Cheikh Yérim Seck, l’histoire d’un homme qui s’est battu tout au long de sa vie, adulé par ses pairs, adulé par la jeunesse de son pays, puisqu’il était devenu un modèle de réussite.
Sa mère, n’en doutons point, n’a cessé d’adresser ses vœux au Tout Puissant afin que Yérim, qui a si bien su la couver, puisse bénéficier de la Miséricorde Divine et y demeurer à jamais. Vous me direz que c’est évident ! Mais l’est-il toujours ?
Ceux qui ont souvent bénéficié de ses largesses, le religieux comme le temporel, la plupart s’est dissipée dans la nature et ils sont le plus souvent, les tous premiers à critiquer son attitude et le mot qui revient souvent est « je savais que ça allait lui arriver un jour ». Comme si quand on lui tendait la main, la méchanceté et le mépris dormaient en dessous de cette main quémandeuse !
D’autres que nous voyons souvent d’un autre œil passer à la télé, les principaux acteurs de « un café avec », se sont déplacés lors de son procès, pour lui témoigner leur soutien, sans se soucier de la réaction des autres, de leur image ; ce qui prévaut aujourd’hui pour eux, c’est l’amitié qui les lie avec lui, cette sympathie que l’on lit sur son visage à chaque fois qu’on le croise. Dès lors, ils ont décidé de ne pas mettre au tiroir ces liens qui unissent les êtres, même en tant de malheur.
Ce scandale fait-il de Yérim, un infréquentable ? Faut-il le juger à la place publique et dire, plus jamais cela dans ce pays ?
Qui doit diriger ce procès ? Ceux qui n’ont jamais péché ou ceux pour qui leur péché est méconnu du grand public ? Cherchons les dans le peuple, ou en dehors de nos frontières, et peut-être qu’on le trouvera dans le siècle prochain !
Le cas d’Aïssata Sall devient alors un vrai dilemme, une pure équation, à plusieurs inconnus. Que deviendra-t-elle alors ? Elle, la fille du magistrat, la fille de son père, la « mère » de son père. Son cas est devenu d’abord une affaire de famille et le père a aujourd’hui l’occasion de défendre cette dernière, de la protéger, de réveiller son « pouvoir » et ses réseaux face à la « justice amicale », pour la « justice amicale » et par la « justice amicale » !
Dès lors les langues se délient, giclant que Yérim est dans de sales draps.
Aïssata Sall elle, risque de ne plus avoir une vie normale, bien que son père et ses « amis » aient décidé de prendre en charge son cas, et pourtant cela ne résoudra point cette affaire, car une fois le verdict prononcé, le vide s’installera autour d’elle, et son subconscient attaquera directement son avenir et de ce fait, la manière par laquelle, le verdict a été rendu, ira asphyxier ses ambitions.
Cheikh Yérim, doit-il être considéré comme un « violeur », même si l’on sait d’ores et déjà que la « justice amicale » ne lui fera aucun cadeau ?
A-t-il détruit l’avenir d’Aïssata ou cette dernière a-t-elle détruit la riche carrière de Cheikh Yérim ? Comment se verront-ils dans 10 ans, 20ans ?
L’enfant de Cheikh Yérim Seck pourra-t-il un jour épouser l’enfant d’Aïssata si la nature viendrait de nouveau à réunir leur destin ?
Tant de questions et plus encore de réponses, qui n’arriveront jamais à laver l’honneur de l’un ni de l’autre, et dire qu’il n’y a même pas 10 jours, l’un ne pouvait point se passer de l’autre. Que ce monde est cruel et mystérieux !
Cheikh Yérim a foulé les pas de l’inconnu avec sa nature et sa dignité ; il n’aura point besoin de s’attarder sur ceux qui lui ont tourné le dos en usant du mépris comme attitude et nature.
Vivement qu’il y sorte avec sa main généreuse, sa nature avec laquelle il a foulé l’inconnu ! Amine
Source: assirou.net
Sa mère, n’en doutons point, n’a cessé d’adresser ses vœux au Tout Puissant afin que Yérim, qui a si bien su la couver, puisse bénéficier de la Miséricorde Divine et y demeurer à jamais. Vous me direz que c’est évident ! Mais l’est-il toujours ?
Ceux qui ont souvent bénéficié de ses largesses, le religieux comme le temporel, la plupart s’est dissipée dans la nature et ils sont le plus souvent, les tous premiers à critiquer son attitude et le mot qui revient souvent est « je savais que ça allait lui arriver un jour ». Comme si quand on lui tendait la main, la méchanceté et le mépris dormaient en dessous de cette main quémandeuse !
D’autres que nous voyons souvent d’un autre œil passer à la télé, les principaux acteurs de « un café avec », se sont déplacés lors de son procès, pour lui témoigner leur soutien, sans se soucier de la réaction des autres, de leur image ; ce qui prévaut aujourd’hui pour eux, c’est l’amitié qui les lie avec lui, cette sympathie que l’on lit sur son visage à chaque fois qu’on le croise. Dès lors, ils ont décidé de ne pas mettre au tiroir ces liens qui unissent les êtres, même en tant de malheur.
Ce scandale fait-il de Yérim, un infréquentable ? Faut-il le juger à la place publique et dire, plus jamais cela dans ce pays ?
Qui doit diriger ce procès ? Ceux qui n’ont jamais péché ou ceux pour qui leur péché est méconnu du grand public ? Cherchons les dans le peuple, ou en dehors de nos frontières, et peut-être qu’on le trouvera dans le siècle prochain !
Le cas d’Aïssata Sall devient alors un vrai dilemme, une pure équation, à plusieurs inconnus. Que deviendra-t-elle alors ? Elle, la fille du magistrat, la fille de son père, la « mère » de son père. Son cas est devenu d’abord une affaire de famille et le père a aujourd’hui l’occasion de défendre cette dernière, de la protéger, de réveiller son « pouvoir » et ses réseaux face à la « justice amicale », pour la « justice amicale » et par la « justice amicale » !
Dès lors les langues se délient, giclant que Yérim est dans de sales draps.
Aïssata Sall elle, risque de ne plus avoir une vie normale, bien que son père et ses « amis » aient décidé de prendre en charge son cas, et pourtant cela ne résoudra point cette affaire, car une fois le verdict prononcé, le vide s’installera autour d’elle, et son subconscient attaquera directement son avenir et de ce fait, la manière par laquelle, le verdict a été rendu, ira asphyxier ses ambitions.
Cheikh Yérim, doit-il être considéré comme un « violeur », même si l’on sait d’ores et déjà que la « justice amicale » ne lui fera aucun cadeau ?
A-t-il détruit l’avenir d’Aïssata ou cette dernière a-t-elle détruit la riche carrière de Cheikh Yérim ? Comment se verront-ils dans 10 ans, 20ans ?
L’enfant de Cheikh Yérim Seck pourra-t-il un jour épouser l’enfant d’Aïssata si la nature viendrait de nouveau à réunir leur destin ?
Tant de questions et plus encore de réponses, qui n’arriveront jamais à laver l’honneur de l’un ni de l’autre, et dire qu’il n’y a même pas 10 jours, l’un ne pouvait point se passer de l’autre. Que ce monde est cruel et mystérieux !
Cheikh Yérim a foulé les pas de l’inconnu avec sa nature et sa dignité ; il n’aura point besoin de s’attarder sur ceux qui lui ont tourné le dos en usant du mépris comme attitude et nature.
Vivement qu’il y sorte avec sa main généreuse, sa nature avec laquelle il a foulé l’inconnu ! Amine
Source: assirou.net