Un nouveau scandale sur le détournement de l’aide humanitaire destinée aux séquestrés des camps de la honte de Tindouf vient d’être mis à jour par un expert de renommé internationale à savoir Michael Rubin.
Ce chercheur à l’Americain Entreprise Institut, conférencier au Naval Posgraduate School’s Center for Civil-Military Relations, rédacteur en chef du Middle East Quartely et spécialiste de l’Irak et de l’Iran au Pentagone, excusez du peu, a tout simplement affirmé que l’aide humanitaire au polisario menaçait la sécurité américaine.
Aussi, face à cette menace, il a appelé l’Administration américaine à mettre un terme à toute aide à cette organisation soutenue par les responsables algériens afin de s’assurer que les réseaux terroristes qui circulent librement en territoire algérien ne puissent recevoir d’argent des contribuables américains.
Dans sa démonstration, Michael Rubin accuse explicitement des responsables algériens de falsification de données sur le nombre de séquestrés sahraouis dans les camps de Tindouf afin de profiter allègrement avec ses pantins polisariens des dons et aides financières destinés aux sahraouis embastillés à qui il leur est interdit de rentrer dans leur pays qu’est le Maroc.
Une entrée considérable d’argent dans la besace algéro-polisarienne qui explique que les dirigeants algériens et les chefs terroristes du polisario refusent catégoriquement de laisser l’ONU recenser les sahraouis des camps.
Une population sahraouie séquestrée à Tindouf qui s’élèverait à plus de 120 000 âmes selon les algéro-polisariens. Un chiffre imaginaire puisque nombre de diplomates et d’observateurs estiment le chiffre réel 40 000. A ce chiffre, il faut, comme l’a si bien souligné Monsieur Michael Rubin, retrancher les algériens, les mauritaniens et les subsahariens.
Au final, le chiffre réel de sahraouis originaires des provinces sahariennes marocaines ne pourrait en aucun cas excéder les 20 000 personnes.
Un chiffre qui, si un recensement onusien des sahraouis des camps des séquestés de Tindouf venait à être effectué, remettrait en cause toute la stratégie algéro-polisarienne et prouverait le détournement des aides internationales au profit de nombre de responsables algériens, de membres de la direction du polisario et bien entendu de groupes terroristes algériens et sahéliens de la région.
C’est pourquoi, face à cette menace sécuritaire internationale et au mensonge des dirigeants algéro-polisariens, l’Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l’ONU, Monsieur Christopher Ross, a décidé d’exclure l’Algérie et la Mauritanie du prochain round de pourparlers informels entre les négociateurs marocains et une délégation du polisario, prévu en Suède courant janvier 2014.
Une initiative de Monsieur Ross qui consiste à désalgérianiser le polisario et qui a surtout pour finalité de mettre un terme aux entraves et interférences que provoquent les services algériens et de d’offrir aux membres de la délégation polisarienne l’opportunité de s’exprimer librement et en toute sécurité.
Dans ce contexte, Monsieur Ross, serait également attendu à Paris, Madrid et dans les capitales des autres pays amis du Sahara, membres du Conseil de Sécurité, pour mobiliser leur engagement et leur pression sur Alger, afin de la contraindre à libérer de son emprise les sahraouis.
C’est pourquoi, face à cette nouvelle donne, les responsables algéro-polisariens ont activé leurs réseaux médiatiques pour appeler à ce qu’une date de référendum soit fixée au plus vite.
Toutefois, dans leur précipitation, il est vrai que les responsables algériens, et encore moins les terroristes du polisario, ne sont pas imprégnés des idéaux démocratiques. Les us et coutumes de la démocratie leur sont inconnus et ne font pas parties des mœurs politiques des politiciens algériens.
Ils ont totalement fait l’impasse sur le fait que pour un référendum il faut obligatoirement définir et recenser la composition du corps électoral. Une étape que refusent les autorités algériennes.
Enfin, il serait plus pertinent pour les responsables algériens de stopper ce gaspillage d’argent, d’énergie et d’aides aux groupes terroristes et criminels qui sillonnent librement sur son territoire et de s’occuper sérieusement du bien-être et de la sécurité du peuple algérien ainsi que du développement de leur pays qui vivote encore sur des infrastructures économiques, sociales, scolaires, sanitaires, touristiques, industrielles, agricoles, portuaires et routières qui datent de la colonisation.
Mais, comment concevoir que de potentiels investisseurs étrangers puissent-ils investir dans un pays comme l’Algérie ? Un pays dont l’avenir est des plus incertain compte tenu de l’état de déliquescence dans lequel il se trouve : chômage et désespérance des jeunes, main d’œuvre non qualifiée et paresseuse, économie exsangue et dépendante en totalité des hydrocarbures, pauvreté croissante, corruption généralisée, éducation en panne et perte des valeurs sans parler des risques sécuritaires liés aux libres activités terroristes et criminelles sur le territoire algérien.
D’où un choix cornélien pour les responsables algéro-polisariens !
Ce chercheur à l’Americain Entreprise Institut, conférencier au Naval Posgraduate School’s Center for Civil-Military Relations, rédacteur en chef du Middle East Quartely et spécialiste de l’Irak et de l’Iran au Pentagone, excusez du peu, a tout simplement affirmé que l’aide humanitaire au polisario menaçait la sécurité américaine.
Aussi, face à cette menace, il a appelé l’Administration américaine à mettre un terme à toute aide à cette organisation soutenue par les responsables algériens afin de s’assurer que les réseaux terroristes qui circulent librement en territoire algérien ne puissent recevoir d’argent des contribuables américains.
Dans sa démonstration, Michael Rubin accuse explicitement des responsables algériens de falsification de données sur le nombre de séquestrés sahraouis dans les camps de Tindouf afin de profiter allègrement avec ses pantins polisariens des dons et aides financières destinés aux sahraouis embastillés à qui il leur est interdit de rentrer dans leur pays qu’est le Maroc.
Une entrée considérable d’argent dans la besace algéro-polisarienne qui explique que les dirigeants algériens et les chefs terroristes du polisario refusent catégoriquement de laisser l’ONU recenser les sahraouis des camps.
Une population sahraouie séquestrée à Tindouf qui s’élèverait à plus de 120 000 âmes selon les algéro-polisariens. Un chiffre imaginaire puisque nombre de diplomates et d’observateurs estiment le chiffre réel 40 000. A ce chiffre, il faut, comme l’a si bien souligné Monsieur Michael Rubin, retrancher les algériens, les mauritaniens et les subsahariens.
Au final, le chiffre réel de sahraouis originaires des provinces sahariennes marocaines ne pourrait en aucun cas excéder les 20 000 personnes.
Un chiffre qui, si un recensement onusien des sahraouis des camps des séquestés de Tindouf venait à être effectué, remettrait en cause toute la stratégie algéro-polisarienne et prouverait le détournement des aides internationales au profit de nombre de responsables algériens, de membres de la direction du polisario et bien entendu de groupes terroristes algériens et sahéliens de la région.
C’est pourquoi, face à cette menace sécuritaire internationale et au mensonge des dirigeants algéro-polisariens, l’Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l’ONU, Monsieur Christopher Ross, a décidé d’exclure l’Algérie et la Mauritanie du prochain round de pourparlers informels entre les négociateurs marocains et une délégation du polisario, prévu en Suède courant janvier 2014.
Une initiative de Monsieur Ross qui consiste à désalgérianiser le polisario et qui a surtout pour finalité de mettre un terme aux entraves et interférences que provoquent les services algériens et de d’offrir aux membres de la délégation polisarienne l’opportunité de s’exprimer librement et en toute sécurité.
Dans ce contexte, Monsieur Ross, serait également attendu à Paris, Madrid et dans les capitales des autres pays amis du Sahara, membres du Conseil de Sécurité, pour mobiliser leur engagement et leur pression sur Alger, afin de la contraindre à libérer de son emprise les sahraouis.
C’est pourquoi, face à cette nouvelle donne, les responsables algéro-polisariens ont activé leurs réseaux médiatiques pour appeler à ce qu’une date de référendum soit fixée au plus vite.
Toutefois, dans leur précipitation, il est vrai que les responsables algériens, et encore moins les terroristes du polisario, ne sont pas imprégnés des idéaux démocratiques. Les us et coutumes de la démocratie leur sont inconnus et ne font pas parties des mœurs politiques des politiciens algériens.
Ils ont totalement fait l’impasse sur le fait que pour un référendum il faut obligatoirement définir et recenser la composition du corps électoral. Une étape que refusent les autorités algériennes.
Enfin, il serait plus pertinent pour les responsables algériens de stopper ce gaspillage d’argent, d’énergie et d’aides aux groupes terroristes et criminels qui sillonnent librement sur son territoire et de s’occuper sérieusement du bien-être et de la sécurité du peuple algérien ainsi que du développement de leur pays qui vivote encore sur des infrastructures économiques, sociales, scolaires, sanitaires, touristiques, industrielles, agricoles, portuaires et routières qui datent de la colonisation.
Mais, comment concevoir que de potentiels investisseurs étrangers puissent-ils investir dans un pays comme l’Algérie ? Un pays dont l’avenir est des plus incertain compte tenu de l’état de déliquescence dans lequel il se trouve : chômage et désespérance des jeunes, main d’œuvre non qualifiée et paresseuse, économie exsangue et dépendante en totalité des hydrocarbures, pauvreté croissante, corruption généralisée, éducation en panne et perte des valeurs sans parler des risques sécuritaires liés aux libres activités terroristes et criminelles sur le territoire algérien.
D’où un choix cornélien pour les responsables algéro-polisariens !