unesco.
Ainsi, informe-t-on, à plusieurs reprises, lors des rencontres internationales, le Président Sall a tenté de convaincre son homologue américain, en lui indiquant notamment que les organisations multilatérales sont devenues « un champ de bataille et on ne déserte pas un champ de bataille ». D’autres organisations de lobbying américain, ont aussi insisté pour une entrée en action du Président sénégalais, malgré le fait, avaient-ils souligné, que le Sénégal préside depuis toujours le Comité pour la Défense des intérêts de la Palestine. Ce qu’a fait prévaloir le Président Sénégalais, c’est qu’un terrain abandonné est vite investi par d’autres puissances rivales.
La semaine dernière, le Congrès américain a finalement donné son feu vert au retour des Etats-Unis, que de nombreux experts considèrent comme une façon de contrer la montée de la Chine dans les organisations multilatérales.
Leral.net
Selon des sources diplomatiques, c’est en février 2021 que la Directrice générale, Mme Audrey Azoulay a pris contact avec le Président du Sénégal, entre autres personnalités, pour qu’il use de son influence au niveau international, à la veille de sa présidence de l’Union africaine, pour plaider auprès du Président Biden nouvellement élu, pour un retour des Américains au sein de l’Unesco.
Ainsi, informe-t-on, à plusieurs reprises, lors des rencontres internationales, le Président Sall a tenté de convaincre son homologue américain, en lui indiquant notamment que les organisations multilatérales sont devenues « un champ de bataille et on ne déserte pas un champ de bataille ». D’autres organisations de lobbying américain, ont aussi insisté pour une entrée en action du Président sénégalais, malgré le fait, avaient-ils souligné, que le Sénégal préside depuis toujours le Comité pour la Défense des intérêts de la Palestine. Ce qu’a fait prévaloir le Président Sénégalais, c’est qu’un terrain abandonné est vite investi par d’autres puissances rivales.
La semaine dernière, le Congrès américain a finalement donné son feu vert au retour des Etats-Unis, que de nombreux experts considèrent comme une façon de contrer la montée de la Chine dans les organisations multilatérales.
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