‘’Pour avoir été des témoins de l’histoire, nous allons faire de notre possible afin que les relations entre la presse et le pouvoir reviennent à la normale’’, a indiqué Mbaye Jacques Diop, ancien ‘’porteur’’ de pancarte, au cours de la célébration de la journée du 26 août 1958.
‘’L’essentiel est que la jeunesse du Sénégal se réunisse autour de l’essentiel. L’essentiel c’est la cohésion pour développer le pays. C’est pourquoi j’ai lancé un appel pour dire que les porteurs de pancartes, de manière solennelle, ont pris l’engagement de tout mettre en œuvre pour ramener le sérénité dans note pays’’, a expliqué Me Diop.
‘’Autrement dit, a poursuivi Me Diop, entre la presse et le pouvoir, il faut apaiser. La presse jouant son rôle de manière normale, mais aussi sachant que l’Etat est là comme étant le garant de toutes les libertés’’.
‘’La presse, dans un régime démocratique, joue un rôle essentiel. Et elle ne peut le jouer que dans un Etat de droit, incarné par un Etat qui sauvegarde les libertés des uns et des autres’’, a rappelé l’ancien maire de Rufisque.
Les rapports entre la presse et le pouvoir se sont dégradés suite l’agression, le 21 juin dernier à Dakar, de deux journalistes Kambel Dieng et Kara Thioune, par la police. Un Comité pour la défense et la protection des journalistes a été mis en place pour réclamer justice dans cette affaire.
Le procureur de la République près le tribunal régional de Dakar, Ousmane Diagne, a promis lundi de faire ‘’toute la lumière’’ sur l’agression de Boubacar Kambel Dieng et Karamoko Thioune, révélant que le parquet ’’a déjà évolué de façon substantielle’’ dans l’enquête judiciaire ouverte à cet effet.
Dieng et Thioune, reporters des stations privées Radio Futurs Médias (RFM) et West African Democracy Radio (WADR) avaient été battus et blessés par des policiers de la brigade d’intervention polyvalente (BIP) de la police, le 21 juin, alors qu’ils couvraient un match de football Sénégal-Libéria.
L’enquête pour élucider cette affaire a été ouverte le 8 juillet. Boubacar Kambel Dieng a été entendu, le 17 juillet, par le doyen des juges du tribunal de Dakar, après avoir passé plusieurs jours dans une clinique dakaroise.
‘’L’essentiel est que la jeunesse du Sénégal se réunisse autour de l’essentiel. L’essentiel c’est la cohésion pour développer le pays. C’est pourquoi j’ai lancé un appel pour dire que les porteurs de pancartes, de manière solennelle, ont pris l’engagement de tout mettre en œuvre pour ramener le sérénité dans note pays’’, a expliqué Me Diop.
‘’Autrement dit, a poursuivi Me Diop, entre la presse et le pouvoir, il faut apaiser. La presse jouant son rôle de manière normale, mais aussi sachant que l’Etat est là comme étant le garant de toutes les libertés’’.
‘’La presse, dans un régime démocratique, joue un rôle essentiel. Et elle ne peut le jouer que dans un Etat de droit, incarné par un Etat qui sauvegarde les libertés des uns et des autres’’, a rappelé l’ancien maire de Rufisque.
Les rapports entre la presse et le pouvoir se sont dégradés suite l’agression, le 21 juin dernier à Dakar, de deux journalistes Kambel Dieng et Kara Thioune, par la police. Un Comité pour la défense et la protection des journalistes a été mis en place pour réclamer justice dans cette affaire.
Le procureur de la République près le tribunal régional de Dakar, Ousmane Diagne, a promis lundi de faire ‘’toute la lumière’’ sur l’agression de Boubacar Kambel Dieng et Karamoko Thioune, révélant que le parquet ’’a déjà évolué de façon substantielle’’ dans l’enquête judiciaire ouverte à cet effet.
Dieng et Thioune, reporters des stations privées Radio Futurs Médias (RFM) et West African Democracy Radio (WADR) avaient été battus et blessés par des policiers de la brigade d’intervention polyvalente (BIP) de la police, le 21 juin, alors qu’ils couvraient un match de football Sénégal-Libéria.
L’enquête pour élucider cette affaire a été ouverte le 8 juillet. Boubacar Kambel Dieng a été entendu, le 17 juillet, par le doyen des juges du tribunal de Dakar, après avoir passé plusieurs jours dans une clinique dakaroise.