L’accès au lieu est interdit aux passants. le candidat Cheikh Bamba Dièy est déjà sur place.
’’Nous sommes ici pour la paix. La place de l’Indépendance nous appartient et non au président Wade. La démocratie n’existe plus au Sénégal. Nous sommes dans une dictature (...)’’, a t-il dit.
Les manifestations se sont étendues dimanche soir à d’autres quartiers et des banlieues de la capitale, ainsi que dans les régions.
Un jeune garçon est mort à Rufisque, dans la banlieue de Dakar.
Depuis une semaine l’opposition multiplie les appels à manifester sur la Place de l’Indépendance, au centre-ville et à proximité du Palais présidentiel, où le ministre de l’Intérieur, a interdit tout rassemblement.
Des appels précédents ont entraîné des violences entre manifestants, en grande partie des jeunes qui tentaient de rallier le site, et les forces de l’ordre.
La répression, à coup de gaz lacrymogènes, des balles en caoutchouc et des canons à eau a pris une nouvelle tournure vendredi après-midi lorsque trois grenades sont tombées dans la Zawiya El Hadj Malick Sy au moment où les fidèles étaient en prière.
Le ministre de l’Intérieur, Ousmane Ngom, a été obligé de se rendre à Tivaouane, fief de la confrérie Tidiane dont dépend la mosquée visée, pour présenter ses "excuses" et celles de la police pour l’"incident regrettable" qu’il a qualifié de "bavure policière".
Des fidèles mécontents l’ont séquestré pendant plusieurs heures, dans le domicile du porte-parole du khalife.
COS/OID/AD
’’Nous sommes ici pour la paix. La place de l’Indépendance nous appartient et non au président Wade. La démocratie n’existe plus au Sénégal. Nous sommes dans une dictature (...)’’, a t-il dit.
Les manifestations se sont étendues dimanche soir à d’autres quartiers et des banlieues de la capitale, ainsi que dans les régions.
Un jeune garçon est mort à Rufisque, dans la banlieue de Dakar.
Depuis une semaine l’opposition multiplie les appels à manifester sur la Place de l’Indépendance, au centre-ville et à proximité du Palais présidentiel, où le ministre de l’Intérieur, a interdit tout rassemblement.
Des appels précédents ont entraîné des violences entre manifestants, en grande partie des jeunes qui tentaient de rallier le site, et les forces de l’ordre.
La répression, à coup de gaz lacrymogènes, des balles en caoutchouc et des canons à eau a pris une nouvelle tournure vendredi après-midi lorsque trois grenades sont tombées dans la Zawiya El Hadj Malick Sy au moment où les fidèles étaient en prière.
Le ministre de l’Intérieur, Ousmane Ngom, a été obligé de se rendre à Tivaouane, fief de la confrérie Tidiane dont dépend la mosquée visée, pour présenter ses "excuses" et celles de la police pour l’"incident regrettable" qu’il a qualifié de "bavure policière".
Des fidèles mécontents l’ont séquestré pendant plusieurs heures, dans le domicile du porte-parole du khalife.
COS/OID/AD