Le respect du chronogramme est presque chose impossible dans l’arène sénégalaise. Selon Ibou Ndiaye Niokhobay qui y officie comme micro central, il ne faut pas chercher loin pour trouver les fautifs. Politiciens, percussionnistes et chanteurs se partagent la responsabilité. Il est impossible au micro central de faire respecter le timing car pour Ibou Ndiaye Niokhbay dans un entretien avec Libération, « la lutte est sortie du cadre du sport ». « Chacun veut chanter les louanges de Pape Diop et des autres politiciens pour se faire de l’argent. c’est le cas aussi pour les communicateurs traditionnels qui veulent aussi chacun faire leur show pour se faire remarquer par les autorités politiques afin de leur soutirer un peu d’argent », martèle le micro central selon qui, « dans ces conditions, ce sera difficile de faire respecter le chronogramme des combats.
Les débordements dans l’arène dénoncés par un micro centralLERAL.NET - La cacophonie a gagné l’arène sénégalaise. La faute est à imputer aux politiciens, aux batteurs de tam-tam et chanteurs. Le micro-central Ibou Ndiaye Niokhobaye l’a dit dans les colonnes de Libération parcouru par LERAL.NET.Rédigé par leral.net le Mardi 15 Novembre 2011 à 13:33 | | 0 commentaire(s)|
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