‘’C’est un scandale d’entendre des lutteurs dire à travers les radios et les télévisions que j’ai arrêté mes études pour devenir lutteur’’, a expliqué le président de l’instance dirigeante de la lutte. Il a qualifié ces déclarations de ‘’scandaleuses’’ dans un pays comme le nôtre qui aspire à l’émergence.
Pour le président du CNG de lutte, ‘’la pratique du sport est compatible avec la poursuite des études de haut niveau’’. ‘’Avant, tous les grands sportifs sénégalais sortaient des institutions scolaires et universitaires’’, a-t-il rappelé.
Et c’est pourquoi selon lui, les médiats, surtout ceux de l’audiovisuel, doivent aider le CNG mais aussi le Sénégal à bannir des discours tels que : ‘’J’ai arrêté les études, l’apprentissage d’un métier pour me consacrer à la lutte’’.
Le président du CNG a appelé à un encadrement au niveau des écuries et des écoles de lutte, pour faire comprendre à ces jeunes qu’ils peuvent étudier et pratiquer le sport en général et la lutte en particulier.
Donnant l’exemple d’un étudiant sénégalais voulant s’adonner à la lutte, le docteur Sarr dit penser qu’il est plus sûr de mener ses études à terme, ‘’en gagnant de l’argent à la lutte et en continuant sa scolarité’’.
‘’L’argent gagné en lutte traditionnelle ou en lutte avec frappe doit lui permettre de s’équiper correctement afin de poursuivre dans la sérénité ses études’’, a expliqué le président du CNG, avant d’inviter tout le monde à inculquer aux sportifs sénégalais la nécessité d’associer la pratique sportive aux études.
Mieux encore, ce sera le meilleur moyen de les préparer à leur vie d’homme et de femme, a-t-il par ailleurs ajouté. Pour cela, il a plaidé l’introduction de la pratique sportive dès l’école primaire.
Selon lui, cela se justifie par le fait que la lutte qui allie le sport et la culture doit permettre à nos jeunes de s’enraciner dans leur culture. Et à l’échelle du monde, les pays qui se développent sont ceux justement qui prennent en compte leur culture, a fait valoir le docteur Sarr.
SD/BK
Pour le président du CNG de lutte, ‘’la pratique du sport est compatible avec la poursuite des études de haut niveau’’. ‘’Avant, tous les grands sportifs sénégalais sortaient des institutions scolaires et universitaires’’, a-t-il rappelé.
Et c’est pourquoi selon lui, les médiats, surtout ceux de l’audiovisuel, doivent aider le CNG mais aussi le Sénégal à bannir des discours tels que : ‘’J’ai arrêté les études, l’apprentissage d’un métier pour me consacrer à la lutte’’.
Le président du CNG a appelé à un encadrement au niveau des écuries et des écoles de lutte, pour faire comprendre à ces jeunes qu’ils peuvent étudier et pratiquer le sport en général et la lutte en particulier.
Donnant l’exemple d’un étudiant sénégalais voulant s’adonner à la lutte, le docteur Sarr dit penser qu’il est plus sûr de mener ses études à terme, ‘’en gagnant de l’argent à la lutte et en continuant sa scolarité’’.
‘’L’argent gagné en lutte traditionnelle ou en lutte avec frappe doit lui permettre de s’équiper correctement afin de poursuivre dans la sérénité ses études’’, a expliqué le président du CNG, avant d’inviter tout le monde à inculquer aux sportifs sénégalais la nécessité d’associer la pratique sportive aux études.
Mieux encore, ce sera le meilleur moyen de les préparer à leur vie d’homme et de femme, a-t-il par ailleurs ajouté. Pour cela, il a plaidé l’introduction de la pratique sportive dès l’école primaire.
Selon lui, cela se justifie par le fait que la lutte qui allie le sport et la culture doit permettre à nos jeunes de s’enraciner dans leur culture. Et à l’échelle du monde, les pays qui se développent sont ceux justement qui prennent en compte leur culture, a fait valoir le docteur Sarr.
SD/BK