Je voudrais remercier le Chef de l’Etat et les services compétents d’avoir tenu compte, dans ce dossier, de sa dimension pathologique. Les mêmes raisons m’obligent à me taire par rapport aux invectives de mon frère.
Toutefois, je voudrais lui rappeler, pour mémoire, que le premier siège de Walfadjri, à la Sicap, a existé grâce aux fonds secrets de la Présidence de la République gérés, à l’époque, par Jean Collin. Le bâtiment qui a été édifié avait été financé par l’ambassade d’Irak à Dakar.
Par des chèques de 10 millions payés après chaque parution qui n’attaquait pas Saddam Hussein.
Le journal, lui-même, a été fondé grâce à 50 millions offerts par l’ambassade d’Algérie à Dakar.
La régularité des parutions était soutenue par la représentation de l’Iran à Paris.
Moustapha Niasse, lui-même, donnait des enveloppes pour rémunérer des publireportages non déclarés comme tels.
Quant aux financements provenant du Président Wade c’était sur l’intervention de Serigne Bara Mbacké, alors Khalife Général des Mourides. Ils sont « retraçables » aussi bien au niveau de l’Agence Judiciaire de l’Etat que de la comptabilité des fonds politiques de la Présidence de la République (supervisée, traditionnellement, par l’Aide de Camp).
Avoir des principes divorce avec le fait de renier sa propre famille. Des faits illustratifs :
• Ne jamais rendre visite à son frère, ne serait-ce qu’au titre de la parenté.
• Expulser de chez lui mes enfants qui viennent jouer avec leurs cousins et cousines. Tout en interdisant à ses enfants de se rendre chez eux.
• Expulser sa fille aînée, étudiante en médecine à Paris, sous la neige. La laissant squatter les stations de métro.
• Assigner notre sœur, Salma, en expulsion de son appartement de Paris. Alors que la traçabilité du transfert de 60 millions que j’ai fait sur le compte de ma sœur en janvier 1998 pour l’achat de l’appartement était vérifiable. Il se fit transférer l’argent dans son compte à Monaco et acheta l’appartement en tant que prête nom, soi disant, pour aider notre sœur.
Aujourd’hui mon frère doit réfléchir sur tous ces points. Plutôt que de se donner l’image d’un universitaire alors qu’il s’était juste inscrit en première année de capacité en droit au Caire. Parce que titulaire, seulement, du BFEM.
AHMED KHALIFA NIASSE
Toutefois, je voudrais lui rappeler, pour mémoire, que le premier siège de Walfadjri, à la Sicap, a existé grâce aux fonds secrets de la Présidence de la République gérés, à l’époque, par Jean Collin. Le bâtiment qui a été édifié avait été financé par l’ambassade d’Irak à Dakar.
Par des chèques de 10 millions payés après chaque parution qui n’attaquait pas Saddam Hussein.
Le journal, lui-même, a été fondé grâce à 50 millions offerts par l’ambassade d’Algérie à Dakar.
La régularité des parutions était soutenue par la représentation de l’Iran à Paris.
Moustapha Niasse, lui-même, donnait des enveloppes pour rémunérer des publireportages non déclarés comme tels.
Quant aux financements provenant du Président Wade c’était sur l’intervention de Serigne Bara Mbacké, alors Khalife Général des Mourides. Ils sont « retraçables » aussi bien au niveau de l’Agence Judiciaire de l’Etat que de la comptabilité des fonds politiques de la Présidence de la République (supervisée, traditionnellement, par l’Aide de Camp).
Avoir des principes divorce avec le fait de renier sa propre famille. Des faits illustratifs :
• Ne jamais rendre visite à son frère, ne serait-ce qu’au titre de la parenté.
• Expulser de chez lui mes enfants qui viennent jouer avec leurs cousins et cousines. Tout en interdisant à ses enfants de se rendre chez eux.
• Expulser sa fille aînée, étudiante en médecine à Paris, sous la neige. La laissant squatter les stations de métro.
• Assigner notre sœur, Salma, en expulsion de son appartement de Paris. Alors que la traçabilité du transfert de 60 millions que j’ai fait sur le compte de ma sœur en janvier 1998 pour l’achat de l’appartement était vérifiable. Il se fit transférer l’argent dans son compte à Monaco et acheta l’appartement en tant que prête nom, soi disant, pour aider notre sœur.
Aujourd’hui mon frère doit réfléchir sur tous ces points. Plutôt que de se donner l’image d’un universitaire alors qu’il s’était juste inscrit en première année de capacité en droit au Caire. Parce que titulaire, seulement, du BFEM.
AHMED KHALIFA NIASSE