La plaie est devenue si purulente qu’elle s'est propagée à tous les âges et à tous les genres.
Dans la tranche des 50/60 ans, les malades n'ont plus rien à perdre. A force de repousser une introspection qui leur rappellerait la notion de dignité, ils sont devenus les espions, les larbins et les mains droites des directeurs. Sans compétence et face à la fougue et la brillance de la nouvelle génération, il ne leur reste que le sale boulot à effectuer.
Heureusement, ils sont souvent une minorité et, comme le dit l'adage, seuls les tonneaux vides font du bruit.
Les 40/50, ont déjà une grande expérience des combats sur plusieurs fronts. Ils ont un cv très riche et excellent dans l'hypocrisie la cruauté et le mensonge éhonté, même devant leur reflet dans un miroir. Ils sont utilisés par les directeurs qui ne leur cachent point leur dédain. Personne ne les respecte ni ne les aime, mais ils sont souvent entourés d'opportunistes de second rang, encore plus hypocrites, qui se retourneront contre eux pour devenir leurs bourreaux s'il le fallait, juste pour occuper leurs places.
Les 25/40 : c'est la génération sûre d'elle et de ses performances. La première expérience dans une entreprise est souvent un moment de grand apprentissage :
1. Où on apprend dans le tas la boxe sans règles et où on devient boxeur ou joueur pour avancer. Pas besoin de compétence pour arriver au poste visé (si c'est le chemin choisi, ne jamais rater la "série house of card"). Il est alors impératif de prendre des cours de théâtre si la comédie n'est pas un don inné et savoir se relever comme un chat à chaque KO ; parce que, à chaque fois qu'un nouveau directeur sera nommé, on devra se préparer à produire une nouvelle prestation, meilleure que la précédente pour ne pas que le manque de compétence professionnelle soit une porte de sortie. Il faut également montrer à ce dernier qu'on est prêt à toutes les bassesses et à se salir les mains pour rester à son poste. Ce genre de profil intéresse les petits directeurs peureux de prendre leurs responsabilités en cas de crise.
2. Parfois, le ring est tellement sale et sanglant qu'on est dépassé par les événements. On refuse alors de descendre dans la cage des coups bas et on rejette les règles du jeu. On décide donc de rester sur le banc de touche pour être spectateur. Les autres changent immédiatement d'entreprise s'ils ne s'y retrouvent pas.
C'est dans cette catégorie que le canapé du directeur devient vraiment intéressant.
Aveuglées par l'ambition et le cerveau souvent dérangé par un bourrage interculturel intense, certaines jeunes femmes arrivent dans les entreprises avec une ambition phénoménale. Aucun canapé n'est alors assez dégoûtant pour s'y allonger et aucune table de bureau n'est assez dure pour y poser leurs fesses. Aucune rumeur ne les ébranle. Elles ont milles facettes allant de l'hypocrisie la plus extrême a la méchanceté la plus primaire. Indignes, sans principes et changeantes en fonction de leurs ambitions, elles se vendent, écrasent et complotent contre tout le monde. Leur seule ambition : le sommet.
Dès qu’elles s’intéressent à vos activités, c'est qu'elles ont pour but, comme un anaconda, de vous voiler les yeux, avant de tranquillement vous absorber. Si ce profil est dans vos parages, faites attention, car ce sont des personnes insoupçonnables et d’une extrême fausse gentillesse.
Mais ne croyez pas que ces pratiques leur sont réservées.
Désolée de vous décevoir messieurs, mais ce canapé n'est plus l'apanage des filles sans diplôme ni expérience professionnelle.
C'est drôle, il est très surveillé par certains hommes qui traînent souvent tard dans les bureaux, un stylo avec appareil photo incorporé en main, attendant le moment opportun pour surprendre et avoir une photo comme moyen de pression.
Il est facile de reconnaître ces types : ils traînent toute la journée dans tous les endroits pour être bien vus et remarqués des décideurs.
C'est à partir de 20h qu'ils envoient des mails, directement aux directeurs pour sournoisement répondre au besoin d’un collègue qui, avec beaucoup de chance, ne sera qu'en copie du message.
Ne vous trompez pas. Personne n'est dupe ! La majeure partie des collaborateurs, et des directeurs comprennent ces appels du pied qui ne sont en fait que des propositions indécentes de compétence d'une autre nature, comme la prostitution ou le proxénétisme.
Mais en réalité, ce ne sont que des chiens en liesse, à qui les directeurs jettent de temps en temps un os, attendant un besoin ponctuel pour les libérer de leur lien.
Dans les entreprises, il y a également ceux qui ne s'intéressent à rien, sauf à faire des commérages, et s’en foutre après.
Lol..!
Dans la tranche des 50/60 ans, les malades n'ont plus rien à perdre. A force de repousser une introspection qui leur rappellerait la notion de dignité, ils sont devenus les espions, les larbins et les mains droites des directeurs. Sans compétence et face à la fougue et la brillance de la nouvelle génération, il ne leur reste que le sale boulot à effectuer.
Heureusement, ils sont souvent une minorité et, comme le dit l'adage, seuls les tonneaux vides font du bruit.
Les 40/50, ont déjà une grande expérience des combats sur plusieurs fronts. Ils ont un cv très riche et excellent dans l'hypocrisie la cruauté et le mensonge éhonté, même devant leur reflet dans un miroir. Ils sont utilisés par les directeurs qui ne leur cachent point leur dédain. Personne ne les respecte ni ne les aime, mais ils sont souvent entourés d'opportunistes de second rang, encore plus hypocrites, qui se retourneront contre eux pour devenir leurs bourreaux s'il le fallait, juste pour occuper leurs places.
Les 25/40 : c'est la génération sûre d'elle et de ses performances. La première expérience dans une entreprise est souvent un moment de grand apprentissage :
1. Où on apprend dans le tas la boxe sans règles et où on devient boxeur ou joueur pour avancer. Pas besoin de compétence pour arriver au poste visé (si c'est le chemin choisi, ne jamais rater la "série house of card"). Il est alors impératif de prendre des cours de théâtre si la comédie n'est pas un don inné et savoir se relever comme un chat à chaque KO ; parce que, à chaque fois qu'un nouveau directeur sera nommé, on devra se préparer à produire une nouvelle prestation, meilleure que la précédente pour ne pas que le manque de compétence professionnelle soit une porte de sortie. Il faut également montrer à ce dernier qu'on est prêt à toutes les bassesses et à se salir les mains pour rester à son poste. Ce genre de profil intéresse les petits directeurs peureux de prendre leurs responsabilités en cas de crise.
2. Parfois, le ring est tellement sale et sanglant qu'on est dépassé par les événements. On refuse alors de descendre dans la cage des coups bas et on rejette les règles du jeu. On décide donc de rester sur le banc de touche pour être spectateur. Les autres changent immédiatement d'entreprise s'ils ne s'y retrouvent pas.
C'est dans cette catégorie que le canapé du directeur devient vraiment intéressant.
Aveuglées par l'ambition et le cerveau souvent dérangé par un bourrage interculturel intense, certaines jeunes femmes arrivent dans les entreprises avec une ambition phénoménale. Aucun canapé n'est alors assez dégoûtant pour s'y allonger et aucune table de bureau n'est assez dure pour y poser leurs fesses. Aucune rumeur ne les ébranle. Elles ont milles facettes allant de l'hypocrisie la plus extrême a la méchanceté la plus primaire. Indignes, sans principes et changeantes en fonction de leurs ambitions, elles se vendent, écrasent et complotent contre tout le monde. Leur seule ambition : le sommet.
Dès qu’elles s’intéressent à vos activités, c'est qu'elles ont pour but, comme un anaconda, de vous voiler les yeux, avant de tranquillement vous absorber. Si ce profil est dans vos parages, faites attention, car ce sont des personnes insoupçonnables et d’une extrême fausse gentillesse.
Mais ne croyez pas que ces pratiques leur sont réservées.
Désolée de vous décevoir messieurs, mais ce canapé n'est plus l'apanage des filles sans diplôme ni expérience professionnelle.
C'est drôle, il est très surveillé par certains hommes qui traînent souvent tard dans les bureaux, un stylo avec appareil photo incorporé en main, attendant le moment opportun pour surprendre et avoir une photo comme moyen de pression.
Il est facile de reconnaître ces types : ils traînent toute la journée dans tous les endroits pour être bien vus et remarqués des décideurs.
C'est à partir de 20h qu'ils envoient des mails, directement aux directeurs pour sournoisement répondre au besoin d’un collègue qui, avec beaucoup de chance, ne sera qu'en copie du message.
Ne vous trompez pas. Personne n'est dupe ! La majeure partie des collaborateurs, et des directeurs comprennent ces appels du pied qui ne sont en fait que des propositions indécentes de compétence d'une autre nature, comme la prostitution ou le proxénétisme.
Mais en réalité, ce ne sont que des chiens en liesse, à qui les directeurs jettent de temps en temps un os, attendant un besoin ponctuel pour les libérer de leur lien.
Dans les entreprises, il y a également ceux qui ne s'intéressent à rien, sauf à faire des commérages, et s’en foutre après.
Lol..!