«Nous sommes otages des enseignants le jour, prisonniers de la Senelec la nuit»
Comme si ces désagréments ne suffisaient pas, martèle notre interlocutrice dont la blouse pliée et rangée dans son sac à main symbolise tout son désespoir de voir l’école sortir de cette zone de turbulence, viennent s’y mêler les coupures asphyxiantes d’électricité. Il est impossible aujourd’hui de réviser correctement à la maison. Pour Ndèye Ndiaye, élève au lycée moderne de Dakar, copine à qui Khadija Sène était venue rendre visite, le terme ‘réviser’ ne sied même pas, parce qu’à ce jour ils n’ont rien appris pour le réviser». Selon Mlle Ndiaye : «si l’on doit parler d’impact des coupures de courant sur les études des élèves, ça renvoie aux difficultés qu’ont ces derniers pour accéder à l’Internet que tout le monde visite pour combler le vide laissé par les enseignants grévistes, afin apprendre ce qu’on en tire à la maison. Parce que sans électricité, inutile de penser à une connexion».
Birane LO le populaire
Comme si ces désagréments ne suffisaient pas, martèle notre interlocutrice dont la blouse pliée et rangée dans son sac à main symbolise tout son désespoir de voir l’école sortir de cette zone de turbulence, viennent s’y mêler les coupures asphyxiantes d’électricité. Il est impossible aujourd’hui de réviser correctement à la maison. Pour Ndèye Ndiaye, élève au lycée moderne de Dakar, copine à qui Khadija Sène était venue rendre visite, le terme ‘réviser’ ne sied même pas, parce qu’à ce jour ils n’ont rien appris pour le réviser». Selon Mlle Ndiaye : «si l’on doit parler d’impact des coupures de courant sur les études des élèves, ça renvoie aux difficultés qu’ont ces derniers pour accéder à l’Internet que tout le monde visite pour combler le vide laissé par les enseignants grévistes, afin apprendre ce qu’on en tire à la maison. Parce que sans électricité, inutile de penser à une connexion».
Birane LO le populaire