«Il (Me Wade) doit être comme un Mandela, comme un Abdou Diouf. Qu’il continue à prodiguer des conseils à ceux qui seront là, aux générations futures», a recommandé ce dimanche, au cours de l’émission Objection de sud fm (privée).
De la même manière, le défenseur des droits de l’homme a rappelé l’opposition son devoir. «L’opposition doit savoir que son devoir n’est pas de plonger le pays dans le chaos», a-t-il indiqué.
«Ce qui doit être aujourd’hui la priorité majeure, c’est l’intérêt du Sénégalais. Si quelqu’un doit accéder aujourd’hui à la magistrature suprême qu’il sache que c’est uniquement pour faire, pour être dans une dynamique qui ne soit autre que celle que nous avons toujours connue des présidents de l’indépendance», a fait savoir Me Assane Dioma Ndiaye.
Et pour ce faire, il recommande la bonne gouvernance, la lutte effrénée contre l’impunité, la volonté uniquement orientée vers la satisfaction des Sénégalais, le respect des droits humains pour permettre l’émergence du Sénégalais dans un cadre de dialogue.
Il a lancé aussi à l’endroit de la jeunesse que «rien n’est encore perdu même s’il y a des doutes.
L’avocat estime que l’avenir du pays doit se faire avec et par la jeunesse qui a beaucoup d’atouts comme l’Internet qui lui permet d’apprendre vite…
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com
De la même manière, le défenseur des droits de l’homme a rappelé l’opposition son devoir. «L’opposition doit savoir que son devoir n’est pas de plonger le pays dans le chaos», a-t-il indiqué.
«Ce qui doit être aujourd’hui la priorité majeure, c’est l’intérêt du Sénégalais. Si quelqu’un doit accéder aujourd’hui à la magistrature suprême qu’il sache que c’est uniquement pour faire, pour être dans une dynamique qui ne soit autre que celle que nous avons toujours connue des présidents de l’indépendance», a fait savoir Me Assane Dioma Ndiaye.
Et pour ce faire, il recommande la bonne gouvernance, la lutte effrénée contre l’impunité, la volonté uniquement orientée vers la satisfaction des Sénégalais, le respect des droits humains pour permettre l’émergence du Sénégalais dans un cadre de dialogue.
Il a lancé aussi à l’endroit de la jeunesse que «rien n’est encore perdu même s’il y a des doutes.
L’avocat estime que l’avenir du pays doit se faire avec et par la jeunesse qui a beaucoup d’atouts comme l’Internet qui lui permet d’apprendre vite…
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com