Selon elles, la crise énergétique actuelle, caractérisée par des délestages sauvages, paralysant tous les secteurs, «est difficilement acceptable», eu égard aux centaines de milliards «englouties dans la SENELEC et gérées dans une opacité totale».
Le bureau national des femmes de l’espoir et du progrès (MOUNFEP) qui s’est rassemblé hier au siège de l’AFP, a déclaré que Me Abdoulaye Wade qui n’a pas de priorité continue de gaspiller l’argent du contribuable. «N’ayant aucun sens des priorités, Abdoulaye Wade continue de dilapider les ressources de la nation dans des dépenses extravagantes telles que la construction du monument de la renaissance africaine et les festivités du FESMAN (festival mondial des arts nègres), sans compter le train dispendieux de son gouvernement», ont dénoncé les « sœurs » de Moustapha Niass qui étaient hier au siège de l’AFP en bureau politique.
De la même manière, Mata Sy, Hellène Tine et leurs camarades ont fustigé la candidature déclarée de Me Abdoulaye Wade «en dépit de sa gestion».
«Malgré la gestion calamiteuse du pays, Abdoulaye Wade cherche, par toutes sortes de stratagèmes, à se maintenir au pouvoir, en déclarant sa candidature à l’élection présidentielle, faisant fi des dispositions constitutionnelles», a rappelé le bureau national des femmes de l’espoir et du progrès (MOUNFEP).
Par ailleurs, cette instance dénonce «toute tentative de découpage administratif» ayant pour seule motivation la confiscation de la volonté populaire exprimée lors du scrutin du 22 mars 2009.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com
Le bureau national des femmes de l’espoir et du progrès (MOUNFEP) qui s’est rassemblé hier au siège de l’AFP, a déclaré que Me Abdoulaye Wade qui n’a pas de priorité continue de gaspiller l’argent du contribuable. «N’ayant aucun sens des priorités, Abdoulaye Wade continue de dilapider les ressources de la nation dans des dépenses extravagantes telles que la construction du monument de la renaissance africaine et les festivités du FESMAN (festival mondial des arts nègres), sans compter le train dispendieux de son gouvernement», ont dénoncé les « sœurs » de Moustapha Niass qui étaient hier au siège de l’AFP en bureau politique.
De la même manière, Mata Sy, Hellène Tine et leurs camarades ont fustigé la candidature déclarée de Me Abdoulaye Wade «en dépit de sa gestion».
«Malgré la gestion calamiteuse du pays, Abdoulaye Wade cherche, par toutes sortes de stratagèmes, à se maintenir au pouvoir, en déclarant sa candidature à l’élection présidentielle, faisant fi des dispositions constitutionnelles», a rappelé le bureau national des femmes de l’espoir et du progrès (MOUNFEP).
Par ailleurs, cette instance dénonce «toute tentative de découpage administratif» ayant pour seule motivation la confiscation de la volonté populaire exprimée lors du scrutin du 22 mars 2009.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com