Le géant saoudien ACWA Power
L’une des premières victimes notables est le géant saoudien ACWA Power. L’entreprise, qui avait signé un contrat de plusieurs milliards de FCFA avec l’État sénégalais sous le régime de Macky Sall pour la construction d’une usine de dessalement, a vu cet accord annulé. Les nouvelles autorités ont jugé que le contrat n’était « non conforme aux intérêts du pays ». Cette décision représente une perte colossale pour les Saoudiens, évaluée à 459 milliards de FCFA.
Eiffage Génie Civil Marine (France)
Autre coup dur, cette fois-ci pour l’opérateur français Eiffage Génie Civil Marine. Suite à une enquête menée par la Direction générale des impôts et domaines, l’entreprise a reçu une notification de redressement fiscal portant sur un montant initial de 17,637 milliards de FCFA. Cette mesure s’inscrit dans une série d’actions visant à récupérer les impôts et taxes dus à l’État sénégalais.
Summa et Limak (Turquie)
Les entreprises turques Summa et Limak, également en difficulté, ont vu leurs biens saisis par le fisc sénégalais. Ces sociétés, endettées envers l’État sénégalais à hauteur de près de 24 milliards de FCFA, n’ont pu échapper aux mesures de recouvrement imposées par la nouvelle administration.
Un message clair aux investisseurs étrangers
Ces actions démontrent clairement la volonté du gouvernement de Diomaye Sonko de redresser la situation financière du Sénégal et de garantir que les accords commerciaux et les investissements étrangers respectent strictement les intérêts du pays. Cette politique de tolérance zéro pourrait redéfinir les relations économiques du Sénégal avec les partenaires étrangers, en favorisant une plus grande transparence et une conformité stricte aux régulations locales.
Cependant, cette approche pourrait également engendrer des tensions avec les entreprises et les pays concernés, et potentiellement dissuader de futurs investisseurs. La liste des entreprises touchées pourrait s’allonger, laissant présager des temps incertains pour les opérateurs économiques internationaux au Sénégal.
Conclusion
La politique de tolérance zéro de Diomaye Sonko marque un tournant décisif dans la gestion des affaires économiques du Sénégal. Alors que l’administration cherche à protéger les intérêts nationaux et à renforcer la fiscalité, les entreprises étrangères devront naviguer avec prudence et diligence dans ce nouvel environnement rigoureux.
#Sénégal #Fiscalité #DiomayeSonko #ACWAPower #Eiffage #Summa #Limak
L’une des premières victimes notables est le géant saoudien ACWA Power. L’entreprise, qui avait signé un contrat de plusieurs milliards de FCFA avec l’État sénégalais sous le régime de Macky Sall pour la construction d’une usine de dessalement, a vu cet accord annulé. Les nouvelles autorités ont jugé que le contrat n’était « non conforme aux intérêts du pays ». Cette décision représente une perte colossale pour les Saoudiens, évaluée à 459 milliards de FCFA.
Eiffage Génie Civil Marine (France)
Autre coup dur, cette fois-ci pour l’opérateur français Eiffage Génie Civil Marine. Suite à une enquête menée par la Direction générale des impôts et domaines, l’entreprise a reçu une notification de redressement fiscal portant sur un montant initial de 17,637 milliards de FCFA. Cette mesure s’inscrit dans une série d’actions visant à récupérer les impôts et taxes dus à l’État sénégalais.
Summa et Limak (Turquie)
Les entreprises turques Summa et Limak, également en difficulté, ont vu leurs biens saisis par le fisc sénégalais. Ces sociétés, endettées envers l’État sénégalais à hauteur de près de 24 milliards de FCFA, n’ont pu échapper aux mesures de recouvrement imposées par la nouvelle administration.
Un message clair aux investisseurs étrangers
Ces actions démontrent clairement la volonté du gouvernement de Diomaye Sonko de redresser la situation financière du Sénégal et de garantir que les accords commerciaux et les investissements étrangers respectent strictement les intérêts du pays. Cette politique de tolérance zéro pourrait redéfinir les relations économiques du Sénégal avec les partenaires étrangers, en favorisant une plus grande transparence et une conformité stricte aux régulations locales.
Cependant, cette approche pourrait également engendrer des tensions avec les entreprises et les pays concernés, et potentiellement dissuader de futurs investisseurs. La liste des entreprises touchées pourrait s’allonger, laissant présager des temps incertains pour les opérateurs économiques internationaux au Sénégal.
Conclusion
La politique de tolérance zéro de Diomaye Sonko marque un tournant décisif dans la gestion des affaires économiques du Sénégal. Alors que l’administration cherche à protéger les intérêts nationaux et à renforcer la fiscalité, les entreprises étrangères devront naviguer avec prudence et diligence dans ce nouvel environnement rigoureux.
#Sénégal #Fiscalité #DiomayeSonko #ACWAPower #Eiffage #Summa #Limak