Si autrefois les jeunes étaient les plus puissants et plus en forme, aujourd’hui tel n’est plus le cas chez eux. Les médicaments aphrodisiaques sont devenus les seuls recours pour eux afin de se maintenir en forme. Ces aphrodisiaques non conseillés, ni prescrits par un médecin sont les plus achetés dans nos marchés maintenant, surtout chez les vendeurs de médicaments par terre. Pourtant ils sont très dangereux pour la santé.
‘’Max-Man’’, ‘’Big-Men’’, ‘’Envia 120’’, ‘’Viagra’’, ‘’Waraba’’, ‘’Nèguèden’’…Des noms de médicaments qui résonnent fort, mais qui tuent à petit feu. Livrés sous forme d’aphrodisiaque, ils sont prisés de nos jours par les jeunes de la capitale. Pas pour des raisons de santé mais, histoire de pimenter leur libido.
En effet, si auparavant les aphrodisiaques étaient conseillés chez les vieux de plus de 40 ans actuellement c’est les moins de 20 ans qui en font leur friandise. Et, au risque de leur santé.
Sur la question, Dr Dagnogo médecin au Cscom de Sabalibougou est catégorique : « Comme tout médicament l’aphrodisiaque est un médicament qui doit être prescrit par un médecin. Les aphrodisiaques sont permis seulement après une consultation médicale ». Ce qui n’est malheureusement pas le cas de nos jours. Par la force des choses, la consommation de ces stimulants sexuels est devenue un phénomène de mode.
Faire valoir sa virilité comme les acteurs des films pornos. Or, il s’agit des médicaments dont les conditions d’utilisation, les effets indésirables et la posologie sont méconnus.
A l’exception de ces marchandes à travers les rues et marchés de Bamako, qui prennent le soin d’expliquer à leur clientèle le nombre de comprimé à avaler selon le besoin exprimé et selon l’effet recherché par l’acquéreur. Dès fois, il s’agit des tubes sous forme de sachets de café à dissoudre dans un demi ou verre complet d’eau chaude. Par ce que ces cachets, comprimés ou thé importés d’Inde, du Brésil ou d’autres pays du monde sont livrés à vile prix, les jeunes Bamakois ne lésinent jamais sur les moyens afin de les acquérir. Et les consommer en prélude de chaque rapport sexuel, ou presque.
« A force d’utiliser un médicament couramment pour une cause, à la fin ça ne produira plus l’effet recherché sur l’organisme, surtout s’il s’agit d’un aphrodisiaque, conseillé généralement pour un laps de temps bien déterminé et à des patients soumis en traitement », confie le Dr Dagnoko.
Un son de cloche contraire chez A.S, un jeune d’une trentaine d’années qui a accepté de témoigner sous anonymat sur la question. « Cela fait plus de cinq ans que je consomme ces aphrodisiaques vendus sur les marchés, je n’ai eu aucun problème, d’ailleurs au fil du temps j’ai constaté une amélioration dans mon rythme sexuel. Ce que j’aime dans ces médicaments c’est leur résultat immédiat, contrairement à de nombreux médicaments prescrits et vendus en bonne et due forme à des couts énormes ». Et de poursuivre qu’il utilise des aphrodisiaques pour se maintenir plus en forme parce que les femmes respectent beaucoup ceux qui les secouent bien. J’achète ça permanemment pour que ma femme ne part pas voir ailleurs ».
Alors que notre spécialiste de la santé, indique que si on utilise ces médicaments pour agiter son érection à l’âge précoce quand on aura atteint un certain âge, on ne pourra rien faire encore car ce que l’organisme doit faire dans cent ans il l’a déjà fait dans 30 ans parce que l’organe travaillera plus vite qu’en temps normal. Tout simplement pour dire qu’un jeune en temps normal ne doit en aucun cas utiliser ces médicaments par terre, qui ne sont identifiables qu’à partir de leurs étiquettes. Faites d’images, souvent obscènes.
Certains jeunes les prennent en pensant qu’ils sont faibles alors qu’ils n’ont rien, sauf l’envie de se voir plus puissant. Et au bout ils se retrouvent avec plusieurs maladies, débutant par des infections. Comme indique notre interlocuteur, « plus on utilise ces médicaments, plus on s’affaiblisse et au fil du temps on se retrouve exposé à toutes sortes de maladies comme l’insuffisance rénale, maladies de foie, cardiaque et sexuel ».
A cet effet, pour tout problème d’érection ou de faiblesse sexuelle il vaut mieux aller voir un médecin plutôt que de s’approvisionner auprès de ces vendeurs à la sauvette des médicaments souvent périmés, trafiqués et falsifiés.
Il sied donc aux autorités d’avoir afin les reins solides pour interdire ces médicaments qui détruisent à petit feu des reins.
Actunet
‘’Max-Man’’, ‘’Big-Men’’, ‘’Envia 120’’, ‘’Viagra’’, ‘’Waraba’’, ‘’Nèguèden’’…Des noms de médicaments qui résonnent fort, mais qui tuent à petit feu. Livrés sous forme d’aphrodisiaque, ils sont prisés de nos jours par les jeunes de la capitale. Pas pour des raisons de santé mais, histoire de pimenter leur libido.
En effet, si auparavant les aphrodisiaques étaient conseillés chez les vieux de plus de 40 ans actuellement c’est les moins de 20 ans qui en font leur friandise. Et, au risque de leur santé.
Sur la question, Dr Dagnogo médecin au Cscom de Sabalibougou est catégorique : « Comme tout médicament l’aphrodisiaque est un médicament qui doit être prescrit par un médecin. Les aphrodisiaques sont permis seulement après une consultation médicale ». Ce qui n’est malheureusement pas le cas de nos jours. Par la force des choses, la consommation de ces stimulants sexuels est devenue un phénomène de mode.
Faire valoir sa virilité comme les acteurs des films pornos. Or, il s’agit des médicaments dont les conditions d’utilisation, les effets indésirables et la posologie sont méconnus.
A l’exception de ces marchandes à travers les rues et marchés de Bamako, qui prennent le soin d’expliquer à leur clientèle le nombre de comprimé à avaler selon le besoin exprimé et selon l’effet recherché par l’acquéreur. Dès fois, il s’agit des tubes sous forme de sachets de café à dissoudre dans un demi ou verre complet d’eau chaude. Par ce que ces cachets, comprimés ou thé importés d’Inde, du Brésil ou d’autres pays du monde sont livrés à vile prix, les jeunes Bamakois ne lésinent jamais sur les moyens afin de les acquérir. Et les consommer en prélude de chaque rapport sexuel, ou presque.
« A force d’utiliser un médicament couramment pour une cause, à la fin ça ne produira plus l’effet recherché sur l’organisme, surtout s’il s’agit d’un aphrodisiaque, conseillé généralement pour un laps de temps bien déterminé et à des patients soumis en traitement », confie le Dr Dagnoko.
Un son de cloche contraire chez A.S, un jeune d’une trentaine d’années qui a accepté de témoigner sous anonymat sur la question. « Cela fait plus de cinq ans que je consomme ces aphrodisiaques vendus sur les marchés, je n’ai eu aucun problème, d’ailleurs au fil du temps j’ai constaté une amélioration dans mon rythme sexuel. Ce que j’aime dans ces médicaments c’est leur résultat immédiat, contrairement à de nombreux médicaments prescrits et vendus en bonne et due forme à des couts énormes ». Et de poursuivre qu’il utilise des aphrodisiaques pour se maintenir plus en forme parce que les femmes respectent beaucoup ceux qui les secouent bien. J’achète ça permanemment pour que ma femme ne part pas voir ailleurs ».
Alors que notre spécialiste de la santé, indique que si on utilise ces médicaments pour agiter son érection à l’âge précoce quand on aura atteint un certain âge, on ne pourra rien faire encore car ce que l’organisme doit faire dans cent ans il l’a déjà fait dans 30 ans parce que l’organe travaillera plus vite qu’en temps normal. Tout simplement pour dire qu’un jeune en temps normal ne doit en aucun cas utiliser ces médicaments par terre, qui ne sont identifiables qu’à partir de leurs étiquettes. Faites d’images, souvent obscènes.
Certains jeunes les prennent en pensant qu’ils sont faibles alors qu’ils n’ont rien, sauf l’envie de se voir plus puissant. Et au bout ils se retrouvent avec plusieurs maladies, débutant par des infections. Comme indique notre interlocuteur, « plus on utilise ces médicaments, plus on s’affaiblisse et au fil du temps on se retrouve exposé à toutes sortes de maladies comme l’insuffisance rénale, maladies de foie, cardiaque et sexuel ».
A cet effet, pour tout problème d’érection ou de faiblesse sexuelle il vaut mieux aller voir un médecin plutôt que de s’approvisionner auprès de ces vendeurs à la sauvette des médicaments souvent périmés, trafiqués et falsifiés.
Il sied donc aux autorités d’avoir afin les reins solides pour interdire ces médicaments qui détruisent à petit feu des reins.
Actunet