Selon des indiscrétions qui proviennent du secteur 2 où séjourne Cheikh Yérim Seck depuis son inculpation pour viol, racontent que l’homme traverse le week-end le plus long de son existence. A La chambre 43, on prie pour le confrère qui se console de l’élan de solidarité de ses voisins.
Un fort élan de solidarité s’est en effet formé autour du journaliste dont le sort sera scellé ce lundi. L’on apprend qu’après chaque séance de prière effectuée dans l’enceinte de la chambre 43 où il séjourne depuis quelques jours, une prière spéciale est dite pour l’ancien reporter de Jeune Afrique.
Par solidarité pour leur voisin de chambre incarcéré pour viol, les détenus qui dorment à la chambre 42 observent la même séance de prière en guise de soutien au sieur Seck. Une source proche des lieux d’indiquer que des propos de consolation lui sont servis tous les jours par ses co- détenus.
Pour sa part, Ndongo Diaw, l’ancien directeur de l’Artp qui partage la même cellule avec le directeur de publication du site Dakar actu serait très affecté par ce qui est arrivé au journaliste. Et même si ce dernier ne le ratait pas dans ses papiers, il compatit à sa douleur et prie pour que le tribunal n’entre pas en voie de condamnation.
Cheikh Yérim Seck, qui a été jugé le 19 septembre courant, encourt une peine de trois ans si le juge suit la réquisition du parquet. Le verdict, qui a été mis en délibéré pour ce lundi, sera lu tôt dans la matinée. Avant que le rôle ne commence.
Contrairement aux délibérés devant le tribunal correctionnel et la cour d’appel, les détenus jugés en flagrant délit n’ont pas besoin de se déplacer pour connaître la décision prise à leur encontre. C’est plutôt leurs avocats qui recueillent la décision qu’ils iront communiquer à leur client.
Le Pays au Quotidien
Un fort élan de solidarité s’est en effet formé autour du journaliste dont le sort sera scellé ce lundi. L’on apprend qu’après chaque séance de prière effectuée dans l’enceinte de la chambre 43 où il séjourne depuis quelques jours, une prière spéciale est dite pour l’ancien reporter de Jeune Afrique.
Par solidarité pour leur voisin de chambre incarcéré pour viol, les détenus qui dorment à la chambre 42 observent la même séance de prière en guise de soutien au sieur Seck. Une source proche des lieux d’indiquer que des propos de consolation lui sont servis tous les jours par ses co- détenus.
Pour sa part, Ndongo Diaw, l’ancien directeur de l’Artp qui partage la même cellule avec le directeur de publication du site Dakar actu serait très affecté par ce qui est arrivé au journaliste. Et même si ce dernier ne le ratait pas dans ses papiers, il compatit à sa douleur et prie pour que le tribunal n’entre pas en voie de condamnation.
Cheikh Yérim Seck, qui a été jugé le 19 septembre courant, encourt une peine de trois ans si le juge suit la réquisition du parquet. Le verdict, qui a été mis en délibéré pour ce lundi, sera lu tôt dans la matinée. Avant que le rôle ne commence.
Contrairement aux délibérés devant le tribunal correctionnel et la cour d’appel, les détenus jugés en flagrant délit n’ont pas besoin de se déplacer pour connaître la décision prise à leur encontre. C’est plutôt leurs avocats qui recueillent la décision qu’ils iront communiquer à leur client.
Le Pays au Quotidien