Coumba confie que son mari n’arrêtait pas de lui parler de la mort. Ce, à cinq jours de sa disparition. « Il m’a posé la question sur la mort. Ce qui m’a intrigué d’ailleurs. Il a dit : « Coumba que préfères-tu ? Que je sois mort en premier ou le contraire ? Ou simplement qu’on meurt ensemble », raconte-t-elle. Des questions qui l’ont effrayées mais qui ne l’ont pas empêchés de répondre : « laisse-moi mourir d’abord. Je te garderai une place près de moi dans l’au-delà. Parce que je voudrai que tu pries beaucoup pour moi ».
Elle laisse entendre que le vœu ardent de son défunt mari était qu’ils meurent ensemble. Mais le destin en a décidé autrement. Cet ancien président du club des supporters de l’Asc Thiossane de Sangalkam a reçu la visite de la grande faucheuse le lundi 30 mai dernier alors qu'il partait à la pharmacie. Une balle tirée par un gendarme de la brigade de gendarmerie de la localité a fait le sale boulot. Arrachant aux siens – sa femme et ses trois fils dont des jumeaux- Malick Bâ.
Elle laisse entendre que le vœu ardent de son défunt mari était qu’ils meurent ensemble. Mais le destin en a décidé autrement. Cet ancien président du club des supporters de l’Asc Thiossane de Sangalkam a reçu la visite de la grande faucheuse le lundi 30 mai dernier alors qu'il partait à la pharmacie. Une balle tirée par un gendarme de la brigade de gendarmerie de la localité a fait le sale boulot. Arrachant aux siens – sa femme et ses trois fils dont des jumeaux- Malick Bâ.