Dimanche soir, au Pavillon tertiaire du Centre international pour le commerce extérieur du Sénégal (CICES), où étaient exposés les produits en provenance de la Turquie, les visiteurs étaient surpris de voir les opérateurs économiques turcs vider les étagères. Ils sont partis, en laissant les stands vides.
Le chef de la délégation turque, Mahmut Sahin, interrogé samedi par l’APS, avait annoncé ce départ en invoquant des »impératifs » de rentrer au bercail.
»La plupart des personnes qui sont venues ici sont des responsables d’entreprise. D’un commun accord avec les organisateurs de la FIDAK, nous avons convenu de quitter dimanche, parce que nous avons des impératifs au pays », avait expliqué M. Sahin.
»Nous avons vraiment un impératif de partir. Nous avons emmené des entreprises qui ne peuvent pas rester pendant une longue durée ici », avait-il fait valoir.
Dimanche, les forains n’ont pas caché leur déception. Certains se sont mêmes s’interrogés sur les raisons du départ des invités d’honneur de la FIDAK 2012, avant le terme de l’évènement.
L’inquiétude était d’autant plus grande que les exposants turcs à quitter le CICES les derniers refusaient de vendre les marchandises emmenées à la foire.
»Mais, pourquoi ne veulent-ils pas vendre ce qu’ils ont emmené », s’est interrogée une dame, devant un stand de parfumerie.
Devant les derniers stands à être levés par les exposants turcs, certains clients tentaient de payer quelques articles, alors que les vendeurs rangeaient précipitamment leurs affaires.
Ils ont tout rangé et laissé des stands vides derrière eux, au Pavillon tertiaire, qui est habituellement très animé lors de la foire.
»Ce n’est pas parce que la foire ne marche pas qu’ils (les Turcs) ont quitté. De commun accord avec le CICES, la délégation turque avait longtemps prévu une participation d’une durée de quatre jours seulement », a expliqué à l’APS El Hadji Amadou Diagne, directeur de l’exploitation commerciale et technique du CICES.
M. Diagne a signalé que »les Turcs n’ont pas emmené des commerçants à la FIDAK, mais des chefs d’entreprise » et, par conséquent, »leur départ n’a aucune incidence commerciale » sur l’évènement.
Aps
Le chef de la délégation turque, Mahmut Sahin, interrogé samedi par l’APS, avait annoncé ce départ en invoquant des »impératifs » de rentrer au bercail.
»La plupart des personnes qui sont venues ici sont des responsables d’entreprise. D’un commun accord avec les organisateurs de la FIDAK, nous avons convenu de quitter dimanche, parce que nous avons des impératifs au pays », avait expliqué M. Sahin.
»Nous avons vraiment un impératif de partir. Nous avons emmené des entreprises qui ne peuvent pas rester pendant une longue durée ici », avait-il fait valoir.
Dimanche, les forains n’ont pas caché leur déception. Certains se sont mêmes s’interrogés sur les raisons du départ des invités d’honneur de la FIDAK 2012, avant le terme de l’évènement.
L’inquiétude était d’autant plus grande que les exposants turcs à quitter le CICES les derniers refusaient de vendre les marchandises emmenées à la foire.
»Mais, pourquoi ne veulent-ils pas vendre ce qu’ils ont emmené », s’est interrogée une dame, devant un stand de parfumerie.
Devant les derniers stands à être levés par les exposants turcs, certains clients tentaient de payer quelques articles, alors que les vendeurs rangeaient précipitamment leurs affaires.
Ils ont tout rangé et laissé des stands vides derrière eux, au Pavillon tertiaire, qui est habituellement très animé lors de la foire.
»Ce n’est pas parce que la foire ne marche pas qu’ils (les Turcs) ont quitté. De commun accord avec le CICES, la délégation turque avait longtemps prévu une participation d’une durée de quatre jours seulement », a expliqué à l’APS El Hadji Amadou Diagne, directeur de l’exploitation commerciale et technique du CICES.
M. Diagne a signalé que »les Turcs n’ont pas emmené des commerçants à la FIDAK, mais des chefs d’entreprise » et, par conséquent, »leur départ n’a aucune incidence commerciale » sur l’évènement.
Aps