Déterminante, la contraction de la production d'électricité, située à -19%, du fait d'un manque de combustibles, a été l'un des facteurs majeurs de cette régression.
Les analystes de l'ANSD soulignent entre autres qu'il n'a été constaté aucune importation de produits pétroliers raffinés au mois de février dernier.
Sur l'ensemble du secteur énergétique, seules les industries de fabrication de produits pharmaceutiques et de produits en matière plastique ont échappé au fléchissement de leurs activités.
Par branches, les difficultés d'approvisionnement d'électricité continuent de pondérer l'activité, ainsi les industries chimiques sénégalaises (-0,9%) et les industries mécaniques (-9,1%).
Au-delà du secteur industriel sénégalais, l'ANSD souligne que ces fluctuations qui touchent plus généralement le secteur économique sénégalais, sont analogues, depuis quelques années, dans toute la sous-région, excepté au Ghana et au Nigeria.
Les délestages y sont récurrents, sans que de réelles mesures ne soient prises pour y remédier, ont noté les conjoncturistes de cet organe.
Les analystes de l'ANSD soulignent entre autres qu'il n'a été constaté aucune importation de produits pétroliers raffinés au mois de février dernier.
Sur l'ensemble du secteur énergétique, seules les industries de fabrication de produits pharmaceutiques et de produits en matière plastique ont échappé au fléchissement de leurs activités.
Par branches, les difficultés d'approvisionnement d'électricité continuent de pondérer l'activité, ainsi les industries chimiques sénégalaises (-0,9%) et les industries mécaniques (-9,1%).
Au-delà du secteur industriel sénégalais, l'ANSD souligne que ces fluctuations qui touchent plus généralement le secteur économique sénégalais, sont analogues, depuis quelques années, dans toute la sous-région, excepté au Ghana et au Nigeria.
Les délestages y sont récurrents, sans que de réelles mesures ne soient prises pour y remédier, ont noté les conjoncturistes de cet organe.