Interpellé depuis samedi pour viol présumé sur Aissatou Tall, par ailleurs fille d’un magistrat, le journaliste, Cheikh Yérim Seck a été déféré après 48 heures de garde à vue. A son arrivée au palais de justice de Lat Dior, Yérim qui n’a pas convaincu les pandores de son innocence a été acheminé à la cave du tribunal avant d’être présenté au procureur de la République qui l’a placé sous mandat de dépôt. Avant son transfert à la prison centrale de Reubeuss, il s’est vu signifié le chef d’inculpation de séquestration, viol. Le décision de son placement sous mandat de dépôt lui a été signifiée en même temps.
Comme lors de l’enquête préliminaire qui a débuté à la brigade de gendarmerie de Ngor avant de se poursuivre au niveau de la section recherches de la gendarmerie nationale, l’ancien reporter de Jeune Afrique s’est refugié derrière le consentement de la victime pour justifier les rapports entretenus avec la fille du magistrat. Mais c’est juste qu’il a été contredit par sa victime qui a déclaré devant les enquêteurs que Cheikh Yérim lui avait promis outre de la mettre en rapport avec ses partenaires de l’hexagone pour la poursuite de ses études en France, d’user de son entregent pour faire entrer la demoiselle dans l’équipe de « Un café avec ».
Cheikh Yérim aura beau faire croire aux gendarmes que ses relations entre lui et Aïssatou ne datent pas d’aujourd’hui mais n’a pas empêché le glaive du parquet de s’abattre sur sa tête. En effet, sauf exception, son jugement est prévu ce mercredi devant le juge statuant en matière de flagrant délit.
Les faits qui ont valu au célèbre journaliste d’avoir maille à partir avec la justice se sont passés aux Almadies. Samedi dernier, dans un hôtel de ce quartier de Dakar à l’enseigne Keur Madamel, Yérim est venu en fin de matinée, prendre une chambre où il a fait entrer son invitée du jour. La suite se passa de commentaire. Après quelques instants qu’ils sont restés enfermés dans la chambre 9 de cet hôtel restaurant, la fille dont les cris fusaient de l’intérieur est sortie en courant avec les parties intimes ensanglantées. Ses parents avisés ne perdront pas de temps pour faire arrêter le journaliste accusé d’en être l’auteur. Il sera pris dans un premier temps par les pandores de Ngor qui le refilèrent à ceux de la section des recherches. Il faut noter que la colère du père de la fille n’est pour apaiser la sanction qui risque de tomber sur le journaliste. Boubou Diouf Tall est si remonté contre le présumé violeur de sa fille qu’il a manifesté l’intention de le flinguer une fois en face à lui. Des émissaires qui étaient chez lui pour jouer aux bons offices ont été tout bonnement éconduits par le magistrat qui n’a pas encore fini de ruminer sa colère pour quelqu’un qui est décrit par ses pairs comme un homme très courtois, accueillant et toujours souriant.
NDIOGOU CISSE
Lesenegalais
Comme lors de l’enquête préliminaire qui a débuté à la brigade de gendarmerie de Ngor avant de se poursuivre au niveau de la section recherches de la gendarmerie nationale, l’ancien reporter de Jeune Afrique s’est refugié derrière le consentement de la victime pour justifier les rapports entretenus avec la fille du magistrat. Mais c’est juste qu’il a été contredit par sa victime qui a déclaré devant les enquêteurs que Cheikh Yérim lui avait promis outre de la mettre en rapport avec ses partenaires de l’hexagone pour la poursuite de ses études en France, d’user de son entregent pour faire entrer la demoiselle dans l’équipe de « Un café avec ».
Cheikh Yérim aura beau faire croire aux gendarmes que ses relations entre lui et Aïssatou ne datent pas d’aujourd’hui mais n’a pas empêché le glaive du parquet de s’abattre sur sa tête. En effet, sauf exception, son jugement est prévu ce mercredi devant le juge statuant en matière de flagrant délit.
Les faits qui ont valu au célèbre journaliste d’avoir maille à partir avec la justice se sont passés aux Almadies. Samedi dernier, dans un hôtel de ce quartier de Dakar à l’enseigne Keur Madamel, Yérim est venu en fin de matinée, prendre une chambre où il a fait entrer son invitée du jour. La suite se passa de commentaire. Après quelques instants qu’ils sont restés enfermés dans la chambre 9 de cet hôtel restaurant, la fille dont les cris fusaient de l’intérieur est sortie en courant avec les parties intimes ensanglantées. Ses parents avisés ne perdront pas de temps pour faire arrêter le journaliste accusé d’en être l’auteur. Il sera pris dans un premier temps par les pandores de Ngor qui le refilèrent à ceux de la section des recherches. Il faut noter que la colère du père de la fille n’est pour apaiser la sanction qui risque de tomber sur le journaliste. Boubou Diouf Tall est si remonté contre le présumé violeur de sa fille qu’il a manifesté l’intention de le flinguer une fois en face à lui. Des émissaires qui étaient chez lui pour jouer aux bons offices ont été tout bonnement éconduits par le magistrat qui n’a pas encore fini de ruminer sa colère pour quelqu’un qui est décrit par ses pairs comme un homme très courtois, accueillant et toujours souriant.
NDIOGOU CISSE
Lesenegalais