"On est dans un virage en termes de missions et d’effectifs, mais l’armée française restera au Sénégal, parce que c’est la volonté de nos deux présidents", a notamment déclaré le commandant Paulus.
L’officier s’exprimait en marge d’une cérémonie d’inuaguration d’une salle de conférence multimédia à la pouponnière de l’ONG "Vivre ensemble".
Selon lui, les deux chefs d’Etat (Sarkozy et Wade) sont ’’tout à fait sur la même fréquence par rapport au retrait des forces armées françaises du Cap-Vert avec une signature à terme d’un accord de coopération et de maintien de cette coopération avec un nouveau périmètre plus réduit’’.
"Tout cela est en train de se mettre en forme ; ce qui fait que la période 2010-2012 verra les forces françaises du Cap-Vert disparaître en tant que telles et voir naître une nouvelle structure qui pourrait s’appeler Eléments français au Sénégal", a-t-il indiqué.
Il a expliqué que cette nouvelle structure aura une seule mission, celle de coopération militaire bilatérlae, prioritairement avec le Sénégal mais aussi au régionale pour toute l’Afrique de l’Ouest, pour accompagner le processus de montée en puissance de l’activité africaine de paix et de sécurité "voulue et pilotée" par l’Union africaine.
Les forces françaises du Cap-Vert sont présentes au Sénégal depuis 1974 avec la signature d’un accord de défense entre la France et Le Sénégal, avec plus d’une dizaine d’actions civilo-militaires réalisées chaque année et partout au Sénégal.
"Une trentaine d’années après la signature de ce accord de défense, près de 500 actions civilo-militaires ont été faites au profit des populations, notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé et au profit des enfants et des adolescents", a souligné Olivier Paulus.
Il a estimé que l’armée française a "modestement" contribué à aider les populations sénégalaises. "C’est à peu près une image de l’armée française tout à fait positive. Et on ressent aussi ce vieux lien séculaire et historique que nosu revendiquons tous entre la France et le Sénégal", a-t-il dit.
L’officier s’exprimait en marge d’une cérémonie d’inuaguration d’une salle de conférence multimédia à la pouponnière de l’ONG "Vivre ensemble".
Selon lui, les deux chefs d’Etat (Sarkozy et Wade) sont ’’tout à fait sur la même fréquence par rapport au retrait des forces armées françaises du Cap-Vert avec une signature à terme d’un accord de coopération et de maintien de cette coopération avec un nouveau périmètre plus réduit’’.
"Tout cela est en train de se mettre en forme ; ce qui fait que la période 2010-2012 verra les forces françaises du Cap-Vert disparaître en tant que telles et voir naître une nouvelle structure qui pourrait s’appeler Eléments français au Sénégal", a-t-il indiqué.
Il a expliqué que cette nouvelle structure aura une seule mission, celle de coopération militaire bilatérlae, prioritairement avec le Sénégal mais aussi au régionale pour toute l’Afrique de l’Ouest, pour accompagner le processus de montée en puissance de l’activité africaine de paix et de sécurité "voulue et pilotée" par l’Union africaine.
Les forces françaises du Cap-Vert sont présentes au Sénégal depuis 1974 avec la signature d’un accord de défense entre la France et Le Sénégal, avec plus d’une dizaine d’actions civilo-militaires réalisées chaque année et partout au Sénégal.
"Une trentaine d’années après la signature de ce accord de défense, près de 500 actions civilo-militaires ont été faites au profit des populations, notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé et au profit des enfants et des adolescents", a souligné Olivier Paulus.
Il a estimé que l’armée française a "modestement" contribué à aider les populations sénégalaises. "C’est à peu près une image de l’armée française tout à fait positive. Et on ressent aussi ce vieux lien séculaire et historique que nosu revendiquons tous entre la France et le Sénégal", a-t-il dit.