« Quand la police pratique la barbarie, c’est qu’au sommet il y’a un bourreau». Hélas, ce lundi 30 Mai 2011, l’histoire m’a donné raison. Ce jour tragique et inoubliable pour tous les sénégalais qui aspiraient à voir cette démocratie orale et cette liberté encadrée du régime de l’alternance, dans la communauté rurale de Sangalkam ont déchanté. Car le pauvre Malick Ba, âgé de 32ans, père de deux enfants qui sollicitait ce peu qu’est le rétablissement du droit, a commis l’erreur fatale, de faire cette demande aux bourreaux de la République. En guise de réponse à cette demande civilisée et policée de Malick Ba, le ministre de l’intérieur: Ousmane Ngom et le ministre des collectivités locales: Alioune Sow se sont acharnés mortellement sur le pauvre Malick.
La machine prédatrice du régime de Wade s’est déployée à Sangalkam, pour commettre l’irréparable comme à l’accoutumée.
Dès que j’ai appris cette mort tragique, j’ai automatiquement pensé à la suite désastreuse de l’enquête de cet acte abominable et ignominieux. A l’instar des suites données dans l’affaire Balla Gaye et tant d’autres morts similaires commises sous le régime de l’alternance.
Ils avaient décidé d’abattre un fils de Sangalkam, ils l’ont fait afin de démobiliser, de susciter la peur. Ces vaillants fils de la nation qui ont décidés de résister, de faire face à un régime aveugle aux préoccupations prioritaires de la nation.
Le régime épicurien de Wade et ses alliés ne pouvait pas être sans conséquence sur les sénégalais, ils ont partagé le Sénégal, la communauté rurale de Mbane illustre bien mes propos. Ces hommes du Président de la république: le Président du Sénat, Pape Diop,le Président du Conseil économique et social, Ousmane Masseck Ndiaye, le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, les ministres ,Cheikh Tidiane Sy, Madické Niang, Diakaria Diaw, Djibo Kâ, Oumar Sarr, à Amath Sall et Thierno Lô, sans oublier les frères de ministres se sont bien servis des terres de Mbane tout comme les sous-préfets Al Ousseynou Dème et Talla Ndiaye.
Les marxistes comprennent bien cette méthode meurtrières des libéraux; Rendre l’oppression plus oppressive, rendre la honte plus honteuse, faire en sorte que les sénégalais en rendent compte. Les cannibales de Wade ont tué Malick Ba.
Mor Cissé
Khadimly@live.fr
La machine prédatrice du régime de Wade s’est déployée à Sangalkam, pour commettre l’irréparable comme à l’accoutumée.
Dès que j’ai appris cette mort tragique, j’ai automatiquement pensé à la suite désastreuse de l’enquête de cet acte abominable et ignominieux. A l’instar des suites données dans l’affaire Balla Gaye et tant d’autres morts similaires commises sous le régime de l’alternance.
Ils avaient décidé d’abattre un fils de Sangalkam, ils l’ont fait afin de démobiliser, de susciter la peur. Ces vaillants fils de la nation qui ont décidés de résister, de faire face à un régime aveugle aux préoccupations prioritaires de la nation.
Le régime épicurien de Wade et ses alliés ne pouvait pas être sans conséquence sur les sénégalais, ils ont partagé le Sénégal, la communauté rurale de Mbane illustre bien mes propos. Ces hommes du Président de la république: le Président du Sénat, Pape Diop,le Président du Conseil économique et social, Ousmane Masseck Ndiaye, le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, les ministres ,Cheikh Tidiane Sy, Madické Niang, Diakaria Diaw, Djibo Kâ, Oumar Sarr, à Amath Sall et Thierno Lô, sans oublier les frères de ministres se sont bien servis des terres de Mbane tout comme les sous-préfets Al Ousseynou Dème et Talla Ndiaye.
Les marxistes comprennent bien cette méthode meurtrières des libéraux; Rendre l’oppression plus oppressive, rendre la honte plus honteuse, faire en sorte que les sénégalais en rendent compte. Les cannibales de Wade ont tué Malick Ba.
Mor Cissé
Khadimly@live.fr