Amener les professionnels de l’information et de la communication à mieux diffuser les informations aux consommateurs, mettre en place un réseau de journalistes consuméristes en Afrique de l’Ouest, créer une relation durable entre les associations de consommateurs et les journalistes consuméristes.
Ce sont entre autres objectifs de l’atelier international de formation « Reporter du Consommateur ». Cette rencontre qui a regroupé 12 journalistes en provenance du Mali, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée-Bissau, de la Guinée Conackry du Niger, du Togo du Bénin et du Sénégal a permis à ces derniers d’être outillé sur le plan intellectuel et pratique pour mener le combat de la défense du consommateur. Et de dénoncer les « mauvaises » pratiques qui hantent les sociétés africaines mais aussi de donner des réponses liées aux droits des citoyens face à la responsabilité de l’entreprise.
Selon Momar Ndao président de l’Association des consommateurs du Sénégal (Ascosen), par ailleurs, président du réseau des associations consuméristes de l’Uemoa : « Cette rencontre initiée par la fondation Friedrich Naumann permettra aux associations de consommateurs d’atteindre pleinement leurs objectifs » que sont « défense du rapport qualité prix et défense de la qualité. »
A l’en croire « le journaliste constitue un partenaire important » car, dit il, étant « une jonction entre les associations de consommateurs et ses publics. » D’après Zoumana Traoré, journaliste à la télévision Burkinabais, porte-parole des journalistes : « Nous ferons de tel sorte que les acquis capitalisés dans cette rencontre soient effectifs sur le terrain. Pour mieux d’abord nous prendre en charge en tant que consommateur mais aussi défendre les autres consommateurs. »
Daouda Seck, représentant du directeur du projet pour l’Afrique de L’Ouest de la fondation Naumann, pour sa part, estime que cette formation est le début d’une relation solide entre les journalistes et les associations consuméristes.
« La rencontre de Dakar ne sera pas de trop mais bien le point de départ d’une nouvelle forme de collaboration entre les mouvements consuméristes et les professionnels de l’information et de la communication. » Et d’ajouter : « ce pacte moral qui vient de voir le jour constitue un pont entre des acteurs oeuvrant pour la même cause, sera sans doute un instrument vital pour le bien être des populations africaines. »
Ce sont entre autres objectifs de l’atelier international de formation « Reporter du Consommateur ». Cette rencontre qui a regroupé 12 journalistes en provenance du Mali, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée-Bissau, de la Guinée Conackry du Niger, du Togo du Bénin et du Sénégal a permis à ces derniers d’être outillé sur le plan intellectuel et pratique pour mener le combat de la défense du consommateur. Et de dénoncer les « mauvaises » pratiques qui hantent les sociétés africaines mais aussi de donner des réponses liées aux droits des citoyens face à la responsabilité de l’entreprise.
Selon Momar Ndao président de l’Association des consommateurs du Sénégal (Ascosen), par ailleurs, président du réseau des associations consuméristes de l’Uemoa : « Cette rencontre initiée par la fondation Friedrich Naumann permettra aux associations de consommateurs d’atteindre pleinement leurs objectifs » que sont « défense du rapport qualité prix et défense de la qualité. »
A l’en croire « le journaliste constitue un partenaire important » car, dit il, étant « une jonction entre les associations de consommateurs et ses publics. » D’après Zoumana Traoré, journaliste à la télévision Burkinabais, porte-parole des journalistes : « Nous ferons de tel sorte que les acquis capitalisés dans cette rencontre soient effectifs sur le terrain. Pour mieux d’abord nous prendre en charge en tant que consommateur mais aussi défendre les autres consommateurs. »
Daouda Seck, représentant du directeur du projet pour l’Afrique de L’Ouest de la fondation Naumann, pour sa part, estime que cette formation est le début d’une relation solide entre les journalistes et les associations consuméristes.
« La rencontre de Dakar ne sera pas de trop mais bien le point de départ d’une nouvelle forme de collaboration entre les mouvements consuméristes et les professionnels de l’information et de la communication. » Et d’ajouter : « ce pacte moral qui vient de voir le jour constitue un pont entre des acteurs oeuvrant pour la même cause, sera sans doute un instrument vital pour le bien être des populations africaines. »