«Cette cérémonie marque le point de départ de l’évolution du dispositif français au Sénégal où la France ne conservera plus de base militaire», peut-on lire dans le communiqué.
A noter que les autorités sénégalaises ont exprimé clairement leur souhait que certaines emprises – en particulier le camp de Bel Air, dont l’usage avait été librement consenti à la France, soient remises à la disposition du Sénégal.
A cet effet, le ministre français de la Défense, Hervé Morin, est venu le 19 février dernier annoncer au président Wade que La France a entendu cette demande et présenter nos propositions.
Ainsi, en accord avec le Sénégal, la France propose de conserver en effet à Dakar un simple «pôle opérationnel de coopération à vocation régionale», fort d’environ trois cents militaires. Les autorités sénégalaises donneront alors une nouvelle affectation à l’emprise du Camp Bel Air.
Selon les termes de ce communiqué, cette évolution s’inscrit dans la continuité du discours prononcé par le président Sarkozy devant le Parlement sud-africain, au Cap, le 28 février 2008 dans lequel il a exposé les grandes orientations d’une politique rénovée avec nos partenaires africains.
Charles Thialice SENGHOR
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A noter que les autorités sénégalaises ont exprimé clairement leur souhait que certaines emprises – en particulier le camp de Bel Air, dont l’usage avait été librement consenti à la France, soient remises à la disposition du Sénégal.
A cet effet, le ministre français de la Défense, Hervé Morin, est venu le 19 février dernier annoncer au président Wade que La France a entendu cette demande et présenter nos propositions.
Ainsi, en accord avec le Sénégal, la France propose de conserver en effet à Dakar un simple «pôle opérationnel de coopération à vocation régionale», fort d’environ trois cents militaires. Les autorités sénégalaises donneront alors une nouvelle affectation à l’emprise du Camp Bel Air.
Selon les termes de ce communiqué, cette évolution s’inscrit dans la continuité du discours prononcé par le président Sarkozy devant le Parlement sud-africain, au Cap, le 28 février 2008 dans lequel il a exposé les grandes orientations d’une politique rénovée avec nos partenaires africains.
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