La capitale du rail a renoué avec la violence ce week-end. Mais pour cette fois, ce sont les militants d’And-Jëf/Parti africain pour la démocratie et le socialisme (Aj/Pads) qui se sont affrontés. Tout est parti d’un déplacement à Thiès de Landing Savané pour installer le bureau de la fédération Aj de la ville. Ce que le camp favorable à Mamadou Diop Decroix n’a pas voulu accepter. Car, pour ces militants conduits par Coura Ndiaye, présidente du mouvement départemental des femmes Aj de Thiès, le bureau a été installé depuis le 19 janvier. Selon Mme Ndiaye, pour rien au monde, un autre bureau ne devrait être installé.
Seulement, pour le camp de Landing Savané, Coura Ndiaye et ses amis sont des fractionnistes, donc exclus d’Aj. Conséquence : l’accès à la maison de Pape Ndao à Randoulène Nord où, devait se tenir leur rencontre, leur est interdit. Mais les partisans de Mamadou Diop Decroix ont tenu à se faire entendre. Ils brandissent ainsi des pancartes hostiles à Landing Savané. Mais c’est au moment où, ils ont voulu forcer la porte que les bagarres ont démarré.
Armés de barres de fer, entre autres armes blanches, les désormais ex-camarades de parti s’affrontent devant les yeux de Landing Savané qui a été sauvé des jets de pierres par ses proches. Au moins deux blessés ont été décomptés. Il s’y ajoute quelques dégâts matériels, avec notamment le véhicule du patron d’Aj dont le pare-brise a été cassé.
Et Landing Savané n’a pas eu de mots assez durs pour qualifier le spectacle. Le secrétaire général d’Aj/Pads parle en effet d’« intervention intempestive d’une bande de nervis dirigée par un groupe appartenant aux fractionnistes du parti ». Selon lui, ce qui est s’est passé à Thiès est extraordinaire parce qu’étant la preuve d’actes de délinquance. « Nous ne sommes plus en politique, mais plutôt dans la délinquance », dit-il.
En fait, pour Landing Savané, cette violence est la preuve que ses adversaires sont dans le désarroi. Mais il ne désespère pas que les uns et les autres reviennent à de meilleurs sentiments afin que « chacun puisse suivre sa voie en toute liberté ».
Seulement, pour le camp de Landing Savané, Coura Ndiaye et ses amis sont des fractionnistes, donc exclus d’Aj. Conséquence : l’accès à la maison de Pape Ndao à Randoulène Nord où, devait se tenir leur rencontre, leur est interdit. Mais les partisans de Mamadou Diop Decroix ont tenu à se faire entendre. Ils brandissent ainsi des pancartes hostiles à Landing Savané. Mais c’est au moment où, ils ont voulu forcer la porte que les bagarres ont démarré.
Armés de barres de fer, entre autres armes blanches, les désormais ex-camarades de parti s’affrontent devant les yeux de Landing Savané qui a été sauvé des jets de pierres par ses proches. Au moins deux blessés ont été décomptés. Il s’y ajoute quelques dégâts matériels, avec notamment le véhicule du patron d’Aj dont le pare-brise a été cassé.
Et Landing Savané n’a pas eu de mots assez durs pour qualifier le spectacle. Le secrétaire général d’Aj/Pads parle en effet d’« intervention intempestive d’une bande de nervis dirigée par un groupe appartenant aux fractionnistes du parti ». Selon lui, ce qui est s’est passé à Thiès est extraordinaire parce qu’étant la preuve d’actes de délinquance. « Nous ne sommes plus en politique, mais plutôt dans la délinquance », dit-il.
En fait, pour Landing Savané, cette violence est la preuve que ses adversaires sont dans le désarroi. Mais il ne désespère pas que les uns et les autres reviennent à de meilleurs sentiments afin que « chacun puisse suivre sa voie en toute liberté ».