"Dans un communiqué poussif, sous des oripeaux pédantesques, historicistes et technicistes, le PS est revenu sur la pénurie de l’eau et, comme le gouvernement de Macky SALL les accuse de ne pas monter au front pour le défendre, il a osé accuser le régime du Président Wade d’être le responsable. Décidément, le PS est resté le même depuis des décennies avec ses techniques de mensonge et de délation connues de tous.
Le régime du Président Wade serait responsable parce que :
- D’une part il s’est tu quand la situation actionnariale s’est modifiée au sein de SDE avant FINAGESTION, filiale de BOUYGUES, qui a remplacé la SAUR, et
- D’autre part il savait que la pièce défectueuse à l’origine de « l’incident » (dixit) était défectueuse et il fallait demander à la société Degrémont de changer la pièce, en application de la garantie décennale
Pour éclairer l’opinion, nous revenons sur ces deux faits avant de faire de faire le point définitif sur le dossier au 25 mars 2012
1. Sur SDE, l’affermage, les avenants et l’actionnariat
Vers la fin des 40 ans de règne du PS, l’eau était devenue une denrée rare et face à cette crise sans précédent, les bailleurs de fonds avaient exigé une réforme sérieuse avant de mettre en place des financements. C’est ainsi que trois entités distinctes furent créées (SONES, SDE, ONAS). Concernant la SDE, les bailleurs avaient exigé la sélection d’une structure privée. C’est ainsi qu’une sélection fut faite et l’affermage fut attribué à SDE pour une période de 10 ans, renouvelable par tranches de 5 ans. Il faut noter à ce propos qu’au départ, en 1996, les actions étaient ainsi réparties :
- 51% SAUR (Bouygues)
- 5% Etat
- 5% Personnel
- 39% Privés sénégalais
Les privés sénégalais étaient principalement des gens proches du parti socialiste. Dans le temps, avec la modification du capital et le choix de Bouygues de vendre ces actions à Finagestion, le capital est ainsi réparti :
- 62,8% FINAGESTION
- 5% Etat
- 32,2% privés sénégalais (les porteurs de valises et autres prête-noms de dirigeants du PS étant toujours dans le capital)
Au moment de la modification de l’actionnariat, le régime de Wade était en train de réfléchir et de proposer une autre alternative (nous y revenons au troisième point de notre communication)
Le contrat d’affermage a été modifié à plusieurs reprises à travers des avenants.
Le premier avenant fut signé par Macky SALL lui même. Il fut signé à l’insu du Président Wade, contre l’avis de la SONES et de ses avocats. C’est ce contrat qui changea fondamentalement le paradigme de l’affermage et annula presque tout risque pour le fermier. Cet avenant est en fait illégal puisqu’il n’est signé que par le seul Macky SALL, Ministre en charge de l’hydraulique. L’avocat de la SONES avait insisté, le parallélisme des formes l’exigeant, que le Ministre des Finances le contresigne et que le Premier l’approuve.
L’avenant n°2 fut signé par la SONES et Macky SALL, et l’avenant n°3 prorogeant le contrat jusqu’en 2011 fut approuvé par le premier de l’époque, M. Macky SALL
Le seul avenant signé après le départ de Macky SALL du gouvernement avait pour l’objet la prorogation sous certaines conditions du contrat avec SDE qui devait changer la forme juridique de la collaboration. Le régime de Macky SALL l’a d’ailleurs annulé, un avenant est signé et l’avant-dernier conseil des ministres avait retenu la signature rapide d’un nouvel avenant sans tenir compte du code des marchés.
2. Sur le marché avec Degrémont
Le marché de Degrémont, filiale de Suez Environnement, fut signé par Macky SALL, Ministre de l’Hydraulique et il connait bien les clauses. Indépendamment des conditions de l’exploitation, on ne peut plus nier que la SDE avait averti l’Etat en 2013, et la responsabilité de l’Etat est totalement engagée. Personne ne peut le nier. La grosse panne, et non l’incident, était prévisible et même visible à un moment donné. L’Etat a tardé à réagir. C’est un fait. Les conclusions et les conditions du marché sont connues du Chef de l’Etat. C’est un autre fait. La SONES a envoyé une lettre de mise en demeure à Degrémont qui n’aura, tout le monde le sait, aucun effet. Elle était inutile et amuse plutôt la galerie. Quand on commence à réparer sans avoir exigé de l’entrepreneur qu’il répare immédiatement après constat d’huissier, sans même utiliser le process défini par l’entrepreneur, et envoyer ensuite une mise en demeure est une véritable escroquerie intellectuelle. C’est un ba-ba. Que cache-t-on ?
D’ailleurs, l’ambassade de France a informé l’opinion publique sénégalaise que, sur proposition de la SONES, la SDE a envoyé un bon de commande de la pièce incriminée à Degrémont. La coopération française va payer, et la SONES remboursera la dette rétrocédée. La France a précisé, par cet acte, les responsabilités. Pourquoi d’ailleurs des audits ? Tout est clair. « Allez voir ailleurs » semble dire la France.
3. Sur les propositions du Président Wade au 25 mars 2012
A la fin du contrat de SDE, le Président a pensé qu’il était temps de changer le paradigme de la gestion au Sénégal. Le contrat avec SDE est un affermage plusieurs types de contrats sont possibles pour l’exploitation de l’AEP en milieu urbain, allant de contrats de management ou de régie à des concessions intégrales, en passant par des schémas intermédiaires de type affermage, affermage concessif etc.
Ce qui était gênant pour le Président Wade, c’était le niveau faible d’investissements auquel était assujettie la SDE (renouvellement d’une partie des branchements, des canalisations et du matériel électromécanique).
Le Président a proposé à SDE un schéma qui rassemblait à l’affermage concessif et qui pouvait être transformé en concession avec fonds de travaux. La SDE ne devait plus seulement exploiter et distribuer les chiffres d’affaires mais aussi réaliser et gérer des investissements lourds. L’avenant signé prolongeait le contrat d’un an et demi, mais demandait à SDE de trouver le financement pour réaliser une usine de dessalement de Dakar avec de l’énergie solaire et une usine de dessalement dans la petite côte, et demandait à la SDE de proposer un plan d’investissement de l’eau pour les 30 prochaines années et, sur cette base, un nouveau contrat pouvait être envisagé, contrat qui pouvait intégrer des aspects liés à l’assainissement.
Avec ce repositionnement stratégique, la SONES aurait eu un autre rôle (gestion des fonds de travaux et de la dette-eau par exemple) mais l’exploitation et la gestion des investissements relèveraient de la SDE. L’accident de septembre 2013 est dû en partie à cette bicéphalie dans la gestion des investissements. La gestion du patrimoine et des gros investissements relèvent de la SONES et la SDE s’occupe des réparations des compteurs et des branchements domiciliaires et de quelques renouvellements. La SDE aurait agi immédiatement dans le schéma proposé par Wade sans attendre la SONES et l’Etat.
On peut dire sans se tromper qu’avec le schéma de Wade, l’accident n’aurait jamais eu lieu. Il y a eu à l’époque beaucoup d’articles téléguidés dans la presse mais ce que nous expliquons peut être vérifié auprès de la SDE. En plus, sous WADE, de 2003 à 2012, pendant 10 ans, l’eau n’a pas augmenté d’un centime.
Pour finir, le PS comme il nous l’a démontré avec ces 40 ans de surplace, de manque de vision, de carence patriotique nous sert cette assertion que « les pays qui ont opté pour une certaine technologie sont plus souvent producteurs de pétrole ou de gaz et disposent, à ce titre, d’une énergie bon marché. »
Voilà le type de parti avec pour creuset des idées limitées qui ont bloqué ce pays des indépendances aux années 2000 par leur manque d’ambition .Voilà la différence d’avec Abdoulaye Wade qui savait ficeler des projets structurants viables sans bourse délier. Il suffit d’un peu d’ingéniosité, de courage politique afin d’imposer aux sociétés investisseurs des conditions favorables à la patrie Sénégal. Il s’agit de savoir négocier avec les partenaires étrangers aux fins de laisser au Sénégal des œuvres pérennes et de dernière génération.
Le PS par cette petite phrase a voulu battre en brèche des idées comme la « désalinisation de l’eau de mer « par la limite de nos moyens, d’avouer encore une fois ses limites objectives en terme de volonté politique, de capacité a impulser le développement et l’émergence de ce pays . Le PS par la même désavoue les qualités intrinsèques de ses ressources humaines, la capacité de celles-ci à élaborer des montages financiers qui bénéficieraient de façon structurelle a notre pays. Tout comme le ciel, la terre, l’eau était en train d’être maitrisée par, justement, ces montages financiers à grande valeur ajoutée pour le peuple sénégalais.
A ce défunt régime de l’UPS/PS avec son secrétaire général qui jusqu’en 2000 ne pensait pas que son village de ndièguène pouvait avoir de l’eau courante et qui encore en 2013 trouve des limites subjectives aux grands projets structurants, nous leur servirons ce que leur allié du jour Macky Sall leur avait répondu un jour de 2006 en inaugurant les grands travaux de maitre Wade. A leurs critiques étriquées il avait répondu à ces mêmes socialistes parlant du président Wade qu’ils osent citer dans leur récente déclaration : « Vous êtes au Sénégal ce que napoléon fut a la France, à chaque fois qu’on eut besoin d un homme d’un seul tous les regards se sont tournés vers vous maitre, comme Roosevelt qui tira l’Amérique de la récession vous avez fini de donner aux éléphants blancs leurs couleurs naturelles » ! En effet, comme disait le président visionnaire maitre Abdoulaye Wade « l’expérience et l’expertise font la différence ».
Tout le monde peut constater qu’avec les faits que nous portons à l’attention de l’opinion, le Parti Socialiste, au lieu de défendre Macky SALL, l’enfonce. Les signatures irresponsables d’avenants et son immobilisme nous ont amené à la catastrophe. Toute solution durable devra prendre en compte le schéma du Président Wade".
Fait à Dakar le 6 Octobre 2013
Le régime du Président Wade serait responsable parce que :
- D’une part il s’est tu quand la situation actionnariale s’est modifiée au sein de SDE avant FINAGESTION, filiale de BOUYGUES, qui a remplacé la SAUR, et
- D’autre part il savait que la pièce défectueuse à l’origine de « l’incident » (dixit) était défectueuse et il fallait demander à la société Degrémont de changer la pièce, en application de la garantie décennale
Pour éclairer l’opinion, nous revenons sur ces deux faits avant de faire de faire le point définitif sur le dossier au 25 mars 2012
1. Sur SDE, l’affermage, les avenants et l’actionnariat
Vers la fin des 40 ans de règne du PS, l’eau était devenue une denrée rare et face à cette crise sans précédent, les bailleurs de fonds avaient exigé une réforme sérieuse avant de mettre en place des financements. C’est ainsi que trois entités distinctes furent créées (SONES, SDE, ONAS). Concernant la SDE, les bailleurs avaient exigé la sélection d’une structure privée. C’est ainsi qu’une sélection fut faite et l’affermage fut attribué à SDE pour une période de 10 ans, renouvelable par tranches de 5 ans. Il faut noter à ce propos qu’au départ, en 1996, les actions étaient ainsi réparties :
- 51% SAUR (Bouygues)
- 5% Etat
- 5% Personnel
- 39% Privés sénégalais
Les privés sénégalais étaient principalement des gens proches du parti socialiste. Dans le temps, avec la modification du capital et le choix de Bouygues de vendre ces actions à Finagestion, le capital est ainsi réparti :
- 62,8% FINAGESTION
- 5% Etat
- 32,2% privés sénégalais (les porteurs de valises et autres prête-noms de dirigeants du PS étant toujours dans le capital)
Au moment de la modification de l’actionnariat, le régime de Wade était en train de réfléchir et de proposer une autre alternative (nous y revenons au troisième point de notre communication)
Le contrat d’affermage a été modifié à plusieurs reprises à travers des avenants.
Le premier avenant fut signé par Macky SALL lui même. Il fut signé à l’insu du Président Wade, contre l’avis de la SONES et de ses avocats. C’est ce contrat qui changea fondamentalement le paradigme de l’affermage et annula presque tout risque pour le fermier. Cet avenant est en fait illégal puisqu’il n’est signé que par le seul Macky SALL, Ministre en charge de l’hydraulique. L’avocat de la SONES avait insisté, le parallélisme des formes l’exigeant, que le Ministre des Finances le contresigne et que le Premier l’approuve.
L’avenant n°2 fut signé par la SONES et Macky SALL, et l’avenant n°3 prorogeant le contrat jusqu’en 2011 fut approuvé par le premier de l’époque, M. Macky SALL
Le seul avenant signé après le départ de Macky SALL du gouvernement avait pour l’objet la prorogation sous certaines conditions du contrat avec SDE qui devait changer la forme juridique de la collaboration. Le régime de Macky SALL l’a d’ailleurs annulé, un avenant est signé et l’avant-dernier conseil des ministres avait retenu la signature rapide d’un nouvel avenant sans tenir compte du code des marchés.
2. Sur le marché avec Degrémont
Le marché de Degrémont, filiale de Suez Environnement, fut signé par Macky SALL, Ministre de l’Hydraulique et il connait bien les clauses. Indépendamment des conditions de l’exploitation, on ne peut plus nier que la SDE avait averti l’Etat en 2013, et la responsabilité de l’Etat est totalement engagée. Personne ne peut le nier. La grosse panne, et non l’incident, était prévisible et même visible à un moment donné. L’Etat a tardé à réagir. C’est un fait. Les conclusions et les conditions du marché sont connues du Chef de l’Etat. C’est un autre fait. La SONES a envoyé une lettre de mise en demeure à Degrémont qui n’aura, tout le monde le sait, aucun effet. Elle était inutile et amuse plutôt la galerie. Quand on commence à réparer sans avoir exigé de l’entrepreneur qu’il répare immédiatement après constat d’huissier, sans même utiliser le process défini par l’entrepreneur, et envoyer ensuite une mise en demeure est une véritable escroquerie intellectuelle. C’est un ba-ba. Que cache-t-on ?
D’ailleurs, l’ambassade de France a informé l’opinion publique sénégalaise que, sur proposition de la SONES, la SDE a envoyé un bon de commande de la pièce incriminée à Degrémont. La coopération française va payer, et la SONES remboursera la dette rétrocédée. La France a précisé, par cet acte, les responsabilités. Pourquoi d’ailleurs des audits ? Tout est clair. « Allez voir ailleurs » semble dire la France.
3. Sur les propositions du Président Wade au 25 mars 2012
A la fin du contrat de SDE, le Président a pensé qu’il était temps de changer le paradigme de la gestion au Sénégal. Le contrat avec SDE est un affermage plusieurs types de contrats sont possibles pour l’exploitation de l’AEP en milieu urbain, allant de contrats de management ou de régie à des concessions intégrales, en passant par des schémas intermédiaires de type affermage, affermage concessif etc.
Ce qui était gênant pour le Président Wade, c’était le niveau faible d’investissements auquel était assujettie la SDE (renouvellement d’une partie des branchements, des canalisations et du matériel électromécanique).
Le Président a proposé à SDE un schéma qui rassemblait à l’affermage concessif et qui pouvait être transformé en concession avec fonds de travaux. La SDE ne devait plus seulement exploiter et distribuer les chiffres d’affaires mais aussi réaliser et gérer des investissements lourds. L’avenant signé prolongeait le contrat d’un an et demi, mais demandait à SDE de trouver le financement pour réaliser une usine de dessalement de Dakar avec de l’énergie solaire et une usine de dessalement dans la petite côte, et demandait à la SDE de proposer un plan d’investissement de l’eau pour les 30 prochaines années et, sur cette base, un nouveau contrat pouvait être envisagé, contrat qui pouvait intégrer des aspects liés à l’assainissement.
Avec ce repositionnement stratégique, la SONES aurait eu un autre rôle (gestion des fonds de travaux et de la dette-eau par exemple) mais l’exploitation et la gestion des investissements relèveraient de la SDE. L’accident de septembre 2013 est dû en partie à cette bicéphalie dans la gestion des investissements. La gestion du patrimoine et des gros investissements relèvent de la SONES et la SDE s’occupe des réparations des compteurs et des branchements domiciliaires et de quelques renouvellements. La SDE aurait agi immédiatement dans le schéma proposé par Wade sans attendre la SONES et l’Etat.
On peut dire sans se tromper qu’avec le schéma de Wade, l’accident n’aurait jamais eu lieu. Il y a eu à l’époque beaucoup d’articles téléguidés dans la presse mais ce que nous expliquons peut être vérifié auprès de la SDE. En plus, sous WADE, de 2003 à 2012, pendant 10 ans, l’eau n’a pas augmenté d’un centime.
Pour finir, le PS comme il nous l’a démontré avec ces 40 ans de surplace, de manque de vision, de carence patriotique nous sert cette assertion que « les pays qui ont opté pour une certaine technologie sont plus souvent producteurs de pétrole ou de gaz et disposent, à ce titre, d’une énergie bon marché. »
Voilà le type de parti avec pour creuset des idées limitées qui ont bloqué ce pays des indépendances aux années 2000 par leur manque d’ambition .Voilà la différence d’avec Abdoulaye Wade qui savait ficeler des projets structurants viables sans bourse délier. Il suffit d’un peu d’ingéniosité, de courage politique afin d’imposer aux sociétés investisseurs des conditions favorables à la patrie Sénégal. Il s’agit de savoir négocier avec les partenaires étrangers aux fins de laisser au Sénégal des œuvres pérennes et de dernière génération.
Le PS par cette petite phrase a voulu battre en brèche des idées comme la « désalinisation de l’eau de mer « par la limite de nos moyens, d’avouer encore une fois ses limites objectives en terme de volonté politique, de capacité a impulser le développement et l’émergence de ce pays . Le PS par la même désavoue les qualités intrinsèques de ses ressources humaines, la capacité de celles-ci à élaborer des montages financiers qui bénéficieraient de façon structurelle a notre pays. Tout comme le ciel, la terre, l’eau était en train d’être maitrisée par, justement, ces montages financiers à grande valeur ajoutée pour le peuple sénégalais.
A ce défunt régime de l’UPS/PS avec son secrétaire général qui jusqu’en 2000 ne pensait pas que son village de ndièguène pouvait avoir de l’eau courante et qui encore en 2013 trouve des limites subjectives aux grands projets structurants, nous leur servirons ce que leur allié du jour Macky Sall leur avait répondu un jour de 2006 en inaugurant les grands travaux de maitre Wade. A leurs critiques étriquées il avait répondu à ces mêmes socialistes parlant du président Wade qu’ils osent citer dans leur récente déclaration : « Vous êtes au Sénégal ce que napoléon fut a la France, à chaque fois qu’on eut besoin d un homme d’un seul tous les regards se sont tournés vers vous maitre, comme Roosevelt qui tira l’Amérique de la récession vous avez fini de donner aux éléphants blancs leurs couleurs naturelles » ! En effet, comme disait le président visionnaire maitre Abdoulaye Wade « l’expérience et l’expertise font la différence ».
Tout le monde peut constater qu’avec les faits que nous portons à l’attention de l’opinion, le Parti Socialiste, au lieu de défendre Macky SALL, l’enfonce. Les signatures irresponsables d’avenants et son immobilisme nous ont amené à la catastrophe. Toute solution durable devra prendre en compte le schéma du Président Wade".
Fait à Dakar le 6 Octobre 2013