
« La lutte m’a donné en deux ans, ce que l’Europe ne m’a pas donné en 5 ans ». Telle est en substance la déclaration du lutteur chez nos confrères d’Al Bourakh Tv, ce lundi. Avec cette déclaration, il s'est fait l’avocat de cette discipline sportive actuellement sous les feux des projecteurs. Le champion de Grand-Yoff a nettoyé à grande eau le monde de la lutte, avant de plaider pour la levée de la suspension de la couverture sécuritaire des combats de lutte, tout en relevant l’impact que cette mesure peut avoir. « La lutte fait vivre beaucoup de personnes », plaide-t-il.
En à croire le champion du quartier populaire de Grand-Yoff, la lutte joue un rôle social et décourage les Sénégalais qui veulent aller en Europe. « J’ai fait 5 ans en Europe, je n’ai rien récolté là-bas mais quand je suis rentré au Sénégal, en moins de 2 ans, j’ai construit ma maison avec l’argent de la lutte », a-t-il soutenu, avant d’ajouter : « Je n’avais que 750 FCfa dans ma poche quand je revenais de l’Europe. C’est un ami qui est venu me chercher à l’aéroport. Je n’avais rien. Même pour mon téléphone, c’est lui qui m’a aidé à récupérer mes numéros ».
Le Soleil
En à croire le champion du quartier populaire de Grand-Yoff, la lutte joue un rôle social et décourage les Sénégalais qui veulent aller en Europe. « J’ai fait 5 ans en Europe, je n’ai rien récolté là-bas mais quand je suis rentré au Sénégal, en moins de 2 ans, j’ai construit ma maison avec l’argent de la lutte », a-t-il soutenu, avant d’ajouter : « Je n’avais que 750 FCfa dans ma poche quand je revenais de l’Europe. C’est un ami qui est venu me chercher à l’aéroport. Je n’avais rien. Même pour mon téléphone, c’est lui qui m’a aidé à récupérer mes numéros ».
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