Les sénégalais passent du traumatisme des délestages, provisoirement et onéreusement jugulés à une ère de précampagne électorale marquée par des hausses de toutes sortes sur les produits de première nécessité. Ils sont groggys par tout ce qui les assaillent au moment où des pluies de milliards annoncés semblent être mobilisées par les dignitaires de l’État. Ainsi ils ne sont pas nombreux à se poser des questions sur le comment intervenue l’accalmie des lancinantes coupures de courant.
Mais nous avons en tant qu’acteurs, le devoir de tirer sur la sonnette d’alarme, pour dire que le réveil va être très dur après les élections à venir. Figurez-vous que la location coute 390 millions par jour, rien qu’en combustible ? Que rien n’est moins sûr que la réhabilitation de la centrale III ? Que la SENELEC continue de payer son propre combustible malgré les ponctions faites çà et là pour alimenter le fonds de soutien de l’énergie ? Que les dates données par le plan Takkal sont erronées ? Que les projets d’extension des centrales de Bel Air et Kahone2 marquent le pas pour cause de non –paiement des avances de démarrage ; les fonds ont-ils tari ou sont-ils détournés ! Pour ne citer que ça. Pour dire que le fils de Viviane ne fait que du saupoudrage le temps d’une réélection de « Mr je dirais à ta mère que tu as bien travaillé ». Malgré le tapage électoraliste autour du démarrage de « TAKKAL » au niveau de la distribution, force est de constater que cet activiste de Ministre, malgré les huées au quotidien, n’a plus le temps de s’occuper de l’énergie. Il bat campagne.
Ainsi la petite souris de directeur général pense du coup, que c’est le temps des vendanges avant que les Wade ne se rendent compte qu’elle n’a pas trahi sa nature prédatrice. Après avoir fait embaucher son fils contre toute éthique, Monsieur ne se prive pas, aidé en cela par une clique de managers intéressés qui n’hésitent pas à se sucrer sur le dos des vaillants travailleurs. Un train de vie hors pair est mené par des Directeurs et Conseillers qui ne se soucient guère de la galère des Sénégalais et du devenir de la SENELEC. Alors que les braves agents qui, par esprit de patriotisme, se sacrifient jour et nuit dans les unités, les établissements sous le chaud soleil pour le bien être du peuple.
Oui dame souris ne se prive pas, elle embauche ses amis et leurs rejetons, positionne ses parents et coreligionnaires, trahit ses engagements devant les syndicats. C’est le renouvellement des véhicules de certaines catégories de travailleurs, alors que les accords concernant les agents de maîtrise sont rangés aux oubliettes. C’est la validation des organigrammes proposés par les directions d’unité sans l’avis des partenaires sociaux. C’est snober les dispatchers comme les producteurs dans le pourvoi des postes.
D’autre part le sous encadrement et la faiblesse du ratio frais du personnel chiffre d’affaire traduisent la misère des travailleurs de l’électricité au moment où dame souris et son entourage ripaillent et s’adonnent à leur sport favori : courir derrière les jeunes filles avec de mirobolantes promesses d’embauche. Alors que de vaillants travailleurs risquent chaque jour leur vie en Casamance, pour servir. Enfin une rupture unilatérale du dialogue social.
Alors camarades travailleurs il est plus que temps de se mobiliser et de faire face. La souris veut effacer du RI les groupes de SENELEC gérés par ses travailleurs, procéder rapidement à la privatisation du commercial et de la distribution, renforcer la politique d’externalisation dans les autres segments tel que le transport.
Elle, comme le ministron, travaillent à annihiler les préoccupations que pose la demande sociale, salaire, endettement, etc. et le plus grave, la remise en cause de notre identité qui est le tarif préférentiel.
Alors debout pour les batailles imminentes, debout pour une SENELEC prospère à la redistribution équitable!
Unis nous vaincrons.
Le SUTELEC
Mais nous avons en tant qu’acteurs, le devoir de tirer sur la sonnette d’alarme, pour dire que le réveil va être très dur après les élections à venir. Figurez-vous que la location coute 390 millions par jour, rien qu’en combustible ? Que rien n’est moins sûr que la réhabilitation de la centrale III ? Que la SENELEC continue de payer son propre combustible malgré les ponctions faites çà et là pour alimenter le fonds de soutien de l’énergie ? Que les dates données par le plan Takkal sont erronées ? Que les projets d’extension des centrales de Bel Air et Kahone2 marquent le pas pour cause de non –paiement des avances de démarrage ; les fonds ont-ils tari ou sont-ils détournés ! Pour ne citer que ça. Pour dire que le fils de Viviane ne fait que du saupoudrage le temps d’une réélection de « Mr je dirais à ta mère que tu as bien travaillé ». Malgré le tapage électoraliste autour du démarrage de « TAKKAL » au niveau de la distribution, force est de constater que cet activiste de Ministre, malgré les huées au quotidien, n’a plus le temps de s’occuper de l’énergie. Il bat campagne.
Ainsi la petite souris de directeur général pense du coup, que c’est le temps des vendanges avant que les Wade ne se rendent compte qu’elle n’a pas trahi sa nature prédatrice. Après avoir fait embaucher son fils contre toute éthique, Monsieur ne se prive pas, aidé en cela par une clique de managers intéressés qui n’hésitent pas à se sucrer sur le dos des vaillants travailleurs. Un train de vie hors pair est mené par des Directeurs et Conseillers qui ne se soucient guère de la galère des Sénégalais et du devenir de la SENELEC. Alors que les braves agents qui, par esprit de patriotisme, se sacrifient jour et nuit dans les unités, les établissements sous le chaud soleil pour le bien être du peuple.
Oui dame souris ne se prive pas, elle embauche ses amis et leurs rejetons, positionne ses parents et coreligionnaires, trahit ses engagements devant les syndicats. C’est le renouvellement des véhicules de certaines catégories de travailleurs, alors que les accords concernant les agents de maîtrise sont rangés aux oubliettes. C’est la validation des organigrammes proposés par les directions d’unité sans l’avis des partenaires sociaux. C’est snober les dispatchers comme les producteurs dans le pourvoi des postes.
D’autre part le sous encadrement et la faiblesse du ratio frais du personnel chiffre d’affaire traduisent la misère des travailleurs de l’électricité au moment où dame souris et son entourage ripaillent et s’adonnent à leur sport favori : courir derrière les jeunes filles avec de mirobolantes promesses d’embauche. Alors que de vaillants travailleurs risquent chaque jour leur vie en Casamance, pour servir. Enfin une rupture unilatérale du dialogue social.
Alors camarades travailleurs il est plus que temps de se mobiliser et de faire face. La souris veut effacer du RI les groupes de SENELEC gérés par ses travailleurs, procéder rapidement à la privatisation du commercial et de la distribution, renforcer la politique d’externalisation dans les autres segments tel que le transport.
Elle, comme le ministron, travaillent à annihiler les préoccupations que pose la demande sociale, salaire, endettement, etc. et le plus grave, la remise en cause de notre identité qui est le tarif préférentiel.
Alors debout pour les batailles imminentes, debout pour une SENELEC prospère à la redistribution équitable!
Unis nous vaincrons.
Le SUTELEC