Le projet de loi d’amendement du code pénal, largement connu sous le nom de «projet de loi patriotique», contient une clause qui criminalise «l’atteinte délibérée à la souveraineté et à l’intérêt national du Zimbabwe», a cité Reuters dans un rapport.
La loi, adoptée tard mercredi, visait à punir les citoyens, les organisations de la société civile et les adversaires politiques du parti au pouvoir, la ZANU-PF. Cela a fait craindre que le gouvernement ne lance une répression contre la dissidence avant les élections générales du 23 août, où le président Emmerson Mnangagwa briguera un second mandat.
L’avocat et pasteur Nelson Chamisa, 45 ans, qui dirige la toute nouvelle Citizens coalition for change (Ccc) sera son principal concurrent. Le porte-parole et avocat du Ccc, Fadzayi Mahere, a qualifié la loi de «dangereuse» et a déclaré qu’elle visait à fermer l’espace démocratique avant les élections. «La ZANU-PF a réduit notre grande nation à un avant-poste de la tyrannie», a déclaré Mahere à Reuters.
Africanews avec agences
La loi, adoptée tard mercredi, visait à punir les citoyens, les organisations de la société civile et les adversaires politiques du parti au pouvoir, la ZANU-PF. Cela a fait craindre que le gouvernement ne lance une répression contre la dissidence avant les élections générales du 23 août, où le président Emmerson Mnangagwa briguera un second mandat.
L’avocat et pasteur Nelson Chamisa, 45 ans, qui dirige la toute nouvelle Citizens coalition for change (Ccc) sera son principal concurrent. Le porte-parole et avocat du Ccc, Fadzayi Mahere, a qualifié la loi de «dangereuse» et a déclaré qu’elle visait à fermer l’espace démocratique avant les élections. «La ZANU-PF a réduit notre grande nation à un avant-poste de la tyrannie», a déclaré Mahere à Reuters.
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