Ces organisations réclament également l’application effective par l’Etat du Sénégal, de la Loi 99-05 du 29 janvier 1999 relative aux violences faites aux femmes, aux auteurs de ces violations des droits humains.
‘’Nous lançons un appel à tous les Sénégalais pour nous accompagner dans cette campagne, afin que nous puissions vivre dans un monde sans violence’’, déclare l’ONG sénégalaise Mouvement contre les armes légères en Afrique de l’Ouest (MALAO).
A l’instar de la communauté internationale, les femmes et les partenaires du MALAO se mobilisent pour la campagne mondiale, ‘’16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre’’ (25 novembre-10 décembre).
‘’Cette campagne est organisée pour dénoncer toutes les formes de violence dont sont victimes les femmes’’, signale le mouvement qui cite notamment une étude réalisée en 2005. Elle indique que ‘’la violence conjugale est la forme de violence la plus répandue aujourd’hui, dans le quotidien des femmes’’.
Mieux, précise-t-elle, ‘’l’utilisation d’une arme à feu dans les violences conjugales met considérablement en danger la vie des femmes. Elle multiplie ainsi par 12 le risque de décès comparativement à d’autres formes de violence.’’
’’Il n’y a pas d’étude ou de statistiques disponibles sur les violences domestiques au Sénégal, mais l’usage des armes légères affecte les femmes et les petites filles. La presse en fait quotidiennement l’écho’’, constate le MALAO.
De son côté, l’association sénégalaise Groupe d’action contre les viols d’enfant (Grave) a dénombré 400 cas de viol en 2007. Quelque 69 autres personnes victimes de viol ont été reçues par le Comité de lutte contre les violences faites aux femmes.
‘’Ces violences ont des conséquences néfastes sur les résultats scolaires des enfants. (…) 80% des cas de viols sont exercés par des personnes connues des victimes, d’où le risque de souffrance morale permanente’’, ajoute le MALAO.
SAB/ADC
‘’Nous lançons un appel à tous les Sénégalais pour nous accompagner dans cette campagne, afin que nous puissions vivre dans un monde sans violence’’, déclare l’ONG sénégalaise Mouvement contre les armes légères en Afrique de l’Ouest (MALAO).
A l’instar de la communauté internationale, les femmes et les partenaires du MALAO se mobilisent pour la campagne mondiale, ‘’16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre’’ (25 novembre-10 décembre).
‘’Cette campagne est organisée pour dénoncer toutes les formes de violence dont sont victimes les femmes’’, signale le mouvement qui cite notamment une étude réalisée en 2005. Elle indique que ‘’la violence conjugale est la forme de violence la plus répandue aujourd’hui, dans le quotidien des femmes’’.
Mieux, précise-t-elle, ‘’l’utilisation d’une arme à feu dans les violences conjugales met considérablement en danger la vie des femmes. Elle multiplie ainsi par 12 le risque de décès comparativement à d’autres formes de violence.’’
’’Il n’y a pas d’étude ou de statistiques disponibles sur les violences domestiques au Sénégal, mais l’usage des armes légères affecte les femmes et les petites filles. La presse en fait quotidiennement l’écho’’, constate le MALAO.
De son côté, l’association sénégalaise Groupe d’action contre les viols d’enfant (Grave) a dénombré 400 cas de viol en 2007. Quelque 69 autres personnes victimes de viol ont été reçues par le Comité de lutte contre les violences faites aux femmes.
‘’Ces violences ont des conséquences néfastes sur les résultats scolaires des enfants. (…) 80% des cas de viols sont exercés par des personnes connues des victimes, d’où le risque de souffrance morale permanente’’, ajoute le MALAO.
SAB/ADC